Íó âîò è òû øàãíóëà â ïóñòîòó,  "ðàçâåðçñòóþ" ïóãàþùóþ áåçäíó. Äûøàòü íåâìî÷ü è æèòü íåâìîãîòó. Èòîã æåñòîê - áîðîòüñÿ áåñïîëåçíî. Ïîñëåäíèé øàã, óäóøüå è èñïóã, Âíåçàïíûé øîê, æåëàíèå âåðíóòüñÿ. Íî âûáîð ñäåëàí - è çàìêíóëñÿ êðóã. Òâîé íîâûé ïóòü - çàñíóòü è íå ïðîñíóòüñÿ. Ëèöî Áîãèíè, ïîëóäåòñêèé âçãëÿ

Le fils de l'?toile, n? de la montagne. Alexandre Le Grand

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Le fils de l'?toile, n? de la montagne. Alexandre Le Grand Ñåðãåé Ñîëîâüåâ Le livre parle d’Alexandre, un guerrier qui d?testait les combats de poing, un Dirigeant qui interdisait de tuer des personnes ?g?es, un G?n?ral qui n’a pas os? bander les bless?s. Un homme dont la vie et la Mort sont devenues une L?gende. Le fils de l'?toile, n? de la montagne. Alexandre Le Grand Ñåðãåé Ñîëîâüåâ © Ñåðãåé Ñîëîâüåâ, 2019 ISBN 978-5-4496-8285-7 Created with Ridero smart publishing system Le fils de l’?toile, n? de la montagne.Alexandre Le Grand Nous changeons le monde et nous changeons avec le monde. Prologue Kuret se tenait sur la proue du navire et l’arbre de ce dernier a coup? les vagues qui se sont abattues sur le flanc du navire. Le tangage n’est pas tr?s puissant ici. Le Cr?tois regarda les hautes banques qui suivaient son regard, regardaient le ciel, il ?tait plus transparent et maintenant avec presque pas de nuages, bien que nous soyons ici dans une temp?te, sans ?tre dangereux. De nouveau dans le nord, Nearh a navigu? sur un bateau de trente navires sur le grand fleuve Ra, jusqu’au temple de Latone et de ses enfants, Apollo-Ulla et Elisia. La sant? commen?a ? se d?t?riorer, il sentit que quelque chose n’allait pas chez lui, son c?ur lui faisait mal. Kuret marchait sur un bateau depuis le port de la mer d’Hyrcan, r?p?tant le chemin de Darius et Cyrus, mais il esp?rait que cela se terminerait de plus en plus joyeusement. Sa femme est r?cemment d?c?d?e, ses fils ont grandi et sont retourn?s en Cr?te, chez son grand-p?re, et il ne tenait plus rien chez lui. Sur le fleuve, les serviteurs des guerriers et des ambassadeurs ont souvent p?ch?, et les accompagnants des tribus locales, d’abord les Scythes, puis les Sarmates, leur ont indiqu? le chemin ? suivre et ont indiqu? o? ils pouvaient se tenir en toute s?curit?. La nuit, quand le ciel ?tait libre de nuages, il mesurait la hauteur au-dessus de l’horizon de l’?toile polaire avec un astrolabe, reconnaissant ainsi l’?tendue du terrain. Kormschik observait avec une attention croissante les actions d’un vieil homme cr?tois et s’approcha une fois de lui. – Ne montre pas ce que tu mesures et quel appareil? – demanda son skiff. Un Cr?tois a montr? comment r?gler l’appareil sur la ligne d’horizon, comment calculer l’angle de mont?e de l’?toile polaire ou de l’ut?rus, comme on l’appelle ici. La route s’est donc av?r?e ?tre une formation pour un nourrisseur local, et on a accord? moins d’attention aux moustiques. Le fleuve ?tait simplement interminable, il ?tait ici pour la deuxi?me fois, mais il restait tout de m?me surpris, le delta, o? ils ont navigu? depuis la mer, bien plus que le delta du Nil, et il y avait de nombreuses ?les et for?ts de roseaux enti?res. Mont? la rivi?re, et sa largeur ?tait presque dix ?tapes. Les chefs de tribus locaux, exer?ant la volont? du grand tsar blanc, assistaient les ambassadeurs, dont Nearh. Ils chassaient et p?chaient ensemble, il aimait particuli?rement l’esturgeon qu’il ne trouvait pas dans sa Cr?te natale. Il a ensuite vu un ours une seconde fois. Cela paraissait ?tre une ?norme b?te et il n’avait pas de queue pour les Grecs qui l’accompagnaient ?tait une merveille. Les for?ts ici ?taient immenses et les moustiques encore plus grands, et pour la premi?re fois quand il ?tait ici, la nasale l’ennuyait. Bient?t, dans un mois, ils ont navigu? vers la capitale du tsar blanc, qui s’appelait diff?remment – Belgrade et Tsargrad. La ville se trouvait sur l’affluent de la rivi?re White Great et, bien que la ville soit pleine de bois, elle ?tait vaste et magnifique. D?s qu’ils ont atterri sur le quai, les gardes sont venus vers eux et, apr?s avoir d?couvert qui ?tait arriv?, les envoy?s ont ?t? emmen?s dans la ville haute. C'?tait ici pour la premi?re fois, tout ?tait fascinant, les trottoirs ?taient ?galement recouverts de bois, mais c’?tait beau et propre, m?me les cl?tures des maisons ?taient peintes de diff?rentes couleurs et recouvertes de sculptures. Les gens sont habill?s en lin, brod?s ? la gorge et sur les manches, pantalons et bottes souples. chez les hommes et les robes chez les femmes. Nearh, int?ress?, a examin? les mod?les de v?tements des r?sidents. “?coutez, respectable, mais je ne peux pas m’acheter une telle tunique”, s’est-il adress? au chef d’orchestre. “Vous pouvez le trouver maintenant,” r?pondit le guide. Et ils entr?rent dans la n?gociation o?, pendant quelque temps, les sarmates se retir?rent, revinrent avec une chemise grise aux riches broderies et la donn?rent ? un Cr?tois. Ils arriv?rent bient?t au Kremlin, une forteresse en bois dont la plupart des murs ?taient recouverts de terre. sous un immense puits, devant lequel se trouvait un immense foss?. Lorsqu’ils se sont approch?s de la porte, l’envoy? du roi s’est approch? d’eux et leur a dit qu’ils les attendaient. Les messagers avec des cadeaux sont entr?s dans le terem, la belle demeure du suzerain local, le roi, qui commandait le vaste pays bordant la rivi?re Ra, les montagnes Ripeian, et selon les rumeurs et les terres au-del? de la pierre, jusqu’? la banquise. Terem a ?t? assembl? ? partir d’immenses b?ches, avec un beau porche et des escaliers sculpt?s, de magnifiques sculptures ornant les moulures du palais en bois.Ils furent conduits plus loin dans la salle o? le roi blanc ?tait assis sur le tr?ne, un homme ? la racine dor?e de huit p?tales d’or jaillissant du bord recouvrant la t?te du seigneur, ?galement d?cor? d’un manteau de fourrure de fourrures luxueuses, de belles bottes de travail, un b?ton ? la main. Il ?tait gard? par de jeunes hommes en robe blanche, arm?s de petites haches. Les ambassadeurs s’approch?rent du tr?ne, Nearh se pr?senta poliment, “Salut Grand Roi Blanc, nous sommes venus dans le respect du temple de Lato, de la Cr?te, et ce sont l? nos cadeaux. Les serviteurs ont offert un cercueil avec des offrandes et visitons le temple de la D?esse Dor?e.” – Nous sommes heureux de vous voir, Nearh et vos compagnons ?galement. Vous allez nous manquer, et ils seront ?galement ravis de vous voir l?-bas. – et le roi a permis aux participants de s’asseoir, – et vous, le messager, il a fait un signe de t?te ? Nearh, je serai heureux de vous inviter ? une conversation, nous devons parler en t?te-?-t?te. Les compagnons se lev?rent, laissant Nearch avec le roi et les p?tards laiss?s par une autre porte. Lorsque tout le monde partit, le Seigneur du Nord descendit du tr?ne et s’assit avec Nearhom sur un banc sculpt?. – Je suis heureux que vous soyez revenu chez nous, avec les invit?s que vous et Arifarnom avez tout laiss? bien, les enfants sont n?s et ont d?j? grandi, deux fils, ils montent tr?s bien ? cheval, ils se d?brouillent avec un arc et une lance, les m?res se fichent de leur ?me. Et les magiciens-yars les aiment, ainsi que les guna et les sarmates. Ils ne savent rien de leur p?re, alors, lors de la d?dicace, je leur dirai tout. – Le roi dit cela ? un Cr?tois avec un sourire aux l?vres, mais une note de peur ?tait visible dans ses yeux. – Magee? Ceux qui ont vaincu Cyrus ont tu? Darius avec leur duperie et ? propos de quelles l?gendes terribles sont faites en Jud?e? – Voici leur maison, ils ont pr?t? serment ? Elisia et Ullios, et depuis lors eur sont fid?les. Ils ne font pas de randonn?es pour la gloire ou la fortune, mais uniquement au nom de la justice. N’ayez pas peur d’eux. Il y a aussi Moksha, et Arsa sont tous des guerriers des dieux. La toute premi?re fois, vous et Arifarny avez fait tout le chemin jusqu’aux yazhes que vous appelez Iss?dons. – dit-il en souriant, en tenant une main sur l’accoudoir et l’autre reposant sur son menton. – Vous ?tes l’?lu, ils vous ont indiqu? dans un r?ve. Vivez autant que vous le souhaitez”, dit le grand roi. Avec une difficult? apparente, il s’inclina l?g?rement devant Nearh. – Nous passons la nuit et allons plus loin sur la rivi?re. Les magyars et les guna nous reconnaissent et manquent l’Issedon? – demanda le messager. “Vous avez un bracelet sur votre main droite, vous ?tes un invit? de bienvenue”, r?pondit le roi. “C’est vous qui avez ?t? envoy? ? Ull, et non pas ? nous”, dit le souverain, “nous ne m?ritions pas.” “Probablement, il y avait simplement une faille en nous, les gens du Sud, et il est venu pour nous rendre meilleurs, et vous ?tes si proche de lui”, a d?clar? Nearh. “Vous pouvez consoler,” soupira am?rement le roi, “et ce sentiment s’apparente ? la soif, et l’amertume est toujours dans le c?ur.” J’esp?re, alors parle m’en. “Restez, passez la nuit dans le palais”, dit le nordiste ? Nearh. – Les chambres sont pr?tes. Prenez un bain, il fait tr?s chaud et le miel et le kvass attendent les invit?s. Les voyageurs ont ?t? lav?s dans un bain de bois compos? d’?normes b?ches, il faisait chaud, il y avait de l’eau chaude et les p?lerins ont lav? la fatigue de la route, et ils ont ?t? nourris avec le d?jeuner, des aliments locaux qui n’?taient pas du tout frits, juste cuits au four, viande bouillie, wapiti, poisson des pots, de la soupe de chou et du pain servi, rond et luxuriant, ? base de farine de seigle, de p?te acidul?e, qui n’?tait ni en Hellas ni en Asie, et le tout lav? avec du miel et du kvas. Ils buvaient dans des vaisseaux que Nearh avait vus en Cr?te, des plongeurs, seulement ici, ils ?taient en bois et en argent. Je voulais tout essayer, alors les invit?s sont ? peine revenus dans la chambre. “Merci roi, r?pondit le cr?tois, ordonnez-moi de faire bouillir de l’eau pour moi. – Eh bien, vous apportez un bateau avec de l’eau bouillante. Bient?t, le serviteur apporta sur les jambes un vase arrondi ? ventre bomb?, en bronze, muni d’un robinet d’un c?t? et de la vapeur enroul?e au-dessus d’un petit tuyau. Avec une curiosit? pour le moins insignifiante, un citoyen cr?tois a commenc? ? inspecter l’appareil, ? mettre en place une tasse et ? verser de l’eau chaude, – Comment la curiosit? se r?chauffe-t-elle? – il voulait savoir – font-ils du feu d’en bas? – Pour montrer une curiosit? ? Alexandrie, les m?caniciens de Ptol?m?e seraient ravis, pensa-t-il. “Non, il y en a un autre ? l’int?rieur du navire, des braises y sont jet?es et elles se gonflent avec de petites fourrures et l’eau bout”, r?pondit la servante en quittant la chambre de l’invit?. Nearh monta dans son sac et versa un ?corce de saule ? partir de l?, et mit cette poudre dans une tasse d’eau bouillante. Bient?t, la potion ?tait pr?te, il la remua avec une cuill?re, c’?tait en bois ici, assez confortable, et quand l’infusion se refroidit, il la but. L’homme cr?tois prit ses notes, lut ce qu’il avait ?crit sur la voie fluviale et se d?shabilla pour aller se coucher. Un nordiste tenait deux plats en argent fin, apport?s par Arifarny comme cadeau il y a de nombreuses ann?es. Il les transforma en une figure cr?toise, il leva les yeux et vit Alexandre, gravissant des griffons, et un portrait d’Ericia pourchass?, r?alis? ? partir de son dessin. Un Cr?tois s’endormant apr?s avoir pris une autre infusion de saule, son c?ur lui faisait ? peine mal, couch? sur des fourrures chaudes et son voile couvert ?tait superbe, et apr?s un long et dur chemin et un bain, il s’endormit rapidement et vit celui dont il r?vait. Il faisait ? nouveau froid, m?me sous des fourrures d’ours, sa t?te ?tait en feu, il ne respirait presque pas, sa poitrine ?tait serr?e avec des cerceaux d’acier. Elle vint, cette fois tout de suite, dans toute la splendeur de sa beaut?, posa la main sur son avant-bras, ses yeux le regard?rent attentivement et lui souriant, lui dit: – Tu es enfin rentr? marin, et tu as attendu longtemps. Votre bateau sur le rivage et vos errements sont termin?s. Temple du destin Le soir venu, il commen?a ? faire sombre rapidement et l’archonte de la ville de Lato devait atteindre le temple de Latone. Il n’?tait pas seul, mais comme il se doit, avec une paire d’esclaves marchant avec des torches ?clairant son chemin. Le sanctuaire ?tait d?j? blanc ? c?t? et le souverain ?tait autoris? ? sortir par la porte en cuivre, laissant ses compagnons ? l’ext?rieur. “Ils ne peuvent pas, dit la grande pr?tresse.Androtim, qui est venu ? Latone pour sa pri?re traditionnelle, a offert des cadeaux et la pr?tresse les a accept?s. Les objets ont ?t? confisqu?s par une jeune pr?tresse, mais ? en juger par la robe d?j? introduite dans les sacrements. La fille ressemblait ? une vieille statuette d’Elivia en ivoire, tenant deux serpents dans ses mains. Le visage et la statuette, ainsi que la jeune pr?tresse ?taient semblables au peuple de l’extr?me nord, o? le grand-p?re de l’archonte se rendit en p?lerinage sur les rives du fleuve sacr? et visita d’anciens sanctuaires, y compris la ville d?di?e ? la d?esse Lato, ainsi que son propre souverain. Mon grand-p?re y a rencontr? m?me des p?lerins d’Iran lointain, qui ont apport? de riches cadeaux aux dieux. Les pr?pos?s avaient d?j? allum? les lampes et la grande pr?tresse s’en alla avec des cadeaux au pronaos, pla?ant les offrandes aux pieds de la d?esse. La statue ?tait belle, faite de bois et d’ivoire. Pas pour la premi?re fois, l’archonte jeta un coup d’?il autour du temple, les murs ocres, les statues de bronze ? l’entr?e, pour une raison quelconque s’attard?rent sur les portes. Les chants cess?rent bient?t et le souverain s’appr?tait ? partir quand, tout ? coup… – Mountain a donn? naissance ? un favori sous la bonne ?toile!!! Il est venu ? nouveau! – elle a commenc? ? crier cette tr?s jeune pr?tresse, inexprimablement chang?e dans le visage. Elle frissonna, les convulsions la battirent et elle, tenant ? c?t? d’elle la lampe de bronze, continua: – Saurokton! Sauveur! Celui qui ?tait attendu! Il ne sera pas vaincu! Il apportera la loi ? nouveau! Il passera tous les tests, allez jusqu’au bout! Et le taureau et le fleuve et le secret! Et d?j? en train de tomber, dit le dernier: – Et ? la toute fin rencontrera sa soeur.” Le souverain se pr?cipita pour aider, mais la pr?tresse a?n?e le rattrapa, l’emporta avec ses serviteurs et tra?na plut?t le corps insubordonn? vers le tabernacle et vers une autre porte du temple, plus loin dans la pi?ce voisine. L’archonte attendait, ne partait pas, il ?tait horrifi? lui-m?me, c’est une chose de savoir qu’il existe des dieux et un autre d’obtenir cette confirmation. Il attendit la pr?tresse a?n?e qui arriva avec une aide, portant quelque chose sur un plateau recouvert d’un voile. Elle arracha le tissu du sanctuaire, qui avait ?t? cach? auparavant, et ordonna: – Jure! Je t’implore tout cher! L’archonte, habitu? ? ce qu’il ordonne, et habitu? au respect et ? la soumission, acquies?a sans r?fl?chir, se mettant d’accord… – Je jure… que je ne r?v?lerai pas le secret. “Pas seulement…” dit la pr?tresse. – Jurez que vous ou votre fils l’aiderez dans tout. Ici, l’archonte ?tait pris de peur, il ne craignait pas les batailles, pas plus que la mer d’automne, ?tait s?rieusement effray? et fier de devenir un compagnon du Messager d’honneur, ? la fois amertume et ruine. “Je suis pr?t”, dit-il en appuyant fermement ses l?vres. – pas toi. Ton fils Maintenant, il s’appellera Nearh. Ensuite, vous l’envoyez au temple dans la grotte de l’id?e, le mentor l’instruira quand il sera grand. – Elle s’est tourn?e vers la pr?tresse et a regard? tout le monde. – Nous sommes b?nis. Pendant de nombreuses ann?es, nous n’avons pas eu de voyant. Jure tout ce que personne ne r?v?lera les secrets, ou Latona et Elicia te puniront. La pr?tresse dit solennellement en levant le flambeau. Initiation Nearh Le jeune homme marchait seul, comme il lui ?tait command?. ? pied, en p?titionnaire, il portait sur lui sa charge peu compliqu?e, ainsi qu’un message destin? ? une pr?tresse qui le rencontrerait au sentier sacr?. Il aimait son pays natal, c’?tait le printemps, et la Cr?te ?tait toujours particuli?rement belle ? cette ?poque, avec ses nombreux ruisseaux, ses for?ts et ses champs magnifiques, la route ne semblait pas ennuyeuse. Le fils de l’archonte pensait ? ce qu’il devait apprendre et combien de temps il consacrerait ? la d?dicace.: “J’esp?re que pas pendant cinquante ans, comme Epimenides… Bien que, qui sait, et mon p?re a jur? pour moi. “Le jeune homme imaginait comment il irait dans la grotte, on lui pr?parerait une cellule, il lisait les chants d’Hom?re et s’endormait ? cinquante, non, soixante ou m?me soixante-dix ans. Ensuite, il se r?veillerait, mais sa m?re et son p?re ne (m?me pas peur de penser), il a la barbe jusqu’aux genoux et son nom est de prendre des d?g?ts d’une ville ou d’expulser la peste, sinon le Conseil l’enverra dans le nord, dans la patrie d’?lis?e avec des cadeaux, et peut-?tre que lui-m?me l’aidera dans ses voyages… Et il rencontrera la ma?tresse de la Montagne, Belle Elicia, r?soudra trois ?nigmes et elle le laissera avec lui.”, le jeune homme a tr?buch? et est tomb? sur ses paumes, les m?chant l?g?rement, mais a r?ussi ? d?tourner son visage de la pierre, non seulement parce que son professeur ?tait en train de s’entra?ner. A la maison, le professeur raconte les secrets de la science et le tuteur m’apprend ? manier une arme. Les cheveux d’Ullu. “S’approchant du plateau de Nida, o? commence l’id?e du sentier, il observe la vue sur la plaine montagneuse situ?e au-dessous du plateau. La zone couverte de buissons et d’arbres semblait magnifique, mais il se tourna et suivit le sentier recouvert de buissons sur les c?t?s. Il y avait des fleurs et de beaux coquelicots, exceptionnellement rouges ici. Eh bien, l? o? sont les fleurs, il y a des abeilles, mais pas une ne pique le jeune homme, elles volent simplement autour de lui avec un int?r?t ?vident. En bougeant ainsi, le jeune homme se dirigea vers son but et, pr?s de la bouche ?norme de la grotte, l’adepte vit finalement la pr?tresse, son mentor. C'?tait une belle fille de vingt ans, aux cheveux d?couverts, comme il se doit pour une pr?tresse, v?tue d’une robe blanche et d’un manteau gris, coiff?e d’une ?pingle ? cheveux ? l’?paule gauche. Nearh s’approcha d’elle et appela: – Bonjour ? toi. Je suis venu selon le v?u du p?re et l’ordre de la pr?tresse Latona de notre ville, Lato. Je suis le fils de l’archonte, Nearh, doit r?ussir les ?preuves et les initiations. “Je suis pr?te, madame”, dit le jeune homme courageusement, ne bafouillant presque pas. – d?j?? Seulement apparu d?j? et l’exploit mal? – R?pondit la fille qui fut surprise de surprise par le jeune homme qui ne savait pas quoi r?pondre ? la jeune fille. Habituellement, Nearhar n’a pas un mot ? dire dans sa poche, mais ici, semble-t-il, le discours qu’il a prononc? sur lui-m?me s’efface tant de fois de sa m?moire et il rougit timidement et s’extirpe de lui-m?me: – J’ai ?t? instruite par la pr?tresse avant le chemin du sanctuaire id?ologique, je suis venue seule et sans servante, comme il se doit. “Je vois…” r?pondit-elle longuement, “As-tu apport? de la nourriture avec toi?” Une louche en bois? Vous pouvez vous saouler dans la crique. Vous passerez la nuit dans une grotte et le matin, je viendrai vous instruire. En plus de moi, il y aura trois autres professeurs, je vous les pr?senterai. – La fille a dit cela, et a souri, et le sourire a peint son visage extraordinaire. – Quel est votre nom, madame? Demanda le novice en essayant de sourire aussi effront? que possible. “Kallifen, r?pondit-elle, viens, je vais te montrer ta demeure. Ils descendirent l’escalier en bois menant ? la grotte de la grotte de l’Id?e, sur des rebords sp?ciaux o? se trouvaient des lampes en argile, se dirig?rent vers une niche dans le rocher, o? se trouvait un tas de paille, un lit pour un jeune Cr?tois, ? c?t? d’un simple amphore en argile, recouvert d’un couvercle, dans un support sp?cial et une lampe ? huile. Le jeune homme jeta son sac avec une couverture, neuve un chiton de f?te, mettez un arc et des fl?ches ? c?t?, et les hymnes d’Hom?re, enregistr?s sur du lin, le parchemin ?taient chers. – Manger, boire une infusion d’amphore, mais pas plus d’une, sinon vous mourrez. Parlez des visions. R?veillez-vous ? l’aube, les enseignants viendront ? vous. – Elle finit d’une voix s?v?re, tenant ses mains devant elle, et regarda le jeune homme vers son lit simple. “Merci Callifen”, dit Nearh en se tournant vers la pr?tresse. – Oui, il n’y a rien. N’ayez pas peur des r?ves et des visions, elles peuvent ?tre r?elles. La fille est partie et Nearh a vu comment elle montait d?j? les escaliers. Ce n’?tait pas si bien sans elle, la pr?tresse ?tait belle et belle, et le fils de l’archone devenait int?ressant non seulement en tant que mentor ou gardien de secrets, alors il soupira lourdement et ouvrit son sac Il y avait plusieurs g?teaux plats, du miel, du fromage, du silex, un peigne ? cheveux, une ficelle de rechange, une pelle en bois, un nouveau chiton magnifique, des bandages et des herbes m?dicinales. Il sortit une louche, y versa une d?coction d’amphore et but l’infusion. Il devint un peu gris, mais ne mourut pas, comme il le craignait secr?tement (qui sait ce que les sorci?res avaient en t?te), regarda sa main, ne sembla pas trembler, sourit ? ses peurs, mangea un g?teau avec du miel et du fromage, sortit, but du ruisseau, nota l’eau dans une cuill?re la nuit et regarda autour de moi. Au loin, il y avait une petite maison, une hutte en terre ordinaire avec un toit en roseau, servant apparemment de refuge aux pr?tres de Dieu. Il s’est promis d’y aller la nuit prochaine sans faute. Quand il revint, se d?shabilla et s’enveloppa dans son voile, il pensa ? la maison, p?re et m?re, fr?res et s?urs, et souhaita que tout se passe bien pour eux. Surtout rien ne r?vait, seule la ville natale de Lato, la mer couleur vin. Bient?t l’aube est arriv?e, il s’est r?veill?, s’est lev?, est all? ? la crique pour se laver, s’est habill? et a mang?, a m?me lu un peu Hom?re, ses beaux chants. Bient?t, un homme arriva un peu au-dessus de la moyenne, fort, mais pas puissant, ?g? d’environ trente ans, sans barbe avec de longs cheveux noirs, pour lequel il menait deux chevaux, un costume de laurier et pas tellement de race. – Bonjour, Nearh, je suis un professeur de comp?tences militaires. Au temple, avec moi, vous allez devenir un cavalier, lancier, tireur, ?p?iste, vous pouvez m?me distancer Fidipid s’il ?tait en vie. Je m’appelle Diokles. “Bonjour, professeur”, dit le jeune homme en regardant son mentor, un grand et fort cr?tois. – Montez ? cheval, nous emprunterons le chemin o? nous ?tudierons et vous courrez tous les jours, matin et soir. – le professeur a dit. Diokles leur a montr? comment changer la d?marche du cheval, comment ne pas le blesser et afin qu’il ne puisse plus conduire le cheval, Nearch a appris beaucoup de choses nouvelles pour lui-m?me. Ils descendirent de cheval et, prenant des ?p?es de bois et se d?shabillant, se mirent ? danser jusqu’aux pyrrhs, puis les cl?tur?rent avec un bouclier et sans bouclier, avec un poignard et une ?p?e. Quelques racks. avec une ?p?e, des coups et des pr?jug?s, il a vu sur les sceaux anciens, repr?sentant un guerrier aux cheveux longs, frappant ses ennemis avec une l?g?re fente. – Rappelez-vous Nearh, l’escrime avec une ?p?e sur un cheval et ? pied est diff?rent, surtout lorsque vous essayez de placer un cadeau sur le fantassin. Pas ?tonnant que les Ath?niens du cheval n’agissent qu’avec des fl?chettes, et l’?p?e est dans les cas extr?mes. – a enseign? son combattant exp?riment?. Un soir, Diokl?s vint ? lui avec une longue pipe dans une pr?cieuse caisse en bois avec des boucles en argent. “Envoie un disciple, le ciel est d?gag?”, dit l’instructeur. Il commen?a ? le pousser avec impatience. Ils sortirent de la grotte, le ciel ?tait d?gag?, les ?toiles brillaient et la lune ?tait pleine. “Assieds-toi sur une pierre”, lui ordonna le professeur. Il ouvrit le cercueil allong? et sortit le r?cepteur, tendit l’extr?mit? la plus ?troite et le tendit au jeune homme qui prit avec pr?caution l’appareil dans sa main. “Regardez le t?l?phone sur la lune,” dit une voix agit?e. Nearh ne crut pas ses yeux. Diokl s’approcha de lui et ajusta le plus petit tuyau et l’?il du jeune homme, et l’image devint claire, il vit des creux sombres sur la lune. “Maintenant, trouve Mars”, ajouta le tuteur, qui le pointa dans le ciel, l’?tudiant mit le t?l?phone dedans, vit la plan?te rouge comme un petit cercle, pas comme une ?toile, et deux points ? proximit?.“Merci professeur,” murmura Nearhm, “et nos ma?tres sont formidables, j’ai vu des lunettes de bijoutier, mais c’est… “Tu n’as besoin de le dire ? personne, ?tudiant”, dit clairement Diocles, cachant le t?l?phone dans la poitrine. “Et maintenant, il est temps de dormir” et en lui tapotant l’?paule d’adieu, s’est endormi dans une petite maison et Nearhh a encore longtemps regard? le ciel nocturne. Et ce n’est que bien plus tard qu’il a pu descendre et s’endormir. Ensuite, ils se battaient g?n?ralement, pratiquant des coups rus?s et des sorties, tous issus du pankration. Dans la soir?e, Kallifen vint et commen?a ? lui apprendre ? conna?tre les cantiques, ? lire des listes de logographies indiquant la g?ographie ? la lisi?re de la terre. Le gar?on ?tait tr?s int?ress?, car il ?tait le fils d’un navigateur et ne savait pas grand-chose de ce qu’elle lui lisait. Donc, son enseignement a eu lieu jour apr?s jour, il est devenu beaucoup plus fort, a commenc? ? tirer mieux avec un arc, bien que chaque archer cr?tois, comme le navigateur, manie bien son ?p?e. La nuit, il buvait une infusion ? chaque fois, mais rien ne lui ?tait encore arriv?. Il a fallu deux mois d’entra?nement et d’exercices intenses, et ainsi un jour, suivant successivement, comme d’habitude, Nearh terminait son d?ner au bord du ruisseau – fromage, pain plat, miel, raisins secs et une infusion; il ?tait temps d’aller dormir ? la maison, ? la grotte, en comptant il voulait d?j? dormir chez lui, tendit la main avant d’aller se coucher ? plusieurs reprises, et aper?ut un martin-p?cheur assis sur les branches et le regardant attentivement, un l?zard fon?ant dans le sol, faisant le tour de douze abeilles qui ne bourdonnaient pas. en col?re, et n’a pas essay? de le piquer, avec le sacr? r Oors a soudainement commenc? ? ramper apr?s l’heure, un brouillard tr?s ?pais, le conduisant dans une grotte confortable, et l’adepte s’empressa de se r?fugier dans son abri, o? il se sentait tr?s ? l’aise sur la paille, recouverte d’un imperm?able et d’une couverture, et s’est rapidement endormi. Au d?but, on ne r?vait pas, mais il y avait un lourd oubli, puis un visage marbr? de blanc et une faux cendr?, puis une silhouette enfantine, tr?s grande, beaucoup plus grande que Nearh et le visage recouvert du capuchon d’un imperm?able jet? sur le corps. – C’est toi qui s’appelle Nearhom? – Imm?diatement, sans tarder, la femme de chambre endormie dit: – Es-tu venu pour passer les tests? elle lui parla d’une voix grave et grave. – Et aller dormir ici pendant soixante-dix ans! “elle a ri joyeusement, de sorte que dans un ?clat ?motionnel, elle a pris son manteau sur le sol, avec difficult? ? respirer”, continua, N?arch a ?galement eu froid et ne pouvait plus bouger la main ou le pied, comme s’il ?tait glac?. – Oh, l’ambiance s’est aussit?t lev?e. Vous ?tes destin? ? aider l’?lu, je dois vous montrer le haut et le bas, le monde des dieux, l’arbre de la paix, la source sacr?e. Viens, prends-moi par la main, et ne l?che pas, sinon tu seras perdu, et je ne sauverai pas. – Dit la jeune fille des r?ves. Apr?s avoir repris courage, l’adepte prit la main droite d’Elishia avec la main gauche et le monde commen?a ? tourner en rond devant ses yeux. Cette sensation incroyable dura presque une minute. Le jeune homme se r?veillait, mais c’?tait impossible, puis quelque chose implicite semblait tenter de le lib?rer. l’envoy? s’est imm?diatement m?rit? un casque assez divin, et je dois dire que je suis tr?s lourd, et la femme de chambre murmura: “N’osez pas, vous ne mourrez pas, vous disparaissez sans laisser de trace” – Nearh ouvrit les yeux mi-clos, tenta de regarder autour de lui. Sous la terre ?tait un sol pierreux, avec quelques arbustes en croissance, avec des fleurs p?les qui sentaient ? peine, mais tr?s agr?ables, tout ?tait implicite et indistinct autour, comme si la fum?e ?touff?e ?tait ?paissie et cette fum?e ne se dissipait pas. Plusieurs marches pass?rent et devant eux, la table immense d’un arbre gigantesque tomba du brouillard et on ne devinait que des hauteurs ? peine visibles dans le brouillard d’une branche couverte de feuilles ?normes. Le ciel ?tait gris, tout ?tait cach? par les nuages et le soleil n’?tait pas visible, il n’y avait pas non plus de vent. L’endroit est inconfortable, pensa le jeune homme. Il se retourna pour regarder la jeune fille, mais il ne voyait toujours pas le visage, seulement les t?n?bres aveuglantes sous le capot. – Nous sommes ? la place de choix, c’est l’arbre du monde. Je vis ici, et fr?re Ulle aussi. “Il fait noir ici, dit Nearh, o? est-il? – Je ne r?pondrai pas ? votre question. “Vous n’?tes pas pr?t, alors vous le voyez jusqu’? pr?sent”, r?pondit Elicia. – Regardez, voici la crique et le puits pr?s de l’arbre. – Elle a dit ces mots. Et il a vu la lumi?re et le brouillard s’est dissip?, et il a vu les plus belles prairies couvertes de fleurs, il y avait un merveilleux parfum de fleurs dans l’air, des papillons volaient, et parfois ils tournaient autour de la d?esse, ne cr?ant qu’une spirale de fleurs a?riennes, le ciel ?tait ?blouissant, le soleil brillait, Deux lionnes gisaient autour de l’arbre, regardant attentivement le Cr?tois, et encore plus loin, auparavant prises juste pour des rochers, des griffons ? la crini?re et des ailes dor?es s’asseyaient, ouvrant parfois leur bec, mais n’annon?ant pas les environs avec leur cri l?gendaire qui tue tous les mortels. Une cha?ne dor?e tordue autour de l’arbre, dont une extr?mit? atteignait le ciel lui-m?me, o? elle ?tait perdue dans les nuages, et l’autre descendait au sol, enroul?e entre les ?normes racines, des racines, ou plut?t des touffes de racines ? trois, et en regardant en dessous, il ?prouva une incomparable l’horreur – le Cr?tois a vu les anneaux du Grand Ver gris, du Serpent ou du Dragon, du Grand Kronos lui-m?me ou de Python, tout ce que vous appelez, tout est un. C’est ? travers ses anneaux que les ?mes des gens glissent dans le royaume des morts sur le pont de glace. Une source d’eau a ?t? d?gag?e du sol pr?s des racines, et juste ? c?t? d’un puits, Elicia a tout appel? pour que ses paroles soient grav?es dans la m?moire et ne puissent pas ?tre oubli?es, la jeune fille l’appelait Urd et le fait que c’?tait une source d’eau vive. “J’ai vu la cha?ne dor?e d’Hom?re, comme il l’?crivait: « Je n’ai pas touch? la cha?ne dor?e”, dit le jeune homme avec tristesse dans la voix. “Ne sois pas triste, marin, dit la Vierge, si je te permettais de la toucher, tu aurais un destin diff?rent. – C’est donc un bon endroit, mes champs, mes belles prairies et mes fleurs, peuvent voir les ?mes de ceux qui n’ont pas fait le mal, et ce que les ?mes de ceux qui ont fait le mal voient ici, tu as d?j? vu, Wet Drizzle, les gentils gens qui voient les Champs-?lys?es, – Alors, qu’est-ce que je suis en col?re? Nearhar a demand?, et je souffrirai pour toujours sans oiseaux chanter, la beaut? des fleurs et du ciel bleu? – On vous montre en partie ? quoi mon monde ressemble, mais vous n’?tes pas mort, vous ne pouvez pas ?tre ici et vous le voyez de mes yeux ? travers ma volont?. – Pourquoi je ne peux pas te voir en r?alit?? – C’est impossible, je ne peux ?tre parmi les gens que lorsque je serai incarn? dans l’essence humaine, ou seulement dans un r?ve, et que je semblerai ?tre choisi. “Que regardes-tu sur mon dos?” Il aurait jur? qu’elle riait si l’obscurit? pouvait rire. – Tu cherches mes ailes sous un imperm?able? Avec les ailes n’a pas fonctionn?, d?sol?, marin. – Vous ?tes donc n? sur Terre, comme un homme, madame? – Et pas une fois. Mais je ne dirai pas le reste, je vous pr?parerai aux ?preuves. Vous devrez deviner les trois ?nigmes que Kallifen vous donnera, et souvenez-vous que la ruse n’est pas interdite. Ensuite, vous serez d?barrass? du vin d’ichor. – Qu’est-ce que ichor? – Je vais vous montrer le sang des dieux. Soudain, une dague enflamm?e a surgi de sa main dans sa main. Elle les passa autour de son poignet. Nearh fron?a les sourcils devant l’attente de la douleur de quelqu’un d’autre, la douleur d’une fille, mais la noirceur au lieu du visage d’Elicia ?tait imp?n?trable. jet de liquide clair. Le fils de l’archonte ne pouvait pas d?tourner le regard des gouttes de courant qui coulaient au sol dans un ?troit ruisseau et s’?taient d?j? contract?es pour s’arr?ter, pas du sang, mais autre chose… “Tu n’as pas de cicatrices, Nearh?” La d?esse a demand?. “Sur son avant-bras” et sans un mot, elle posa son poignet sur son avant-bras. La blessure r?cente qu’ichor s’?tait ?goutt? devint p?le et la cicatrice disparut compl?tement, puis toucha la paume de son ?paule. – Qu’est-ce que tu fronces les sourcils? Regarde plus amusant! Cela ne me fait pas mal, m?me si je ne vais pas le cacher agr?ablement quand ils sont inquiets pour vous. C’est un souvenir de moi, vous vous souviendrez que ce n’?tait pas tout ? fait un r?ve. Niarch commen?a ? se r?veiller, mais il ne pouvait pas ouvrir les yeux, il faisait nettement plus froid dans la grotte, les spasmes retenaient les muscles, comme s’ils ?taient devenus de cuivre, le corps ressentait un sentiment de non peur, non, quelque chose d’?tranger, tout ? la fois, compl?tement diff?rent, implicite et incertain.. Finalement, cette chose quitta la grotte et Nearh put ouvrir les yeux, il faisait d?j? jour et il courut se laver, et le gnomon indiqua l’heure. Kallifen arriva, apporta des g?teaux et du miel, une serviette fra?che, ses yeux se pos?rent rapidement sur les ?paules et les bras de Nearh, puis ses pupilles s’?largirent incroyablement, comme si elle voyait quelque chose d’important, mais elle ne donna aucun signe, pas m?me un indice. “Asseyez-vous pr?s de moi”, dit-elle d’une voix inhabituelle et inhabituelle et tendre. Elle se montra pour s’asseoir sur la chaise pliante et il se tendit imm?diatement, sentant la suggestion, “Avez-vous bien dormi ce soir?” – demanda la pr?tresse et regarda attentivement dans les yeux de l’adepte, ne levant pas les yeux. “Oui, pas mal,” mentit-il. – Les r?ves ont probablement un bon r?ve? La pr?tresse a demand? ? nouveau. “Int?ressant”, dit Nearh, indistinctement, en mangeant un g?teau au miel. “Et vous cuisinez bien, je ne pensais pas que les pr?tresses ?taient de tels ma?tres.” – Manger sur la sant?, vous irez bient?t sur la route. – d?j?? Je n’ai pas r?ussi le test? – O? es-tu, une chaleureuse main br?l?e? Dit-elle, serrant sa main droite avec t?nacit? et lui montrant la br?lure provoqu?e par le contact d’Elishia hier. “Et comment la d?esse vous a-t-elle r?v?l? son visage?” – le jeune homme glissa un ?il sur son ?paule et remarqua une cicatrice, plut?t une tache rouge en forme de pied de poulet, ou un trident, tr?s petit, qu’il n’avait pas remarqu? hier. Nearh tenta de se lib?rer, mais en vain, malgr? sa petite taille, la pr?tresse avait une force remarquable, et la secousse de l’initi? ?tait en vain. – Je n’?tais pas garanti, quelque chose. – r?pondit le jeune marin. “La d?esse vous a remarqu?e”, ajouta Kallifen, caressa cet endroit avec une sorte de br?lure avec une sorte de respect, et regarda d?j? le jeune homme presque comme un ?gal. – Portez un chiton avec des manches que les autres ne verraient pas, et voici votre premier souvenir qui a r?ussi le test. Elle lui tendit un bracelet en argent torsad?, avec deux spirales se faisant face. – Selon ce bracelet, un autre initi? vous reconna?tra, portez-le ? l’?paule. Comment, la t?te ne tourne pas, vous vous sentez normal? “Oui, pas mal,” mentit Nearh. Il manquait encore une fille pour se plaindre! – Dans la soir?e, j’apporterai les m?dicaments, me reposer aujourd’hui et demain nous commencerons d’une nouvelle fa?on – elle termina son discours, donna les provisions et alla chez elle. Malgr? tout, c’?tait agr?able de la regarder, alors qu’elle ?tait pr?tresse et qu’elle ?tait tr?s belle et intelligente, et tr?s forte, en fin de compte. L’instructeur monta le long du sentier avec une d?marche charmante, son imperm?able, le beau travail d’une bonne toile furent jet?s sur une tunique, le vent le souleva l?g?rement ? chaque marche, les rayons du soleil tomb?rent sur ses cheveux rouge sombre, et ils brill?rent d’or, pas de cuivre, et pas fait attention, ou fait semblant de ne pas faire attention aux regards admiratifs de l’?tudiant. Nearh se d?tourna ? peine de la beaut?, mangea son petit d?jeuner, rassembla ses provisions pour le d?jeuner, qu’il emporta dans le vaisseau avant midi, regarda le gnomon, il restait encore beaucoup de temps et se pr?para ? lire H?rodote. Bien qu’y a-t-il? ? pr?sent, il ressemblait presque ? Aristey, pensa-t-il, et sourit. Il regarda de nouveau la br?lure et le bracelet sur son ?paule et entra dans la grotte, il se sentait tr?s mal, sa t?te tournait cruellement, il avait mal, la t?te, la nuque et la nuque. Atteignant le lit, il essaya de lire, mais s’endormit et cette fois, il ne r?va que de famille. Kallifen le r?veilla en le secouant fort ? l’?paule. – Levez-vous, vous serez initi? aux sacrements. Laissez tout ici, vous serez bient?t de retour. Vous esp?rez bien dormir, vous sentir mieux apr?s hier, voir la d?esse un travail terrible, mais le matin, le vert ?tait comme une herbe printani?re. Ils sont venus du temple de la pr?tresse, moi seul ne peut pas tenir la Sainte-C?ne, ? c?t? de la maison une petite grotte, maintenant nous y allons. – elle a dit tout cela en marchant ? c?t? de Nearhom, lui montrant le chemin. Ils ne sont pas all?s aussi longtemps, ils ne sont pas entr?s dans la maison de la pr?tresse, mais ont contourn? le chemin, ils ont imm?diatement vu la petite grotte requise. En raison du tournant, il semblait que de nulle part, trois pr?tresses se trouvaient ? proximit? et deux musiciens avec des fl?tes, des flambeaux, m?me si le soleil brillait toujours et qu’il faisait jour. – Nous vous souhaitons la bienvenue Niarchos, le dernier voyage au royaume des dieux, enlever vos v?tements et pr?parez-vous pour le sacrement, – je lui ai dit Serviteurs Luton – Vous avez d?di?, mais besoin d’un autre rite. Il enleva rapidement sa tunique et des sandales, nu gauche, bien embarrass? ? se d?shabiller devant des femmes, mais se consolait avec le n?cessaire, et en plus semble bon. Ici, la fl?te a jou? un rythme effr?n?, Niarchos a imm?diatement reconnu la Pyrrhus, si fatigu? une fois pass?, parce que cette musique est dans la bataille, et les hommes ne se sentent pas fatigu?s sous le poids de l’arme. Pr?tresses ?taient les c?t?s et devant lui et derri?re lui ?taient un musicien, sans ralentir, il ?tait comme une op?ration militaire, et il ?tait une recrue, qui marchait derri?re la banni?re ? l’examen, et pass? un peu, parut sur le seuil de la grotte, illumin?e par des torches. De plus, dans les profondeurs, il y avait un lenos, un sarcophage en marbre de forme ovale orn? de reliefs avec des ?pisodes de la vie de Dionysos. C’est dommage qu’il n’y ait pas de temps ? perdre, mais Nearh a consid?r? les t?tes de lion et Dionysos avec un tir fatal, tenant la main d’Ariane. La chambre ?tait ?clair?e par quatre lampes de bronze, moul?es en forme de lionnes, se tenant sur leurs pattes post?rieures, reposant sur un pilier dans lequel l’huile illumin?e ?tait vers?e. La procession s’est arr?t?e, mais la m?lodie n’a pas cess? de jouer et la grande pr?tresse a commenc? ? tenir un discours: – Nous avons apport? le n?ophyte qui est pr?t ? nettoyer et des v?ux, que le sang de Dionysus assainis, en souvenir du sacrifice de Dionysos, son sang a cr?? le monde. Du sang au sang, de la vie ? la vie. Elle l’a conduit ? lenosu, plein d’ar?tes de vin rouge, et le Cr?tois tenant le bord de la plaque de marbre blanc le?osa, a commenc? doucement ? couler dedans, assis confortablement, capable d’?tirer mes jambes, et le vin couvert enti?rement, au cou, puis, Les assistants referm?rent rapidement le couvercle du sarcophage cr?tois dans le vin sacr?. A ce stade, le jeune homme s?rieux avait peur, mais n’a pas ?t? d?pos?e, et l’esp?ce, plus se plaindre ?tait inutile, et m?me du vin cach? et le marbre, il a entendu des chants des pr?tresses de mots anciens litt?ralement, il ne comprenait pas toujours, mais le sens est en partie atteint sa conscience. Les pr?tresses ont demand? ? Elicia de ressusciter et de purifier le nouveau ministre des dieux, avec l’aide du vin et de l’ichor divin. Les hymnes dur?rent longtemps, mais ils n’avaient pas encore commenc? ? s’?touffer, cela durait toujours deux heures. Enfin, le couvercle lev?, il a commenc? ? sortir de sa demeure marbr? avec lui couler sur le vin, et il a ?t? remis une serviette, puis il a ?t? invit? ? plonger dans le bain de boue, ce qu’il a fait, lavant les traces de vin, essuy?e, la pr?tresse lui a donn? de nouveaux v?tements, brod?s serpentent le long du bord, ? venir dans le ch?ur a continu? ? chanter des hymnes ? Apollon et Alice, fl?tiste ne montrent pas leurs rythmes martiaux et la musique a ?t? remplac? par le son de la cithare, le solennel et sans bruit comme si triomphant, important pour la proclamation de la victoire des dieux jumeaux d’eux-m?mes en train de mourir Niemi. Elle a pris fin avec l’initiation de N?arque, et l’a approch? pr?tresse et lui remit un anneau avec un signe de la double h?lice, et l’autre avec l’image de la gauche de la croix gamm?e. – Vous avez r?ussi l’initiation, le d?vouement, maintenant vous ?tes l’un de nous et si plus tard, quand tout sera fini, votre minist?re, nous serons heureux de vous voir revenir. Pr?tresse a d?cid? de ne pas vous donner un nom diff?rent de celui qui vous a donn? une pr?tresse de Lato, vous restez Niarchos, – dit-elle, en regardant dans les yeux, Le jeune homme sourit, pensant qu’il rentrerait chez lui, que sa m?re ferait un festin, tout le monde serait tr?s heureux. Mais la ma?tresse poursuivit: “Maintenant que vous avez des proc?s, Diokles et Kallifeni, ils vous ont beaucoup appris, mais c’est n?cessaire pour vous.” ? propos, ils vous attendent d?j?”, dit-elle d’une voix s?v?re. – Tout le meilleur pour toi, hi?rophante. “Merci, ma?tresse,” r?pondit le jeune homme et alla chez ses compagnons. Kallifen lui sourit, Diokles le salua avec une poign?e de main. – Comment ?a s’est pass?? C’est toujours int?ressant pour moi, je ne suis qu’un mentor. – C’?tait normal, c’?tait … – mais remarquant le regard strict de l’enseignant, Nearh changea l?g?rement la r?ponse, – Fait int?ressant. – et sourit, regarda le coin de sa r?action oculaire de Kallithea, et elle sourit et ses jolies boucles ne tremblait plus d’irritation. “C’est un d?ner en l’honneur de la d?dicace, puis nous reviendrons et vous r?pondrez aux ?nigmes.” – et elle sourit un peu myst?rieusement, et elle regarda le fils de l’archone presque ? ?galit?. Les tables ?taient couvertes dans une tente et tous recevaient un plat d’argent solennel – tasses et plats. Vingt personnes ?taient pr?sentes et vingt bo?tes ont pris le d?ner. Tout d’abord, la pr?tresse principale et Diokles ont allum? le feu d’Apollo avec un verre incendiaire – Nearh a d?couvert une telle curiosit? pour la premi?re fois, a seulement entendu, et a allum? des bougies en cire en l’honneur d’Ulla et d’Elissia. “La lumi?re pla?t aux dieux de la lumi?re, dit-elle, ils n’ont pas besoin de sang”, dit la pr?tresse d’une voix solennelle. “Nous boirons en l’honneur des dieux jumeaux, et ils l’ont tous suivie et ont bu le vin des bols sortis du r?cipient commun, en signe de communaut?.” Les gobelets n’?taient pas simples, un jeune homme ne voyait que les images, sous la forme d’un cygne – la t?te et le cou ?taient le manche d’un vaisseau, et le gobelet avait ?galement une forme oblongue, imitant le corps d’un oiseau. Ensuite, diff?rents plats ont ?t? servis, mais certains, principalement des fruits, des fromages et des biscuits, ont ?t? consomm?s ? la sant? de Nearh et de ses professeurs, la principale pr?tresse. Le d?ner fut bient?t termin? et le h?ros de l’occasion se rendit dans la grotte. Il s’agissait d’un jeune homme et de ses professeurs dans une petite maison voisine. Les pr?tresses et les servantes du temple en charrettes partirent pour Lato. Le jour ?tait mal ? l’aise, il faisait d?j? noir, le soleil se couchait, le ciel s’assombrissait d’un bleu ?blouissant, une l?g?re brise se levait et il faisait un peu froid, le jeune homme alluma une lampe en argile, jeta rapidement le chiton donn? avec de belles broderies, v?tu d’un simple, mit son vieux tas de frais manteau et pr?par? un nouveau pour se couvrir, d?shabill? ? nouveau, mais tout ? coup, il entendit dessus, dans les escaliers, un craquement, comme si quelqu’un descendait les escaliers, entendant cela, Nearh tira ? la h?te une dague cach?e (juste au cas o?) et alla voir oh ce soir la recherche a apport?? Apr?s avoir march? quelques pas et se tenant au coin de la rue, il regarda de plus pr?s et vit dans la p?nombre qui le recouvrait la lumi?re de la silhouette de Kallifen envelopp?e dans un imperm?able, de sorte que seul son joli visage soit visible. “Quelqu’un s’est-il pr?par? ? vous attaquer, brave guerrier?” Demanda-t-elle en riant: “J’ai d?cid? de vous rendre visite, v?rifiez ce que vous ressentez apr?s la d?dicace, si vous avez un lit moelleux”, dit-elle en s’approchant du jeune homme. main, et regarda dans les yeux soigneusement et avec chaleur. “Tu as de beaux yeux, gris, tu es un tr?s beau gar?on”, dit chaleureusement la pr?tresse. – Viens. – Dit-elle avec une profonde respiration, le conduisant au lit, il remarqua qu’il y avait dans sa main un petit sac. Elle s’assit sur son lit et une pancarte m’invita ? m’asseoir l’un ? c?t? de l’autre. Nearh, soigneusement, sans lever les yeux, regarda la belle qui ?tait venue lui rendre visite, sur son beau visage, sur les boucles de cheveux qui lui tombaient sur les ?paules. Elle posa doucement sa main sur son ?paule, touchant la cicatrice, et dit “Et la d?esse ne m’a pas remarqu?e, elle ne m?ritait pas de savoir,” dit-elle d’une voix bless?e, “mais ensuite je t’ai rencontr?.” – et a mis sa main sur sa cuisse, de sorte que la chaleur a submerg? le jeune homme, puis a mis sa main sur l’arri?re de sa t?te, l’a embrass? et ne s’est pas d?tach?e pendant longtemps, et de son autre main a jet? son imperm?able, restant nu. Nearh l’?tudiait amoureuse de ses petits yeux – petits, avec de beaux cheveux longs et boucl?s, atteignant ses fesses, l?g?rement trapus, avec de belles hanches fortes, de petites jambes et des seins ronds, ?tait tout simplement charmant. Kallifen sortit une petite amphore du sac et un drap qu’elle avait mis sur la vieille cape Noarh et un petit oreiller pour elle-m?me et leva les yeux vers l’initi?: “Viens ici, mon petit,” dit-elle en se tirant pour elle-m?me, et le monde ?tait parti pour le nearchist. La nuit a pass?, comme dirait plus tard Nearh, une exp?rience sage, dans des veill?es orgiastiques, mais le matin, ils se sont endormis. Le jeune homme se r?veilla le premier et la dame qui l’avait vou? toute la nuit aux myst?res de l’amour dormait toujours sur son oreiller, les cheveux ?parpill?s, envelopp?e dans une couverture, il sortit avec pr?caution de son imperm?able et courut se laver et se v?tir, elle entendit ses actes et devint r?veillant la pr?tresse, bailla d’abord, puis s’?tirant ouvrit les yeux, “Bonjour” dit Nearh en l’embrassant sur les l?vres, elle l’entoura de ses bras, l’embrassa en arri?re, touchant son corps avec ses seins nus. – Je dois y aller, – dit la fille en lui souriant, – Je pense que oui, tu as r?ussi le prochain test, elle a ri en se tapotant les cheveux. – quels sont les? Je pensais que tu aimais – L’amour fait plaisir ? Elisia, et vous lui plaisez, serrant avec reproche son doigt et mettant son chiton, dit ? Kallifen, – Et je vous aime bien, mais je devais vous instruire en amour, pour que votre vie soit compl?te, que serait-il pour vivre. Rappelez-vous, le chemin spirituel est le chemin d’Apollo et le chemin de Dionysos est sensuel. – Et Elissia? “Aussi, mon sacrifice, c’est comme ?a, ma glorieuse”, elle s’assit, ?tirant ses jambes et enfilant des sandales. – Je dois y aller, on se voit dans l’apr?s-midi, dit-elle en se tenant sur la pointe des pieds, elle l’embrassa. Il mangea et bient?t son mentor arriva, et comme ce n’?tait rien, commen?a ? lui apprendre, en lui montrant les techniques d’?criture, et le lendemain elle organisa des tests. – Vous devinerez des ?nigmes, et seulement trois, – dit-elle, – difficile? – demanda le jeune homme – Pour quelqu’un comme, avec un haussement d’?paules, r?pondit la pr?tresse, – Vous pouvez le g?rer. Probablement, dit-elle en prenant sa main et en regardant avec amour dans les yeux. Il ?tait difficile pour Nearchus de passer la nuit pr?c?dant les ?preuves. Il tenta de rechercher d’?ventuelles ?nigmes avec Hom?re et H?rodote, essayant de gagner la sagesse des anciens. Tout ?tait inutile, mais au milieu de la nuit, un r?ve bienfaisant le submergea. Le lendemain matin, au r?veil, il se lava rapidement et s’habilla dans une vieille tenue, puis pensa que la journ?e ?tait solennelle, enfila un chiton avec un m?andre, sans oublier le bracelet sur sa main. V?tue de sandales, j’ai vu Kallifen sur la pente, agitant sa main invitante. Il est all? presque courir ? la rencontre de son destin. On pourrait dire presque, et presque ne pas s’inqui?ter. Le jeune homme entra dans la maison, divis? en plusieurs cloisons, se dressa au milieu de la table et, derri?re lui, ?taient assis Kallifen et Diokles, une pr?tresse inconnue, une femme de trente ans aux cheveux noirs et boucl?s, v?tus d’une magnifique robe vert fonc? une ?pingle ? cheveux en forme de lionne d’or pur et ? son cou ?lanc? ?tait suspendu un collier en or, en forme d’ailes d’oiseaux, ferm?es les unes aux autres. – Comment vous appelle-t-on, jeune homme? Elle a demand? “Je m’appelle Nearhom, r?pondit-il, ? la demande de la pr?tresse Leto, notre ville.” – Vous avez termin? la purification, vous devez maintenant commencer, mais vous devez d’abord deviner trois ?nigmes, selon l’ordre d’Ulla. Alors commen?ons. Elle posa sur une difficile table en bois trois figurines en argent: Aphrodite, Art?mis et Ath?nes. Aphrodite ?tait repr?sent?e nue sortant d’une perle, Art?mis avec un arc derri?re son dos et un ours ? c?t? d’elle, Ath?na avec un bouclier ? la main. “Dites-moi, n?ophyte, ce que signifient ces figurines, leur sens et leur signification”, dit-elle triomphalement. Nearh commen?a ? penser, son choix ressemblait presque ? celui de Paris avec une pomme d’or et trois d?esses devant lui, et le choix est vrai, pas si cruel, il se souvint du r?ve d’Elisia et des Champs-?lys?es, rappelait les le?ons de Kallifeny, Artemis d’Eph?se, et parlait “Ce n’est qu’une d?esse, la jumelle d’Apollo-Ulla, la grande Elicia.” Tout en une personne, et ce n’est que son incarnation, plut?t des ?manations. – Tu as bien r?pondu, et ta r?ponse est correcte, dit la pr?tresse d’une voix s?v?re, – Question suivante: Quel est le sens du Sentier de Dionysos et du Sentier d’Apollon? – C’est simple, r?pondit Nearh, et involontairement souriant, se souvenant de la nuit d’amour avec une belle fille et ses instructions, – Le chemin de Dionysos est la connaissance du monde ? travers les sentiments, et le chemin d’Apollon est la connaissance du monde ? travers la raison, le chemin spirituel. Le symbole d’Apollon est M?andre et Dionysos est une grappe de raisin et du lierre fris?. “Et Elishia, quels sont ses symboles?” – pos? une autre question “Le plus grand est dans chaque temple hell?nique, Palmetta, couronnant la frise, comme un espoir de r?surrection”, r?pondit Nearh. “Vous ?tes l’un de nous, Nearh, la pr?tresse a?n?e a parl? d’une voix chaleureuse, et si aux yeux de toutes les Hellas il y a un sorcier cr?tois, alors l? o? le destin vous m?ne, vous conna?trez les pr?ceptes des dieux aux yeux de ceux qui ne le savent pas. Vous ?tes maintenant Courtes, un gardien de Dieu, un coribant, connaissant les institutions divines.Prenez-le comme un signe de communaut? et portez-le avec honneur et donnez au jeune homme un anneau avec une photo du svastika de gauche. – F?licitations, dit Diokle, – pas maintenant un gar?on, mais la derni?re initiation, il fume, un coribant, un sage, – dit-il s?rieusement, honn?tement, avec une sorte de strabisme, – je t’ai appris ? utiliser une ?p?e et une lance, essaie de faire ce que tu veux Honneur, maintenant vous ?tes devenu un messager, un guerrier de Dieu. “Vous ne devez pas vous couper les cheveux”, remarqua s?v?rement Kallifen. “Souvenez-vous des instructions, il est temps que vous partiez, et je vous rejoins.” Nearh alla chercher ses affaires simples, enleva son lit, en fait un tas de paille, et prit son vieil imperm?able et un sac ? parchemins. Quand il revint, le rire les attendait d?j?, Kallifen ?tait assis dans un chariot, et sur les ch?vres ?tait un gardien ?g? du temple, Diokles resta chez le pr?tre, comme toujours tr?s fort, “Adieu le gars, et que la chance soit avec toi”, dit-il au hi?rophante, et suis le bon stand, ne tord pas la brosse sous l’impact, et regarde la marche, bref, Notarh, ne te laisse pas tuer. Et si quelque chose ne va pas, je suis toujours heureux de vous voir ici, l’assistant ne m’interf?rera pas”, r?p?ta-t-il en secouant les ?paules. Il releva accidentellement la manche du chiton et changea de visage, p?lit, pas de peur, le navigateur savait que Le mentor n’est pas effrayant, mais par surprise et douloureux pour l’?l?ve, “Je ne savais pas que tout se passait ainsi”, et jeta un coup d’?il rapide sur le wagon, mais la pr?tresse fut distraite et ne l’entendit pas. et s’inclina facilement, – Soyez prudent et ne parlez pas de cette affiche avec qui que ce soit. Adieu et soyez heureux si ?a marche, dit-il, et Nearhar ?tait d?j? en train de monter dans la voiture, le chauffeur tira les r?nes et les voyageurs partirent. D?part Le wagon ?tait tr?s fragile sur les bosses et la route n’?tait pas tr?s lisse, mais Neaarh s’installa bien sur les matelas et il ?tait presque ? l’aise. Kallifen s’assit ?galement sur les coussins et se sentit bien, mais se couvrit d’un voile pour ne pas attirer les yeux des autres. et pour que la poussi?re ne s’encrasse pas dans le visage et les cheveux. Le wagon ?tait recouvert d’un parapluie solaire, de sorte que ses rayons n’?taient pas trop frits. Bien s?r, nous avons conduit lentement et avons regard? les champs et les jardins que nous avons conduits, et le soir nous allions rester ? l’auberge. Kallifen parlait de temps en temps ? son compagnon de voyage: – Alors ton p?re, Androtim, veut dire? Mon p?re conna?t ton p?re, il si?ge ?galement au conseil de Lato, Ici, Nearh, qui s’est nich? confortablement sur les coussins, s’est ?touff?, imaginant la r?action de son p?re ? une nouvelle connaissance, car il n’?tait m?me pas un ?p?be, mais Papa avait un temp?rament vif et, avec l’?ge, il ne devenait pas plus calme. Niarchu est plus d’une fois tomb? ? terre pour avoir navigu? seul sur le bateau ou pour avoir plong? trop profond?ment en essayant de trouver l’anneau de Minos dans le c?l?bre lac Voulismeni. Il a de nouveau regard? la pr?tresse qui lui souriait gentiment, assise ? c?t? de lui, et il sentit la chaleur de sa cuisse ? travers le tissu, comprenant d?j? ce ? quoi elle voulait en venir, mais il feignit d’?tre incompr?hensible. – G?nial, c’est bien. Comment puis-je ne pas me souvenir du tout? Nous serions familiers. “J’ai ?t? envoy? au temple assez petit et chez moi, je le suis rarement.” – Triste sans famille? – demanda au jeune homme, pensant ? un ami, qu’elle avait cinq ans de plus que lui, bien que tr?s belle et intelligente, mais connaissant l’ordre critique, et si elle parle ? sa m?re, il sera mari? et ils auront honte qu’il reste obstin?ment et n’appr?cie pas votre bonheur “Mais je cuisine bien et je sais comment faire le m?nage, et nous en avons sept qui sont tr?s influents”, dit-elle avec un regard attentif sur la r?action de Nearh. Le jeune homme aimait beaucoup la pr?tresse, mais n’aimait pas ?tre forc? de faire quelque chose. Bien qu’ici, vous ne changiez rien, c’?tait donc destin?. Nous avons pass? la nuit dans une auberge et m?me les puces n’?taient pas l?, ce qui est ?trange. Peu ? peu, ils s’approch?rent de leur ville bien-aim?e et, ? l’auberge, pr?s de la porte, Kallifen ordonna de s’arr?ter et se rendit dans la chambre de l’h?tesse pour se changer. Elle est sortie de la beaut? d?j? ?crite, en costumes pour une fortune, dans un chiton de soie, avec le m?me manteau de soie, dans de belles sandales en cuir gaufr?, des oreilles pes?es sur des boucles d’oreilles avec des pendentifs en forme de serpents, des perles dor?es autour du cou, des temporales en or sur la t?te cernes, cheveux et couch?e en une vague, Nearh ne pouvait quitter ses yeux de la beaut?. – Tu aimes, Nearh? – Il l’a regard? et a souri sournoisement. “Vous ne pouvez pas quitter les yeux”, r?pondit le jeune homme l?g?rement perdu. “Pourquoi?” – Je ne peux de toute fa?on pas para?tre tes parents comme un g?chis, dit une fille Ils mont?rent dans le wagon et ils se retrouv?rent bient?t au manoir d’Androtim, Archon Lato. La maison ?tait la m?me qu’elle ?tait avant le d?part de Nearh, avec un trottoir de pierre ?troit et un foss? pour l’eau, une cl?ture ? la hauteur d’un homme de pierre brute, avec du lierre, qui la surmontait facilement. Les arbres fruitiers poussaient au-dessus de la cl?ture et le toit en tuiles rouges ?tait visible. Le jeune homme frappa ? la porte avec un anneau de bronze. Il ouvrit presque aussit?t une maison esclave aux portes en ch?ne, mais il ?tait habill? de fa?on festive. “Que s’est-il pass?? Pens?e ? Nearh, je n’ai absolument pas averti mes proches ? mon retour.” Du jardin vint le cri du p?re: “Qui est venu?” “C’est moi, mon p?re”, a cri? Nearh, et des parents sont d?j? all?s ? sa rencontre, avec des invit?s qu’il ne connaissait pas, mais en regardant sa compagne, il s’aper?ut qu’elle les connaissait bien. Au d?but, ses s?urs, Hellanik et B?r?nice, se sont pr?cipit?es vers elles et ont commenc? ? demander ? leur fr?re: – Nearh, vous ? nous du tout? Et qu’en est-il des montagnes? Et apport? des cadeaux? – Ils discutaient, et le fr?re remit des cadeaux ? chacune des ceintures en cuir gaufr? qui semblaient ne pas se battre, apr?s quoi ils commenc?rent ? regarder Kallifen et ? l’interroger: – Qui es-tu? Et toi depuis longtemps? ?tes-vous vraiment une pr?tresse? Avez-vous un serpent? alors m?me la pauvre fille ne pouvait pas mettre dans le mot, “Et elle est vraiment belle, mon fr?re”, d?clara la rus? B?r?nice. Elle regarda le miracle avec de grands yeux honn?tes dans les yeux de Nearh. Gellanika se mit ? rire bruyamment, de sorte que toutes les boucles riaient d’elle, et r?ussirent ? chasser la peinture, la pr?tresse et le rideau.. Puis le p?re et la m?re du navigateur se sont approch?s, et le p?re et la m?re de Kallifeny, la m?re Gorgo, ont pris le petit rire entre leurs mains et les ont apport?s ? la table avec des rafra?chissements, et Androtim a serr? son fils dans ses bras, et Cleon et Rada ont ?treint et ont embrass? Callifen, son fille – Bonjour, mon fils, m?ri, en costume de pr?tre, et de retour ? l’heure. Apr?s trois mois de navigation, le bateau se rendit en Mac?doine. Vous irez rendre visite ? Philippe de Mac?doine et ? son fils Alexandre. – Et toi bonjour, ma belle, la fille de mon amie Cl?on, belle comme l’aube du matin, pas pour rien que ta m?re s’appelle Rada (radieuse). “Nous allons nous asseoir ? la table et parler”, a d?clar? Androtim ? tout le monde. Les h?tes et les invit?s se sont ensuite rendus dans un petit jardin rempli de lierre, avec de belles poires et des p?ches, avec une table au centre, o? ils se sont assis avec des appareils tout faits. Il y avait beaucoup de gourmandises, mais Notaru n’?tait pas pr?t ? manger, ils ont mis Kallifen ? c?t? de lui, elle a souri avec bonheur, et a mis une tranche de li?vre blanc dans son assiette et a surveill? ce qu’il mangeait. “Bien s?r, ?a va ?tre r?solu”, affirma Androtim. Cleon acquies?a de la t?te avec Rada. Gorgo, de retour de la maison, avait mis ses filles au lit. “Vous, Nearh, ?pouserez Kallifene, et n’osez pas m’opposer ? moi.” Vous savez qu’en Cr?te, nous avons de vieilles coutumes et nous les respectons, la fille vous a choisi, cela ne vous d?range pas et au nom d’Aphrodite, vous allez vous marier. Il n’y a rien ? tirer, tout est pr?t, nous discutons de tout avec Kl?on, le mariage de demain, avec ces mots, Kallifen rougit et baissa les yeux, et Nearh ne fit pas d’objection, d’une part insens?e, et d’autre part de quoi? Apr?s tout, il aimait la fille. “A peu pr?s, quitte la table, deux cl?s, discutons”, lui dit son p?re, le jeune homme se leva et suivit son p?re au coin de la maison.“Fils, je comprends que tu sois jeune, mais la pr?tresse a accept? de t’?pouser, et toi, alors qu’il est fermement paresseux sur ses ?paules, il a un fils et je ne veux pas penser que tu mourras et que notre race sera interrompue – et ici il sourit – tu es d?j? un adulte et je compte sur toi. La fille est tr?s belle, elle vous aime, d’une famille tr?s puissante, alors je suis m?me heureux que vous soyez ensemble maintenant. Vous partez, ne vous inqui?tez pas – et vous ?tes la classe des pr?tres et elle, donc ce ne sera pas une insulte pour elle et sa famille. Oui, et derri?re elle Cl?on donne une dot consid?rable. “Je comprends, p?re, et elle m’est ch?re”, r?pondit le fils. Le p?re sourit et lui tapota l’?paule avec approbation. – Nous sommes all?s chez les invit?s, dit Androtim, Ils s’assirent devant leurs co?quipiers et Kallifen ?tait tout ?carlate, mais rit. Nearh se pencha vers elle et lui demanda doucement. – Que s’est-il pass?? “Ils m’ont appris quelque chose ici, a-t-elle r?pondu, en riant, son sourire la rendait tr?s belle et les boucles d’oreilles dor?es sur du cuir pourpre avaient l’air super. “Bon, d’accord, il est temps de nous disperser. Demain, nous nous retrouverons au temple”, a d?clar? le chef de la maison, et a appel? les serviteurs munis de torches ? emmener leurs invit?s, maintenant des parents. T?t le matin, les archons de la maison ?taient d?j? debout, les serviteurs pr?paraient des friandises et les propri?taires du domaine s’habillaient pour la c?r?monie. Gorgo, la m?re de l’?poux, rev?tit la meilleure robe, des bijoux de famille, se couvrit la t?te d’un riche ch?le, Androtim ?tait dans le meilleur chiton de lin, avec une pluie richement brod?e, le groom ?galement pas habill? comme d’habitude, dans un chiton de lin de travail ?gyptien et une cape de date, des sandales en cuir estamp?, et la nourrice des filles ?tait ?galement tr?s bien habill?e, et Gellanika et B?r?nice portaient les plus belles robes. Tous se rendirent au temple de Latona et pr?s du sanctuaire, ils ?taient d?j? attendus par Kallifen et ses proches, ?galement solennels, v?tus de leurs plus beaux atours. Ils se salu?rent tous et mont?rent ensemble le stylobate jusqu’aux portes du temple, pr?tresse d?j? ouverte, famili?re ? Androtim en ce jour inoubliable, le soleil radieux lan?a son rayon sur le fianc? et la mari?e, comme si les b?nissant et souhaitant le bonheur, la m?me lumi?re brillante tomba sur la porte en cuivre rembourr?e sanctuaire, refl?t? dans les visages des invit?s. La pr?tresse conduisit Kallifen et Nearh au temple, comme ceux qui avaient r?ussi la d?dicace, les autres ?taient laiss?s derri?re le seuil, de sorte qu’aucun des invit?s et des membres de la famille ne s?t ce que la pr?tresse avait dit aux nouveaux mari?s. Et beaucoup a ?t? dit “Viens, Kallifen et Nearh, tu es une fille qui a choisi un chemin difficile, Nearh est destin?e ? trouver un nouveau messager des dieux, le vrai Sauveur”, Kallifen regarda d?j? son mari avec consternation. “Mais, comme tu l’as dit, Elicia le regarde avec bienveillance” et la pr?tresse a d?voil? l’?paule du jeune homme en examinant le symbole et le bracelet. Je prierai donc les dieux pour vous deux et tout ira bien. Vous n’?tes pas anarch, vous prenez une femme plus ?g?e que vous et la pr?tresse est ?galement un choix difficile qui vous aidera toujours. Je vous b?nis au nom des dieux et soyez heureux”, dit la pr?tresse avec un sourire joyeux, et les embrassa tous les deux. “Et garde le secret,” dit-elle au revoir. Les jeunes mari?s ont quitt? le temple, o? ils ont ?t? couverts de p?tales de rose, et l’heureux mari et femme sont all?s ? la maison d’Androtim et ont commenc? ? faire la f?te, la nourriture ?tait pr?te. Il y avait des logements pour les invit?s dans le jardin, qui ?taient peu nombreux, huit autres, tous membres du conseil de Lato. La g?terie ?tait bonne et les vins ?taient fins et m?rs, Kallifen portait une robe rouge fonc?, comme celle de Nearh, et leurs lits ?taient proches, et la table ?tait une pour deux. La jeune femme a soigneusement mis du thon ? son mari, du moray avec des raisins et du rago?t. ch?vre Les serviteurs ont remis aux invit?s des couronnes de fleurs en l’honneur des jeunes, qui ont hiss? avec enthousiasme leur t?te d?j? ivre. Tout le jardin ?tait d?cor? de parterres de fleurs, le parfum divin emplissait l’air du soir et il ne faisait plus si chaud. – Pour la sant? des jeunes! – sonn?rent des exclamations d’invit?s joyeux, – Sois heureux, au nom de tous les dieux! Les invit?s ont fait l’?loge des friandises, des vins et de l’hospitalit? des h?tes. Nearh a beaucoup bu, tout comme Kallifen. Bient?t, les invit?s ont commenc? ? se disperser et tout le monde est all? accompagner le jeune couple dans les chambres matrimoniales. Nearh prit la chaude paume de Kallifeny et la conduisit dans leur chambre maintenant dans la maison de son p?re. Le couloir ?tait d?cor? de lampes, de guirlandes de fleurs ?taient suspendues aux murs et les domestiques chantaient des chansons. Tout le monde ?tait joyeux. De la nourriture et des cadeaux leur furent offerts. Le jeune mari ouvrit la porte et laissa sa femme partir. Elle marcha sur le tapis devant le lit en riant. Il a aid? la belle ? se d?shabiller, s’est pr?par? ? aller au lit tout seul et ils ont essay? de ne pas abandonner le projet de l’archon Androtim d’avoir des petits-enfants. Alors que quelques mois pass?rent, Kallifen servit dans le temple de Lato, les ?mes de la maison ne l’aimaient pas, mais il fallut bient?t partir en voyage. Un jour, une semaine avant de naviguer, Kallifen est venu ? Nearh, “Mon mari, je suis c?libataire”, dit-elle en rougissant les joues. Le jeune homme la serra dans ses bras et l’embrassa “Tr?s bien, et je suis coupable devant toi, je vais bient?t te quitter,” dit-il am?rement – Il n’y a personne la culpabilit?, le destin, la volont? des dieux, et je suis heureux de vous avoir rencontr?. Les hommes ordinaires ont peur des pr?tresses et ils ne m’ont peut-?tre pas ?pous?”, dit-elle en secouant la t?te.” Nous sommes heureux, que pouvez-vous demander de plus? “Elle ?carta les bras, le serra dans ses bras et l’embrassa ?troitement. – Je dois dire ? mon p?re et ? ma m?re, “Oui, et mes parents aussi”, acquies?a la femme. – Viens, l’heure du petit d?jeuner. Ils sont venus, tout le monde s’?tait d?j? rassembl? pour un repas et Kallifena a annonc? cette nouvelle ? Androtim ? son oreille. Il s’est ?clair? et s’est ?cri? en levant les mains: “Gloire aux dieux!” Gorgo a demand?: “Quel est le probl?me?”. “Alors, alors, r?pondit l’archonte,” Lato ne nous a pas quitt?s, prend quelque chose, mais aussi des r?compenses.” Apr?s une semaine de rassemblement, Nearh se r?v?la ?tre un paquet impressionnant de marchandises. Il accompagna les biens de son p?re en Mac?doine – huile, safran, lin ?gyptien et le navire ?tait son p?re. Il effectua un voyage mensuel en mer, d’?le en ?le, jusqu’? Amphipolis. captur? par Philip Port sur la rivi?re Strymon. Le navire ?tait bien ?quip?, c’?tait un navire marchand naviguant dans le port de Lato. Lorsque Nearh et Kallifena sont mont?s sur un bateau sur l’?le de Voulismeni, nomm?e d’apr?s le protecteur Ullia, ils ont vu ce navire. Femme, pr?tresse, mais c’?tait une vraie fille cr?toise, elle aimait la mer et les navires. Quand cela ?tait possible, avant la grossesse, elle et les jeunes hommes aimaient nager dans la mer. Elle semblait alors ? Nearharos presque nue, belle, avec de longs cheveux boucl?s. Alors vint le triste jour d’adieu, les valets du Seigneur ont emport? les bagages du Seigneur et l’un d’eux l’a accompagn? en Mac?doine, car il n’est pas appropri? pour une personne noble de voyager seul. Toute la famille l’accompagna ? bord du navire, Androtim et Gorgo march?rent devant, et derri?re eux pass?rent la main sous le bras de Kallifen avec Nearhom, qui l’observait de temps ? autre dans les yeux, comme s’il essayait de mieux se souvenir. Ils march?rent dans une rue pav?e de pierres de taille, jusqu’? ce que la chaleur descende sur les orgueilleux, que le soleil se l?ve sur la mer sans fin et que ses rayons dor?s illuminent les vastes ?tendues du royaume de Pos?idon. “Eh bien, au revoir, mon fils”, dit Androtim en le serrant dans ses bras. “La d?esse vous a choisi, et vous devez faire le n?cessaire, “Reviens vite”, dit Gorgo ? son fils, pleurant et avalant ses larmes, sans chercher ? les cacher, mais en les essuyant avec un mouchoir. “Nous allons prendre soin du b?b?”, r?p?ta-t-elle, le prenant dans ses bras et l’embrassant au revoir. “Maman, laisse aller ton fils”, dit le p?re en souriant, “Dites au revoir ? lui et ? sa femme, il ne partira pas pour toujours.” “Bonne chance, je sais que vous ne mourrez pas l?-bas, revenez me voir bient?t”, lui dit Kallifen, essuyant ses larmes aussi. “Ne pleure pas,” murmura Nearht ? son oreille, “tout ira bien, et dans un an, tu vas t’emmener ? Amphipol, Elle lui jeta des yeux rouges et sourit un peu. – Alors, d’accord, mais apr?s un an, je ne peux plus, et lui caressa le ventre, – c’est mieux en deux. “Nous avons donc accept?”, a d?clar? le jeune homme ravi, affirmant que sa femme avait cess? de pleurer. Nearh monta la passerelle vers le navire, le serviteur ?tait d?j? ? bord, les marins d?nou?rent les cordes et le bateau se pr?para ? transporter le navire jusqu’au raid. Le jeune homme a vu son p?re agiter la main. Il voulait quelque chose de bon. Sa m?re et sa femme ont agit? leurs mouchoirs ? la m?moire d’Ath?na-Elissia, qui avait recouvert les Hell?nes de sa couverture et envelopp? la mer. Son navire, “Horse of the Sea”, s’est rendu au raid et a rejet? la voile. Le vent le traversait. Il a conduit le navire conduit par un pilote exp?riment? vers le nord jusqu’? la nouvelle distance inexplor?e, laissant la ville ch?rie vers l’arri?re. Le voyage s’est d?roul? par beau temps, mais Nearh ne s’est pas imm?diatement habitu? au clapet. Au d?but, il tanguait bien lorsque le navire a plong?. Il a ensuite remont? la vague et les marins ont mal plaisant?, un marin inexp?riment?. Bient?t, l’assistant l’entra?na et poursuivit les instructions d’Androtim, lui expliquant comment maintenir le navire dans diff?rentes directions des vagues afin que la mer ne heurte pas le bord du navire, comment naviguer dans les ?toiles la nuit. Ici le jeune homme ?tait plus simple, les constellations, leurs noms, sa femme l’avaient forc? ? apprendre quand il ?tudiait dans la Grotte de l’Id?e. Le timonier, c’est le capitaine, portait un nom qui lui convenait parfaitement – Navcratius, c’?tait un homme fort, ?g? de quarante ans, avec une petite barbe, qu’il portait, pour ne pas se raser. Le serviteur des Nearhs nageait bien, et lui et les marins ?taient accroch?s ? attraper du thon, dans lequel il se r?v?lait ?tre un ma?tre, pr?parait l’app?t et accrochait habilement le poisson ? l’hame?on avec un filet. Le poisson ?tait cuit lorsque le navire a harcel? les petites criques des ?les des Cyclades, au-del? desquelles ils avaient march?. D’autres navires ont travers? la mer, en passant par eux, certains ? Ath?nes, d’autres en ?rythr?e et d’autres ? Megaras ou ? Byzantines. Bient?t Skyros apparut, o? se trouvait ?galement le mont Olympe, c’est l’endroit o? se cachait le l?gendaire Achille et o? elle trouva la mort du h?ros Th?s?e, et de cette ?le aux ?tapes d’Eub?e, certains initi?s croyaient qu’il s’agissait de l’?le de Scherias, l’?le de Bienheureux. La moiti? du chemin ?tait couverte et Nawkratius se dirigeait maintenant le long de la c?te d’Eub?e, juste aux endroits o? la flotte de Xerx?s ?tait en train de d?blayer les eaux de la mer ?g?e. Parfois, le timonier appelait Nearh ? la barre, il se reposait et le jeune homme se plaisait ? prendre le contr?le du navire. Il aimait la fa?on dont chaque mouvement du navire ?tait donn?, les vagues pouss?es sur le c?t?, le transfert d’une vague ? l’autre, m?me les embruns sal?s couvert. Mais il ?tait tout de m?me triste pour son p?re et sa m?re, et pour Kallifen, qu’il avait quitt? peu de temps apr?s le mariage. Jour apr?s jour, ils marchaient le long de la c?te d’Eub?e, passaient par Halkidiki et s’approchaient de la bouche de Strymon. La rivi?re ?tait divis?e en plusieurs branches et un pilote exp?riment?, qui monta ? bord du “Cheval de la mer”, choisit habilement le bon canal, qui les conduisit en ville. L’eau de la rivi?re ?tait tr?s propre, m?me si elle ?tait recouverte de roseaux et que le courant ?tait faible; il n’?tait donc pas difficile pour les marins de grimper sur le lit de la rivi?re ? la rame. L'?quipage du navire a vu les d?j? c?l?bres montagnes dor?es de Pangeon, qui ont donn? une richesse fabuleuse au roi mac?donien Philip. Vingt ?tapes les ont s?par?s d’Amphipolis et le navire les a vaincus en une heure. Comme ils sont arriv?s en toute s?curit?, Nearh a observ? le d?chargement des marchandises dans les entrep?ts d’Androtim, les marins ont travaill? rapidement, utilis? le mat?riel de travail, accroch? les filets avec les marchandises et laiss? tomber le port au sol, de sorte que les employ?s de Proxenos n’ont pas ? grogner et que les documents ont ?t? ?tablis, et la transaction ?tait termin?e et une partie de l’argent restait entre les mains du jeune homme, et une partie des revenus de Navcratius consistait ? faire venir un p?re cr?tois et ? acheter des biens ? Amphipolis, notamment de la laine, du cuir, le fameux miel mac?donien. Pendant ce temps, Nearh a ?crit deux lettres ? son p?re et ? sa femme. “Kallifene de Nearch salut. Femme bien-aim?e, je suis bien all?e ? Amphipolis, en passant, j’ai vu beaucoup de choses int?ressantes, j’ai livr? la marchandise et achet? ce qui avait ?t? command? pour mon p?re. En tant que Cr?toise, vous connaissez la magie de la mer. D?sol?, tu n’es pas avec moi, et ce serait encore mieux. Narch.” “Androtym de Nearchus. P?re, nous sommes arriv?s ? Amphipolis en parfait ?tat, personne n’est mort, le bateau intactes, les marchandises ont ?t? remises au fournisseur ? un prix convenu, et lui ont ?t? enlev?es conform?ment ? la liste et au prix convenu, et j’ai envoy? vingt mines d’argent avec “Navkratia”. Lettres dans lesquelles il ?crivait seulement ce qui lui ?tait arriv? pendant le voyage, mais pas ce qui se trouvait dans son c?ur, le jeune homme la scella de son anneau et le remit au capitaine, et lui donna ?galement dix drachmes pour les ?crits.. La question a pris plusieurs heures et le navire ?tait bient?t pr?t ? naviguer vers la Cr?te, de retour dans la ville bien-aim?e de Lato, ? travers les vents et les ?tendues de l’?l?ment marin. Proksen s’appelait Ath?n?e. Il emmena Nearh chez lui pour y passer la nuit. Le jeune homme accompagn? du serviteur Frig, charg? de sacs, partit. Les portes pass?rent, les relais entrelac?s avec les gardes, et les voyageurs avanc?rent dans la rue, entour?s de tous c?t?s par une cl?ture sourde des domaines. Apr?s ?tre pass?s un peu plus loin, ils arriv?rent chez Ath?n?e, puis frapp?rent le ch?teau avec un anneau ? la porte et le serviteur ouvrit la porte pour eux. Il conduisit l’h?te et l’invit? jusqu’au jardin o? tout ?tait couvert pour le d?ner. Nearh traversa la maison mais ne remarqua rien de sp?cial, une maison ordinaire, compos?e de plusieurs pi?ces, avec un toit de tuiles, en terre battue et recouverte d’argile, avec un petit jardin pour les domestiques et deux d?pendances, tout est comme ailleurs en Hellas. “Entrez, Nearh, je vais vous pr?senter mon ?pouse Aglaia et les filles Antus, Diante et Chrysante. “Emmenez-moi h?tesse ? la maison,” dit Nearh en s’inclinant. “Vos noms correspondent parfaitement ? votre beaut?.” Le jeune homme inclina une fois de plus la t?te. Les petites filles rigol?rent plut?t et se cach?rent l’une derri?re l’autre. Aglaya sourit modestement. – Prodi, assieds-toi, jeune homme. Partage un repas avec nous. Il l’invita ? Atheneus, Nearh. Tout d’abord, je m’allongeai sur la bo?te ? lunch et donnai des cadeaux aux enfants et ? la femme du proxy, c’?taient des onguents et des frottements de Cr?te, ils ?taient tr?s appr?ci?s et des poup?es en bois de tr?s bon travail dans de belles robes, tout cela ?tait pr?par? se souciant de Kallifen, et une fois de plus rappel? chaleureusement sa Nearch. Les devoirs ?taient tr?s heureux avec les cadeaux et les filles ont perdu tout int?r?t pour l’invit? et se sont r?fugi?es ? la cr?che pour soigner les h?tels. Le propri?taire de la maison observa avec enthousiasme ce geste et, apr?s avoir attendu le d?part de sa femme, le serviteur commen?a ? verser du vin dans des tasses et disposa la friandise. Il dit: – Il est peu probable qu’Aristodim ait invent? des cadeaux, ce qui signifie que vous avez beaucoup de chance avec votre femme, Nearh, – dit-il en tenant une coupe d’argent ? la main, – si vous n’aviez pas ?t? une femme, pardonnez-moi, vous ne prendreriez qu’une de vos filles, Les filles des huit ans les plus jeunes, juste quelqu’un l’aurait aim? quand elles seraient grandes, ajouta-t-il en riant. Mais voyez-vous, vous n’avez aucune raison de vous marier, regarda l’invit? une fois de plus. Eh bien, d?sol?, quand il vit que Nearch ?tait tout foutu en l’air et que ses l?vres se resserr?rent. “En ligne”, vous mangez mieux, voici une belle anguille, et notre vin n’est pas mauvais”, at-il ajout?, oh douches de vin sur le terrain dans le culte du signe, et le Cr?tois fait aussi. Nearh a mang? du poisson avec brio, il est encore beaucoup plus facile sur le sol et le vin n’est pas mauvais. “Demain, vous irez ? Pella avec une caravane et vous aurez achet? un cheval et un mulet pour un serviteur.” “Merci, je vais donner l’argent maintenant”, a r?pondu Nearh au propri?taire. – Non, ton p?re a d?j? tout pay?. Lui et vous avez pay? pour la maison d’Amphipolis, si vous le souhaitez, v?rifiez la maison quelque part ? proximit? et vous l’avez achet?e, car vous serez ? la cour du prince, mais votre maison est n?cessaire ? la personne qui occupe votre poste. – Merci, je suis d’accord. Demain je viendrai. Et achet? les domestiques? – dit-il en riant – Voici votre femme, intelligente et prudente, pensant ? tout. Et ? propos du manoir et des serviteurs, ? propos de tout. Il y a m?me un puits dans la maison, c’est une raret? ici. N?arh se contenta de s’asseoir la t?te baiss?e et un l?ger sourire effleura ses l?vres, dont il ?tait toujours d?raisonnable par rapport ? sa femme.“Ok, Proxen, je vais essayer de tout faire pour ma famille”, r?pondit le jeune homme. Ath?ni le frappa sur l’?paule avec approbation, en touchant le bracelet. – Qu’est-ce que tu as? – proxen surpris, – Qui es-tu? ? seize ans? Nearh a imm?diatement saut? du lit, se trouvant ? c?t? du propri?taire de la maison, a chang? face ? la peur, – Jurez, Proxen, vous connaissez mon p?re, il est avantageux pour vous d’?changer avec nous, et nous ne vous avons jamais menti, ce n’est pas mauvais pour vous ou la famille royale, je vous jure par Ullem, le Sauveur et protecteur d’Elishia, et ici Nearh s’est incis? main et jet? une goutte de sang sur le sol en signe de serment. – Tu me crois? “Je crois et jure devant les dieux, les Olympiens, que je ne r?v?lerai pas votre secret, a-t-il r?pondu. Vous ?tes donc un pr?tre et vous ?tes ?galement un initi?? Dans tes ann?es? – Il a dit dans un murmure. – Alors c’est arriv?. Sauf vous, personne ne l’a encore compris, – r?pondit avec un haussement d’?paules qu’il fumait. “C’est bien, mais il est temps de dormir, sinon demain, tu seras sur la route”, a comment? le marchand. Ils se s?par?rent, un serviteur vint accompagner l’invit? dans la chambre. Il marchait avec une lampe dans le couloir et ouvrait la porte o? le lit ?tait d?j? fait et il se couchait. Le r?ve est venu imm?diatement, m?me si c’?tait dans une maison ?trang?re. Les cigales bruissaient, l’odeur du jardin p?n?trait par la fen?tre, les fleurs et les fruits de la terre commen?aient ? m?rir, le lit ?tait excellent et les sangles ?taient tendues, la paille dans le matelas ?tait fra?che, de sorte que Nearhar dormait bien, le serviteur apporta une cruche d’eau et une bassine, de sorte que le jeune homme se lave, ce qu’il a fait, ils ont appel? pour le petit d?jeuner. Le petit-d?jeuner ?tait aussi ordinaire – g?teaux plats, fromage, miel, abricots secs, arros?s de vin dilu?, et bient?t le repas ?tait fini. Ath?n?e et son serviteur all?rent sur une charrette pour accompagner Neararch aux portes d’Amphipolis, o? une caravane partait pour Pella. Ils pass?rent devant la maison non-archov, la cl?ture ?tait belle, r?cemment blanchie ? la chaux, ils frapp?rent, le portier l’ouvrit rapidement et le couple mari? s’approcha de la maison. Nearh les salua, leur ordonna de maintenir l’ordre et Atheny promit de garder un ?il sur la propri?t? fils d’arch?n. Bient?t nous arriv?mes ? la porte, derri?re laquelle une caravane avait d?j? ?t? assembl?e, il y avait trois douzaines de mules avec bagages, cinq charrettes et dix gardes ? cheval, deux marchands et leurs domestiques. Le jeune homme tira d’un sac un arc et un carquois de fl?ches. Le poignard ?tait accroch? ? sa ceinture pr?s du sac ? main, le serviteur ?tait arm? d’un b?ton et il avait un b?ton. Le jeune homme cr?tois secoua la main d’Ath?n?e et lui rappela le serment. Le marchand principal ordonna de se mettre en route et les voyageurs partirent le long de la route. La r?gion ?tait tr?s pittoresque, elle passait devant le lac d’un grand lac, les arbres poussaient plus vite ici que dans le reste de la Gr?ce, mais ce n’?tait en fait pas Hellas, mais Thrace, et il fallait aussi veiller ? ne pas faire plaisir aux bandits, quelques-uns d’entre eux ont err? ici, principalement des Thraces et des P?ons, bien que des tours de garde avec plusieurs dizaines d’?questres de garnison chacune aient ?t? construites le long de la route, bien que, pour ?tre plus pr?cis, trente personnes ne soient plus. Il y avait des auberges le long de la route, mais on ne peut pas le dire trop souvent. Huit cavaliers, arm?s de fl?chettes et d’?p?es, se sont d?plac?s ? la t?te de la caravane et un petit bouclier rond ?tait derri?re chacun d’eux, puis des chariots ont ?t? d?plac?s, et derri?re eux des mulets avec bagages, des marchands avec des serviteurs ont accompagn?, et ce syst?me Neararch avec un serviteur. Nous nous sommes d?plac?s pendant plusieurs heures d’affil?e, laissant les chevaux et les personnes au repos au milieu de la journ?e, puis nous nous sommes dirig?s vers la maison alors qu’il commen?ait ? faire sombre, puis ils ont install? leur campement, leurs chariots en cercle, et les gardes ont chang?, gardant les bagages et les personnes, et le reste a tranquillement mang? et repos?. Donc, quatre jours ont pass? et pendant ce temps, Nearh a r?ussi ? communiquer avec les deux marchands. Leur nom ?tait, m?me ridicule, Leucon et Melon, et je dois dire que leurs noms correspondaient ? leur apparence, Levkon ?tait brillant, et Melon avait une chevelure noire, ils ?taient tous les deux d’Amphipolis. Mais le jour suivant n’a pas bien commenc? et s’est m?me aggrav?. Les serviteurs ont mal attel? les mulets dans un wagon, ont trop serr? les pinces et se sont obstin?s, ont commenc? ? atteler la voiture et ont cass? la roue, elle est tomb?e sur le c?t?, les marchandises ont vol? ? terre, ont commenc? ? collecter les balles dispers?es, Levkon et Melon ont couru pour s’occuper du d?sordre et Tout cela a pris beaucoup de temps. Enfin d?plac? ? Sur le chemin, mais des gardes impatients galopaient en avant et les Thraces ?taient pris dans une embuscade. Tout le monde n’entendait plus que les cris et le hennissement des chevaux. Seuls trois cavaliers sur dix s’?chapp?rent et revinrent. Quinze Highlanders l?g?rement arm?s attaqu?rent les tentes des marchands. Thracian Peltati a cri? quelque chose et s’est pr?cipit? pour tuer deux chauffeurs et trois serviteurs, mais Nearh a rapidement tir? son arc et, se rappelant avec gratitude les le?ons de Diokles en Cr?te, il a embrass?, a tir? la fl?che, et un Thracian roulait d?j? sur l’herbe, tourbillonnant de douleur terrible et envoyant une fl?che pour une fl?che frappa quatre autres, que les autres attaquants se cach?rent derri?re un rocher ? cinquante pas d’eux. Et d?j? plusieurs fl?chettes ont atterri dans Nearh, et c’est tr?s bien qu’il les ait remarqu?es ? temps. Elles se sont coinc?es dans le bord du chariot ? c?t? du Cr?tois, et l’un d’eux a gratt? la jeune fl?che et a coup? la manche du chiton. Les deux marchands munis d’?p?es et de boucliers se sont approch?s du jeune homme et Levkon l’a tapot? sur l’?paule avec approbation, s’est pench? et a re?u une fl?che dans l’avant-bras, laissant tomber l’?p?e de sa main et g?missant en m?me temps. “Nearh, tu es un excellent tireur, tu m’a beaucoup aid?”, dit Melone avec un visage tordu, “fais attention, tu as tout espoir, le serviteur de Neararch avec un tas de fl?chettes et un club assis ? c?t? d’eux. “Les choses vont mal, Melon, prends une fl?chette et recouvre-toi d’un bouclier, tu es ? gauche, je suis ? droite, frappe la cible et cache-toi jusqu’? ce que les Thraces nous entourent, puis nos trois galopeurs mont?s galopent et abattent les Thraces”, dit le jeune homme. “Viens, vite. L’un d’eux baissa rapidement la fl?che, un autre lan?a un dard, tous deux tomb?rent et il resta huit ennemis. Les Hell?nes tomb?rent aussit?t sur le sol et la contre-attaque ne frappa que le bord du bouclier de Melon, et rebondit sur la sellerie en cuivre. ? ce moment-l?, le serviteur tirait l’avant-bras de Levkon, le visage gris de douleur. Les trois cavaliers ont repris leurs esprits, ont saut? vers les voleurs et ont d’abord lanc? des fl?chettes. Ils ont frapp? les trois ? bout portant, se sont pr?cipit?s vers les autres avec des ?p?es, mais des alpinistes exp?riment?s ont r?ussi ? trouver l’un des cavaliers. propre sang, mais deux alpinistes ont pu se cacher dans les fourr?s. – g?nial! – Levkon a pleur? avec enthousiasme, prenant la fl?chette dans sa main, “Ceux qui ont battu nos cavaliers vont venir courir maintenant,” soupira Melon, le visage tordu, un frisson de bataille commen?a ? le battre. – Les domestiques se sont pr?par?s au combat, ont r?ussi ? s’armer et nous devons cacher nos cavaliers derri?re un rocher. Et les chariots bougent, ? cause d’eux, nous nous dressons contre les voleurs, dit Nearh. “Bien jou?, mon gar?on,” le f?licita Melon, et commen?a rapidement ? ordonner aux carters de faire une barricade de charrettes. Les serviteurs commenc?rent imm?diatement ? faire le n?cessaire. Soudain, le bruit des sabots au sol se fit entendre, la peur apparut devant les marchands, et si c’?tait le cheval Thrace? Mais le sort ?tait favorable aux voyageurs: c’?taient des Mac?doniens. Devant trente guerriers fortement arm?s, tir?s par des chevaux, un jeune homme, presque un gar?on, avec les cheveux blonds au vent, apprit ? Neararhu qu’il s’agissait bien d’Alexandre. ? la cour d’Alexandre – Salutations les invit?s! Je suis heureux de vous voir ici, et probablement encore plus, mais je suis venu rencontrer Nearch, un Cr?tois qui m’a ?t? nomm? ? la suite! J’esp?re qu’il est en vie et que j’?tais ? l’heure! – haut et fort, comme avant la formation des troupes, dit le prince. Pendant ce temps, les cavaliers de sa suite se dispers?rent comme un ?ventail et peignirent le quartier. – Je suis l?! S’exclama Nearh, enlevant l’arc dans le feu et le jetant avec le trembleur derri?re le dos, s’avan?a, Alexandre le voyant imm?diatement mis pied ? terre, et le grand et beau jeune homme, comme on l’appellera plus tard, Hephaestion, assis ? cheval, prit son cheval par la bride. – Bonjour, Nearh, je suis Alexandre (son nom ?tait alors un nom enfantin, mais il avait ?t? oubli?), le fils de Philip, Argead. ?tes-vous de la Cr?te? – Oui, de Cr?te, je suis le fils de l’archonte Androtim de la ville de Lato, arriv? dans votre suite en ex?cution de la volont? des dieux. “Oui, tout le monde est un sorcier cr?tois”, dit-il en souriant et en inclinant l?g?rement la t?te vers la gauche. Il marcha lentement vers le rocher, inspectant les Thraces morts et bless?s gisant dans l’herbe. Il ?tait suivi par dix personnes ? cheval. – Les marchands! Les serviteurs ici, bandent les bless?s! – et il se pencha vers l’un d’eux, un Thracian aux taches de rousseur au gingembre, qui se tenait la cuisse perc?e d’une fl?che cr?toise. “Vous ?tes un grand archer, Nearh, mais quel genre de m?decin ?tes-vous?” Allons-y, attachons le gars, il a appel? le nouvel officier, il a regard? Hephaestion avec un doute, il a juste hauss? les ?paules, il semblait que c’?tait habituel. – Viens, viens ici Nearh, je ne termine pas les prisonniers, am?ne un linge propre et prends le vinaigre. Nearh prit les objets n?cessaires dans le chariot et se dirigea vers le prisonnier d?j? assis dans l’herbe, le prince lui coupa d?j? le pantalon avec un couteau et prit un flacon de vinaigre, y trempa un v?tement, essuya l’endroit bless?, vit qu’il n’?tait pas offens?, les flancs de la cuisse tiraient l?g?rement la fl?che – Vos astuces scythes? Lob?? Esp?rer sans ?pines inutiles? Il a demand?, et les Cr?tois ont seulement hoch? la t?te en r?ponse, soutenant la jambe du bless?. “Tiens bon,” et dit quelque chose au prisonnier thrace, ? partir duquel il serra fermement sa m?choire, et le prince prudemment, mais tira rapidement le canal de la plaie, le bless? grogna et s’appuya sur Nearchus, mais il ramassa la tissu ?pais sur les plaies, et est devenu fermement et habilement band?, de sorte que le sang a rapidement cess? de couler. “Il est ? vous,” fit le prince en direction de son nouvel ?t?, “C’est bien que je ne veuille pas l’achever, je n’aime pas ?a.” Ensuite, il vous le jurera et vous aurez un grand ?cuyer. Regardez le reste, quelqu’un peut-il aider! – Il a cri?, – et les serviteurs des marchands se sont pr?cipit?s pour effectuer. “Roi, prends les Thraces toi-m?me, tu nous as sauv?s, ils sont ? toi”, ont d?clar? Leucon et Melon, – Je prendrai votre cal?che jusqu’? la forteresse, puis elle vous reviendra jusqu’au soir. Et enterre les Thraces morts, ordonna-t-il, Les serviteurs et les ouvriers ont ex?cut? l’ordre, enlevant les morts et leur enlevant les valeurs dont ils n’avaient plus besoin, ainsi que les armes co?teuses et toutes les armes co?teuses. Levkon et Melon firent leurs adieux ? Nearh et, avec son serviteur, rejoignirent la suite du prince. La suite avec Alexander et Nearhom partit, et une charrette avec cinq Thraces, band?e et attach?e, passa derri?re, et deux Mac?doniens ? cheval gardaient la charrette. Apr?s quelques heures, nous avons atteint la tour de guet, o? le prince a pris la charrette de la garnison et l’a renvoy?e aux marchands. – O? allons-nous? – Cr?tois demand? avec un haut satellite du prince, “? Miez, ? l’?cole d’Aristote”, r?pondirent les Douceurs, “Je m’appelle Nearh,” se pr?senta-t-il ? nouveau, en essayant d’?tre poli. – Hephaestion, j’appartiens ?galement ? la suite d’Alexandre, ajouta un grand jeune homme, – Pas loin de la ville, il d?cida de vous rencontrer, le roi vous avertit qu’il ?tait d’accord avec votre p?re pour vous envoyer ? l’otage… et pour de meilleures relations. Eh bien, tout s’est tr?s bien pass?. Vu comment Alexander a appris la m?decine? Cet Aristote nous enseigne si bien, et vous apprendrez, Philosophie, math?matiques, musique, astronomie, beaucoup sont venus voir le prince pour lui prendre des le?ons, car notre professeur est originaire de Asklepiades, gu?risseur h?r?ditaire. “Bien”, ajouta le fumeur, mais se dit-il, pourrait-il se comparer aux Coribants de Cr?te? “Vous ?tes mari?”, demanda Hephaestion, inspectant les marques de sa tunique, “Le seul fils d’un p?re.” Ensuite, vous pourrez la ramener ici, pas ? Miez, en Mac?doine, ? Amphipolis. Deux ans plus tard ?tes-vous un sorcier? “? ces mots, les yeux du g?ant se sont arrondis”, a-t-il ajout?, affirmant tous les d?monistes en Cr?te. “Non, juste un initi?”, Nearh d?cida de se r?v?ler en partie, pour ne pas se laisser prendre au mensonge. Donc, sur la route, et quelques jours ont pass? jusqu’? ce que nous arrivions ? Mieza. Sur le chemin, Alexander et Nearh, les m?decins r?guliers ont examin? les bless?s, leur ont donn? ? boire et ? changer de pansement. Ils ont ?galement ligot? trois Mac?doniens l?g?rement bless?s de la suite du tsar?vitch. Ils ?taient tr?s habiles et personne n’est mort en chemin. Miez est apparu, une belle ville immerg?e dans des jardins, offerte par Philip ? son fils pour apprendre et apprendre. Cependant, en possession aussi. Quand ils sont arriv?s, tout le monde a mis pied ? terre et les pages approch?es ont emmen? les chevaux ? l’?curie, et Alexandre a conduit le Cr?tois au Thracian sauv?. “Voici votre homme, dit le prince en montrant le captif, faites serment. Le roi dit quelque chose ? l’alpiniste, il se leva du sol, o? ils furent tous mis ? l’?cart du wagon, regardant dans le visage du Neararch, fumant, entendirent le mot “Nearh” dans le discours du jeune homme et r?alis?rent qu’il avait ?t? pr?sent? au prisonnier. “Il s’appelle Teres, alors prends un poignard, mets-le dans ses mains pour lui indiquer que tu prends service”, a expliqu? le Mac?donien. Teres a pli? son genou, a parl? clairement dans sa langue maternelle, a tendu ses mains vers Nearhar, les paumes vers le haut, et il a mis une dague et une ceinture dans ses mains, le Thrace s’est inclin?, a attach? l’arme ? sa ceinture et en boitant, s’est tenu derri?re la veste. “Maintenant, il va se battre avec vous au combat, comme un ?cuyer, et vous devez le nourrir et le r?compenser, ria le jeune prince. Tout va bien, je vivrai avec mon ?quipe, ils s’occuperont de lui et enseigneront Hellenic. Et maintenant, allons aux bains, puis pour le d?jeuner et une le?on. Bathhouse, c’?tait un grand b?timent en pierre, recouvert de tuiles, ? l’int?rieur duquel, d’un c?t?, une salle de douche que Nearch n’avait pas vue en Cr?te, le long du plafond, il y avait des tuyaux d’eau en bronze et deux douzaines d’arrosoirs en forme de feuilles de lotus, ? partir desquels l’eau ?tait vers?e et sur le sol du treillis pour drainer l’eau; le sol ?tait en outre en marbre, avec l’image des for?ts et de la mer. Tous les amis d’Alexandre se rendirent au bain: Hephaestion, Garpal, Eumenes, Ptol?m?e, Leonnat, Filota, Nearh, Erigy, Laomedon, tous des jeunes hommes de familles nobles. La pr?pos?e ouvrit l’eau et elle versa sur le linge lavable, le Cr?tois essuya le corps pendant longtemps avec une ?ponge, puis, se sentant propre, p?n?tra dans le vestiaire o? ?taient dispos?s des v?tements propres, blanc gris, de lin fin, chauss?rent et attendirent sur le banc. Bient?t tout le monde est sorti et apr?s un moment assis, ils sont all?s manger, le repas ?tait tr?s simple et la curiosit? ?tait curieuse: g?teaux ordinaires, fromage, miel et vin dilu?, ils ont donc tout mang? rapidement, sont sortis et sont all?s au jardin de l’?cole o? Aristote a enseign? ses le?ons.. Et ainsi, une chose inoubliable s’est produite – Nearh a vu le grand Aristote, c’?tait un homme de taille moyenne, avec une petite barbe, v?tu d’un v?tement de sage, d?crit par H?rodote, un chiton de lin blanc et le m?me manteau, renforc? d’une broche en argent sur l’?paule. Dans le jardin, il y avait aussi une chaise pour un mentor et des chaises pliantes pour les ?tudiants, ainsi que de petites tables pour ?crire. – Nouvel ?tudiant? – dit le pr?cepteur en regardant Nearh avec interrogation, – Je m’appelle Nearh, fils d’Androtima, originaire de la ville de Lato, de Cr?te, r?pondit un Cr?tois: – Je suis maintenant dans la suite d’un prince. “Je m’appelle Aristote, fils de Nicomaque”, r?pondit ? son tour Aristote. – Alexander, j’ai entendu dire que vous faites des progr?s dans le secteur de la m?decine en traitant avec succ?s huit personnes. C’est un excellent r?sultat. En entendant ces paroles du tuteur, le prince s’?panouit tout droit, ses joues devinrent roses de plaisir. “Mais,” ajouta Aristote sur un ton diff?rent, “as-tu sauv? cinq barbares avec ton talent?” Des Thraces? – le visage du philosophe m?pris?, “Tout d’abord, les gens, mon professeur, et pas si mal”, r?pondit le prince avec un sourire, “Barbares”, a d?clar? Aristote. “Les gens”, approuva Alexander sur un ton glacial. R?alisant que l’affaire prend une tournure ind?sirable, et il savait d?j? que le prince ?tait imparable en col?re et terrible en col?re, le philosophe a transform? la le?on en un canal d’apprentissage. Il faut dire que N?arch n’a pas beaucoup appris en Cr?te – philosophie, math?matiques. Il connaissait mieux l’astronomie et m?me deux fois, Diokles lui jeta un coup d’?il dans un tube avec des lentilles de cristal, il ?tait clair qu’il y avait aussi des montagnes sur la Lune et que Mars avait deux satellites.Des lunettes plus simples ? ?taler sur la Cr?te sont r?pandues, les bijoutiers fabriquent des objets complexes avec des lentilles composites, des cam?es bien connus, mais les ma?tres gardent le secret de ces objets, et il a vu comment Diokles et une pr?tresse ont allum? le feu sacr? d’Ilios. Il a parl? des propri?t?s des fleurs, de la reconnaissance de l’utilit?, de la pr?paration d’une infusion curative. Mais avant tout, il aimait les le?ons de philosophie. En se promenant dans le jardin, ils essayaient de comprendre comment bien faire les choses. M?me des m?caniciens sont venus ? Miez et Alexandre, qui n’avait jamais regard? les pankatiatistes se battre, s’est adress? aux ma?tres. On leur a fourni un phare et plusieurs assistants, des casters et des serviteurs s’occupant dans la maison, triant l’instrument, suspendant les man?uvres et rassemblant une grande table au centre de la maison. Le prince entra et le salua poliment avec les adeptes d’H?pha?stos. Sur la table, ? c?t? du papyrus et des parchemins, un dispositif assembl? comprenant de nombreux engrenages ?tait pos?, et Nearh s’int?ressa au m?canisme, puis posa sur la table un objet semblable ? un arc avec une barre. – Qu’est-ce que c’est? – demanda avec un vif int?r?t Argead. “J’ai appel? ce m?canisme un gastrafef”, a remarqu? un m?canicien ?g? mais mince, aux cheveux gris, portant un chiton de soufre et recouvert d’un tablier en daim, chaussant de simples sandales, “Pour une attaque plus lointaine contre l’ennemi et une meilleure p?n?tration de l’armure, Alexander a pris l’appareil dans sa main, a essay? de cajoler le m?canisme avec sa main, il n’est pas sorti et l’a remis au m?canicien, il a mis le pied dans le crochet situ? au bas du m?canisme, a redress? le dos et a plac? le gastract en position de combat. Il prit une ?paisse fl?che en bois et la pla?a dans la goulotte de l’appareil. “Y a-t-il des archers ici?” – demanda le ma?tre. “Je peux utiliser des oignons”, dit Nearh, s’avan?ant, – Combien de planches une fl?che va frapper? – il a ajout?. – Un, ? une demi-?tape de distance, – dit le Cr?tois. “Mets le m?canisme entre les mains du jeune homme”, et il donna au divan un d?lice, il le prit comme le montrait le m?canicien, et le m?canicien remit la fl?che dans la goulotte, montra qu’il ?tait n?cessaire de la mettre dans le coin de la maison o? il y avait deux planches et, sur ordre, il appuya sur le crochet la descente, l’impact de la fl?che sur le ventre ?tait impressionnant, mais avec une d?tonation, la fl?che a travers? les deux planches. Alexander est all? regarder, et d’autres eters ont ?galement commenc? ? consid?rer le lieu de l’impact. – Bien, les ma?tres que vous vous ?tes surpass?s, j’?crirai ? mon p?re ? ce sujet, l’argent vous sera remis. Et le dispositif ? engrenages est ?galement int?ressant, mais ? quoi ?a sert? – Pour diff?rents automates et pour les horloges, vous pouvez mesurer les phases de la lune pour les pr?tres. “Et mesure le temps”, ajouta pr?cipitamment un autre. “Les rayons du soleil ne lui tombent pas dessus, comment peut-il mesurer le temps?” Dit le tsar?vitch. – Vous pouvez configurer pour mesurer des intervalles de temps ?gaux, en raison du m?canisme ? ressort, – a ajout? le ma?tre, et comme am?lioration pour les moulins ? eau et les machines pour extraire l’eau des mines. – Tr?s int?ressant, vous ?tes comme Daedalus, un m?canicien, ce sont des produits int?ressants, alors Ptol?m?e, c’est mieux qu’un combat pour regarder. Vous serez pay?s pour tous les appareils, chers ma?tres. La suite quitta la maison, le prince ?tait de bonne humeur et il chuchotait ? propos de quelque chose avec Hephaestion. Les meilleurs cavaliers ont appris aux jeunes hommes ? rester en selle, ? se reconstruire pendant la bataille, ? se contr?ler avec une lance et une ?p?e. Nearhs aimait le cheval d’Alexandre, son ob?issance et l’anxi?t? avec laquelle le prince se souciait de Buc?phale. Une fois interrog? sur Hephaestion, – Et quand Alexandre a achet? Bukefal? “Bien, c’est toute une histoire, pr?parez-vous ? ?couter”, r?pondit-il facilement. et a commenc? son histoire, semblable ? l’histoire de Bellerophon: “Un marchand est venu voir le roi Philippe et lui a offert un cheval magique pour douze talents d’argent … – Douze? – Noarch interrompu, – pas un cheval ne vaut autant! – N’interromps pas! – Hephaestion fron?a les sourcils, Le roi aimait le cheval, c’?tait le meilleur des chevaux, et il a appel? les meilleurs cavaliers, mais ils ont tous ?t? ?branl?s par le cheval merveilleux. Alors le roi s’est f?ch? contre le marchand et a dit que le cheval ?tait ensorcel? et que personne ne pouvait le monter. Et personne ne voulait faire le tour parce qu’ils avaient peur. Et seul Alexandre n’avait pas peur, il lui sauta dessus, le poussa dans un tourbillon et vola comme un tourbillon sur le march?. ? son retour, le cheval ?couta Alexandre comme un homme apprivois?. Alexander descendit de son cheval fougueux, les gens autour de lui rayonnant de sourire. Roi Philip, il ?tait si heureux qu’il se contenta de sourire pour la joie et la fiert? de son fils. Et je me tenais ? proximit?, je ne quittais pas des yeux de mon ami et j’?tais tellement heureux pour lui, comme s’il avait apprivois? un ?talon courageux. Et Philippe s’approcha de l’h?ritier du roi. – Comment appelez-vous un cheval, Alexander? Il a demand? ? son fils. – Bukefal r?pondit en caressant le cou du cheval d’une main et de l’autre en tenant les r?nes. Alexandre a ?galement brill? de bonheur.” Nearh regarda attentivement Hephaestion, l’ami du roi, et pensa: – La pr?diction s’est r?alis?e… Comme toujours, pas comme on peut s’y attendre, mais le taureau Alexandre l’a apprivois?, il est n? sous l’?toile, car le blason des Argeadas est une ?toile sacr?e, n?e d’une montagne sacr?e (Olympiade).. Et vous ne demanderez pas de conseils, personne ni personne.. de la Cr?te conna?t la pr?diction.. Alors que Hephaestion racontait une histoire vraie, Alexander s’approcha et un ami ne le vit pas. Avec un signe, il indiqua ? Nearhar de ne rien dire ? un jeune orateur, – Alors combien d?j?? Douze talents? – Il a dit en riant et l’a gifl? sur l’?paule, – Non, Nearar est beaucoup plus petit, mais le cheval est vrai, le groovy Bukefal, ?a ne peut pas ?tre mieux, c’est s?r. Vous avez oubli? d’ajouter, Hephaestion, que mon p?re avait vers? une larme et que la Mac?doine ?tait trop petite pour moi. “Exactement comme c’?tait”, acquies?a Hephaestion en riant. Le Cr?tois regarda de nouveau Alexander et, ravi et piti?, r?alisant ce ? quoi il faisait face, il se tenait face au soleil et il sembla ? Nearhex qu’une crista brillait autour de lui. Ne peut pas ?tre. Ce n’est pas encore le moment… La guerre a ?clat? avec Byzance, une ville du Bosphore, et Philip Alexander a ordonn? ? Philippe Alexander de venir ? Pella et de devenir gouverneur en son absence. La suite se forma bient?t et chacun se rassembla pendant deux heures avec ses serviteurs et ses chevaux de secours et fut pr?t ? jouer. Avant, le chemin longeant les routes de montagne mac?doniennes menant ? sa capitale, la route ne prit pas beaucoup de temps, et ils se retrouv?rent bient?t ? Pella, o? les gens accueillirent avec joie le prince ?g? de seize ans. Les gens ont appr?ci? le fait qu’il ne ressemble pas ? l’homme ? la barbe puissant et puissant de Philip, mais plut?t ? des images de Dionysos ou d’Herm?s – blond, l?ger, souriant. Au trot, le d?tachement atteignit le palais de l’Argead. C’?tait un b?timent tr?s particulier, avec des colonnes, une architecture diff?rente, et ressemblant surtout aux images de l’?recht?ion d’Ath?nes. Tout le monde descendit devant les portes de la maison royale, les domestiques emmen?rent les chevaux, les ?cuyers ? l’homme, et les Eters amen?rent le majordome dans la cour int?rieure, puis Alexandre conduisit les amis. Le palais ?tait magnifique, couvert de fresques de l’int?rieur, il y avait des lampes en bronze dans de nombreux coins, mais ce n’?tait pas luxueux au-del? de la mesure. “Le rez-de-chauss?e est ? bien des ?gards un lieu de test”, et il jeta un coup d’?il ? Nearch, l?-bas m?me les lexes repr?sentent les myst?res dionysiaques, un beau marbre, ils ressemblent ? des sarcophages, expliqua le prince, souriant largement ? ses amis au visage gris temps de vacances, de d?dicace, n’ayez pas peur, c’est une tradition comme dans les myst?res d’Eleusis ? Ath?nes. N?arh fixa ce bel ?difice, les murs en pierre de taille, le sol en marbre poli et, dans le hall principal qui passait, le sol ?tait en mosa?que, ainsi qu’? l’entr?e du palais. Dans les coins des couloirs, il y avait des lampes en bronze sur trois ou quatre pieds, avec des images de griffons ou de lions. Et ainsi, le jardin de la cour du palais est apparu, les si?ges ont ?t? arrang?s, et deux fauteuils, dans l’un d’eux ?tait assis une femme belle et majestueuse, et l’autre ?tait pour Alexandre. En voyant son fils, Olympiad s’est lev?e d’un bond, a presque couru et a ?troitement serr? Alexander, l’a embrass? plusieurs fois, puis l’a attir? sur la chaise, s’est assis en face d’elle, a mis une tasse de vin dans sa main, s’est assise et a invit? son fils ? s’asseoir., mais se comportait de mani?re tr?s m?fiante, attendant quelque chose. Les serviteurs ont bris? des bols de vin et des collations. Et Nearh regarda prudemment la m?re du tsar?vitch. Tr?s belle femme blonde, ? la coiffure compliqu?e, v?tue d’une robe de soie pr?cieuse, ceintur?e d’une ceinture d’?cailles dor?es et d’un collier d’aigles ? deux t?tes dor?es, les boucles d’oreilles ?taient le plus bel ouvrage, de petites cha?nes descendant jusqu’aux ?paules, sur son avant-bras, des bracelets en or avec fermoirs ? la forme griffons, et plusieurs anneaux sur les doigts, l’un d’eux avec un sceau. Ils chuchotaient entre eux, donc personne n’a entendu. “Bonjour, vrais amis”, a salu? l’Olympiade. “Je suis heureux et j’esp?re que vous accompagnerez le prince ? la guerre.” Demain, il se passionnera pour les ?p?bes, “elle regarda rapidement son fils, il regarda sa m?re n?gligemment,” Il est n?cessaire que tu puisses commander ? l’arm?e”, a-t-elle expliqu? ? Alexander.” Selon des rumeurs, du miel serait apparu aux alentours d’Amphipolis, et c’est Pangeon, mines d’or, fonds pour l’arm?e. Alors attends un peu avec ce philosophe, chevaux de selle, d?monte armure, escouades ? cliquetis, le moment est venu. Le d?ner ?tait servi, tout le monde mangeait rapidement en ?vitant les blagues obsc?nes et se pr?parait pour la c?r?monie de demain. Nearh se leva dans sa chambre et un serviteur lui apporta une bassine et une carafe ? laver. Il rin?a rapidement son tabac, v?tu de la meilleure, ramen? de Cr?te, fixa un poignard ? sa ceinture, mit une chevali?re, alla dehors, o? Teres, un ?cuyer, l’attendait. Toujours dans les meilleurs chiton et sandales, des amis sont venus avec les domestiques, tout le monde ?tait beau et Alexandre lui-m?me est bient?t apparu avec sa m?re, et toute la procession s’est d?plac?e vers le temple d’Apollon. Le pr?tre coupa la m?che de cheveux, la m?re demanda de ne pas trop la couper et le d?dia ? l’epheba et appela Alexandre. Trekking en Thrace Antipater et Cassandre rassembl?rent rapidement l’infanterie l?g?re et la cavalerie, les phalangites et les cataphractes resteraient ? Pella, dans les montagnes, ils seraient inutiles. Mille Agriens sont venus avec leur chef, cinq cents Thessaliens, ont rassembl? deux mille dimacs, cinq mille peltastes et archers, cela suffisait pour une randonn?e et deux cents tentes pour le transport. Alors qu’il y avait des camps, Nearh et Teres se sont promen?s jusqu’au champ d’Ares, o? les phalangites se sont exerc?s. Il entra?na leur ouragan et observa tous les h?gelo, le lohag le plus ?g?, les Mac?doniens en construisant trois ? la suite l’un de l’autre en armement militaire complet avec de c?l?bres sarissas ? la main, attaquant la poup?e en m?me temps avec trois lances, de sorte que dans une v?ritable bataille pour frapper l’ennemi, ou deux coups distrayants, et le troisi?me mortel, et en m?me temps le sommet ne resterait pas coinc? dans un cadavre. Le Cr?tois ?tait impressionn?, mais il agissait avec une pique au milieu, il brandissait un grand arc et une ?p?e, comme des fl?chettes Teres et un poignard. Il s’assit ? c?t? de ses serviteurs, ajustant les sangles de son armure, acheta le plus sensible des crins recouverts de toile, Terema, ? sa demande, en ?cailles de fer. “Maintenant tu es libre aussi, il s’est tourn? vers le serviteur, et ton nom est Elefterion (libre). “Vous me conduisez dehors”, demanda le serviteur avec un sourire ironique. – Je lib?re, tu veux rester – Je jure all?geance. “Je jure de ne pas te jeter ? un festin ou au combat”, jura-t-il. “Surtout au festin”, plaisanta Eleftherion, esquivant habilement le craquement de Teres. – Les chevaux sont pr?ts? Et ?pargner? Demanda Nearchus ? l’?cuyer. – Tout est pr?t, monsieur, j’ai tout v?rifi? et packs, craquelins, corned-beef, raisins secs. Tout est pr?t Teres a parfaitement rejoint le groupe des ?cuyers des Eters, seulement cinq combats, et est devenu le sien dans cette communaut? violente, maintenant il se tra?nait souvent, il vaut mieux l’appeler que, selon les pr?tresses de l’amour, avec les huttes Ptolemy et Hephaestion. L’arm?e est partie de Pella ? l’aube, les Agriens avec leurs chefs ?taient devant, un d?tachement de cavalerie dirig? par Filote, Cassandre a dirig? l’infanterie. et Polyperchon, Erigy et Laomedon lui ?taient subordonn?s, les Thessaliens ?taient confi?s ? Leonnat, Eumenes prenait en charge le bureau et l’intelligence et ne le regrettait pas, et Garpal commen?ait ? s’occuper des fournitures, et Ptol?m?e, Nearh et, bien s?r, Hephaestion restait sous Alexandre. Le miel a ?t? chass? d’Amphipolis imm?diatement, il n’ya eu que deux escarmouches, puis les troupes ont ?t? entra?n?es dans les cols des montagnes et les alpinistes ont organis? des embuscades et des attaques inattendues. Un d?tachement de cavalerie et d’infanterie, un millier et demi de personnes, dirig? par le prince lui-m?me, poursuivant un large d?tachement de miel, marchait imprudemment sur un sentier de montagne, mais le miel rus? contourna le col et se retrouva ? l’arri?re d’Alexandre, l’entourant. Allons explorer les chemins d’Alexandre avec Hephaestion, Nearh et Cassandre, trois chemins ont commenc? sur la cr?te, et il le fume ici pour la premi?re fois. “Allez le long du sentier du milieu, le chemin du milieu, devant les archers le long de la cr?te, derri?re eux, les peltastes, et laissez les cavaliers et les hypaspistes au barrage”, dit-il dans un demi-murmure comme avec lui-m?me, ? partir duquel tous ses amis furent jet?s dans le feu. Il se tourna imm?diatement vers ses amis et, souriant, comme d’habitude, dit: – Sur le milieu, allons-y, allons autour du miel, je sais. “Je conduirai, je suis moi-m?me un archer”, sugg?ra Nearh, le prince s’approcha, le regarda dans les yeux, “Tout va s’arranger, mon ami”, dit Alexander en posant sa main sur les pattes ant?rieures d’Eter. Un d?tachement de trois cents combattants se sont rapidement assembl?s et, tirant leur manteau de pluie sur la t?te, les guerriers, men?s par Nearhom, ont contourn? la cr?te, ses ?cuyers ?taient avec lui. Trois heures plus tard, plus pr?s de la nuit, ils ont vu les Highlanders au-dessous d’eux-m?mes. La position ?tait magnifique. “Ils se pr?pareront pour tout le monde”, Kuret a transmis l’ordre aux ouragans. Tous les archers se sont pr?par?s ? tirer et les autres ont pris les fl?chettes. – Viens! – Nearhs a fait un murmure, il s’est tir? une balle, et a vu une centaine de fl?ches et le m?me nombre de fl?chettes qui ont vol? dans les miels, et les ont imm?diatement suivis encore et encore. ? une distance de cent pas, il ?tait difficile de rater le butin et les pierres tombaient sur des dizaines de pierres, saignantes, essayant de r?pondre, mais en lan?ant des fl?chettes au lieu de tomber, les Mac?doniens n’ont tu? que dix personnes et trente-deux bless?s, m?me Neararch l?g?rement accroch? Pointe de dard thrace. En d?sespoir de cause, les alpinistes se sont pr?cipit?s vers le barrage, mais Alexandre les attendait d?j? et a commenc? ? lancer leurs armes et ? se rendre aux Mac?doniens. Plus d’un millier de miel et leur chef ont ?t? captur?s, il a donn? son ?p?e ? Alexandre. Le d?tachement avec le roi et les prisonniers se rendit dans une des vall?es, o? le reste de l’arm?e l’attendait avec Polyperchon et Erigia. Garpal organisa l’approvisionnement en nourriture, les soldats ?taient assez bien nourris et heureux, et Alexander se rendit chez les prisonniers pour n?gocier avec le chef. Le chef du miel ?tait assis les jambes attach?es, mais ses mains lui avaient ?t? rel?ch?es et il se tenait ? c?t? d’un tas d’hypaspistes costauds munis de matraques, afin que le chef n’ait pas de pens?es rebelles. Le prince, souriant, d?j? v?tu d’une robe propre, s’assit sur une chaise pliante en face du chef. – Bonjour, Res, – il s’est retourn? – J’ai cass? toutes vos troupes, vous ?tes en captivit?, il est temps de penser au monde. “Je ne serai pas l’esclave des Grecs”, a r?pondu le dirigeant, jetant fi?rement sa t?te en arri?re, et la hryvnia dor?e sur son cou inond?e avec fiert?. – Pourquoi ai-je besoin d’esclaves? – Alexandre ?tait surpris – Je n’ai rien ? leur donner ? manger, il sourit un peu, la t?te pench?e sur son ?paule – Mais ta forteresse sera la mienne et tu jureras fid?lit?, et chaque ann?e tu me enverras cinq cents hommes l?g?rement arm?s et deux cents cavaliers, et tu donneras ton fils en otage. Et vous ne volerez pas les routes. “Mais ce sont nos coutumes,” Res souriait d?j?. “Pas plus,” Alexander lui tendit la main et apr?s une pause, le chef tendit la main, renfor?ant ainsi le contrat. Puis ils jur?rent en pr?sence des pr?tres et, sans leurs cordes, le miel ?tait pr?sent au festin. Les soldats ont tu? trois sangliers et l’un d’entre eux a ?t? confi? ? la suite royale. Il a ?t? frit dans un trou, longtemps tourment? avec des herbes. Le festin s’est av?r? formidable, mais les gardes ?taient sobres, craignant la trahison des Highlanders. D?placement le long des routes de montagne vers la ville de Reza, la forteresse quelques jours de plus. En approchant de la ville, les Mac?doniens ont d?cid? que tout ?tait parfaitement arrang? avec le miel – la forteresse ?tait bien fortifi?e, le foss? et la hampe ?taient tr?s larges et, bien que le mur ne f?t pas ?lev?, il ?tait insurmontable et foss?.“J’aime la forteresse, Alexander”, demanda Res, se tournant ?galement vers le prince ?questre. “Magnifique”, r?pondit le jeune homme, regardant la ville avec un regard admiratif, “je jure que vous ne regretterez pas le roi pour notre contrat.” “Je veux nommer la ville en votre honneur, Alexandropol”, r?pondit Res, tout simplement Alexandre en rayonnant, il adorait les manifestations d’amour de soi et r?pondait au centuple. “Mais je vais laisser la garnison ici, cent cinquante Peltastes, Res, et j’aimerais regarder la ville ? l’int?rieur”, ajouta le prince avec s?v?rit?, et le Thrace le regarda avec respect et compr?hension. Les cavaliers se sont approch?s des portes et, au cri de Resa, les portes se sont ouvertes et Pelttes et la suite de Junior Argead sont entr?s dans la ville. ? l’int?rieur, il y avait plusieurs squats, un puits, des ?curies, rien d’?tonnant. Le roi parla avec ses compagnons thraciens et Teres traduisit le sens des discours: “Nous avons perdu, mais le prince est gentil, nous permet de vivre selon nos coutumes, laisse partir les prisonniers, mais demande de mettre fin au pillage, cinq cents jeunes hommes pour le servir et son fils le roi vivra avec les Mac?doniens en signe d’amiti?. De plus, les Mac?doniens laisseront une garnison dans la forteresse, et si les Mezians attaquent Medes, Alexandre viendra ? la rescousse. “Les anciens qui ont ?cout? le roi ont acquiesc? et, comme le serviteur l’a transmis ? Nearh, ils ont accept?. Lorsque le prince entendit les paroles d’un citoyen cr?tois ? ce sujet, il se r?jouit de cette r?ponse des anciens et appela Eum?ne. “Ecris ? Pella ? ton p?re et ? ma m?re pour leur dire que j’ai conquis le miel, pensa-t-il pendant quelques instants. Ils ont pris d’assaut leur forteresse et l’ont baptis?e Alexandropol. Enregistr? Eumenes? “Oui, Alexander”, peu de temps apr?s, il donna au prince deux rouleaux, il les scella avec son anneau et rendit Evmen. – Envoyez aujourd’hui avec les messagers, p?re et m?re. Ces nouvelles qu’ils aiment plus. “Dans une semaine, vous enverrez cinq cents combattants ? Pella et les conduirons sous l’un des obstacles d’Alexandropol”, ordonna le jeune commandant, le roi du miel acquies?a de la t?te. – Alexander, si les mezians arrivent, allez-vous vraiment m’aider? – Je ne mens jamais, Res. Je viendrai avec l’arm?e, je le jure, par Zeus – avec ces mots, le miel s’?claircit, acquies?a et partit pour placer ses bless?s et s?lectionner des personnes pour servir les Mac?doniens. Apr?s une journ?e ? la forteresse, l’arm?e est revenue ? Pella et est revenue victorieuse. En plus d’exploiter les morts, Res paya vingt talents d’argent. Il y avait donc de quoi payer les soldats. Sur le chemin, une partie des d?tachements a ?t? renvoy?e chez eux et seuls les hypaspistes, Eters et Thessalians sont rentr?s dans la capitale. Sur leur chemin, les Eters virent qu’Alexandre devenait de plus en plus sombre. “Quel est le probl?me avec toi, Alexander,” demanda son plus proche ami Hephaestion, et il le regarda avec tristesse, “Vous connaissez Hephaestion, ils me d?chirent comme si vous pouviez partager mon amour”, r?pondit le prince impuissant en accrochant sa t?te blonde, “De quoi parle-t-il?” Demanda Nearh dans un murmure de Ptol?m?e, “Il aime la m?re et le p?re, mais ils ne s’entendent pas bien et l’Olympiade a un caract?re tr?s dominateur”, a r?pondu le garde du corps d’Alexander. – J’esp?re que ?a co?tera cette fois. Apr?s ?tre entr? dans la ville, le prince renvoya les d?tachements chez eux, laissant les hypaspistes et l’escouade personnelle. Toute la suite s’approcha du palais o? Alexandre envoya un messager pour son retour. Depuis que le roi Philippe revint ? la ville avec succ?s, en honneur de victoire et de victoire. Fils a appel? toute la noblesse au festin. Mais tout d’abord, les Eters se rendirent au bain, le palais avait les m?mes douches que Miez. Ils r?ussirent donc ? nettoyer confortablement. Apr?s avoir chang? de v?tements, les Eters se rendirent dans la grande salle du palais. Alexandre alla rendre visite ? sa m?re, tant qu’il avec des amis La salle ?tait richement d?cor?e et, pour f?ter la f?te, elle ?tait couverte de guirlandes de fleurs, de chambres d’h?tes et de petites tables, et d’une grande table sur laquelle se dressaient des parfums oratoires et divins, des plats et des vins raffin?s. Philip et Alexander Lodge se trouvaient ? une certaine altitude., a ?galement invit? deux aedov, afin d’all?ger l’audience r?citation des invit?s et de la musique. Philip, en tant que propri?taire, ?tait d?j? allong? dans une gerbe de fleurs, le prince n’?tait pas encore l? et le majordome indiquait l’endroit aux invit?s en fonction de leurs m?rites et de leur excellence, si bien qu’Alexandre ?tait loin de la place royale. Philip devint sombre, et d?j? appel? le majordome pour lui-m?me, alors qu’Alexandre paraissait, il portait une belle robe neuve, mais il ?tait ramass? et p?le, “Vous attendez, mon fils bien-aim?”, dit le roi avec un l?ger reproche, “vous avez sans aucun doute accompli de nombreux exploits, mais toujours? – D?sol?, mon p?re, – Alexander est venu et a embrass? le roi sur la joue, – Votre fils est un commandant habile! – Perdicke dit ? haute voix, – Il a les tripes d’un vrai guerrier! Philip a vraiment aim? les louanges d’un commandant habile, et il ne l’a pas cach?. – Merci, Antipater, de l’avoir aid?. Les mines d’or n’ont pas souffert et les m?dicaments se sont calm?s. Peut-?tre que vous, l’h?ritier, ?tes trop gentil avec les vaincus? – Je n’aime pas verser le sang comme cela, et le visage d’Alexandre l?g?rement tordu, comme s’il avait mal, – mais un fid?le alli? vaut mieux qu’un champ br?l? et des montagnes de cadavres. “Eh bien, apr?s tout, vous avez pris Alexandropol par attaque,” dit Philip, conc?dant, “le tsar?vitch a gard? le silence pour cela”, ? pr?sent, la pierre nous enverra de l’aide, ajouta le tsar ? son entourage. Et seulement les majordomes ont rempli les coupes, et le roi a proclam?: – Pour mon fils, Alexander, le commandant courageux et intelligent! Tous joyeusement cri? et bu du vin parfum?. Puis ils ont bu plus pour l’arm?e, pour la Mac?doine, puis les saints ont commenc? ? interpr?ter des extraits de l’Iliade, en chantant les actes h?ro?ques des h?ros, et de nombreuses nobles naissances mac?doniennes ?taient directement issues des h?ros de la guerre de Troie, du moins on le pensait. Ensuite, ils buvaient beaucoup et les jeunes gens avec Alexander ont quitt? la salle en glissant. Sur le chemin du hall, tous les amis du prince ont remarqu? que le majordome menait le fl?tiste et h?t?rosexuel pour continuer ? s’amuser. Le lendemain, apr?s avoir fait ses adieux ? son p?re et ? sa m?re, Alexander et sa suite se sont r?unis et se sont install?s ? Mieza pour poursuivre leurs ?tudes chez Aristote. Ils ne savaient pas ce qui restait ? ?tudier pendant moins de deux ans. La arrestel a enseign? l’essentiel: agir avec discernement et correctement est mieux et plus utile que de suivre le mal et de faire le mal. Une lettre a ?t? adress?e ? Nearh indiquant que Kallifen arriverait bient?t avec son fils ? Amphipolis, et le prince a convenu que cela ?tait exact, car ce n’?tait pas bon lorsque la femme ?tait loin de son mari et que celui-ci ?tait de sa femme. Mais Kallifen n’est arriv? que deux ans plus tard, apr?s une grande guerre. Une nouvelle guerre ?clate deux ans plus tard, Th?bes, en alliance avec Ath?nes, se d?clare contre la Mac?doine. Les messagers de Philippe se lev?rent pour que les Eters et Alexandre se rassemblent et se pr?sentent ? Pella et que le prince re?oive le commandement du limon. Il est temps de se s?parer du mentor, tout le monde s’est rassembl? et est all? chez lui. Alexandre frappa ? la porte, ouvrit le vieux serviteur du philosophe, laissa les ?tudiants entrer dans la cour, “Entrez, je vais appeler le tuteur maintenant” et il entra rapidement dans la maison d’o? il sortit presque imm?diatement, majestueux et sans h?te, appuy? sur un b?ton en drap de lin blanc digne des philosophes, Aristote. – Bonjour Alexandre, bonjour mes dignes ?tudiants, – salua-t-il “Bonjour, Ma?tre, nous sommes venus nous dire au revoir, je ne sais pas si nous nous reverrons ou non,” commen?a le fils de Philip, “une grande guerre a commenc? et nous devons faire campagne.” Nous n’avons pas pass? votre entra?nement pour rien et j’esp?re que vous serez fiers de nous. – Je suis ?galement heureux que vous ayez pris des le?ons de ma part, je n’ai pas eu de meilleurs ?l?ves et je ne le ferai jamais. La meilleure gratitude envers un mentor est le comportement digne des ?l?ves. “Vous n’aurez pas honte de nous avoir appris”, ajouta Alexandre avec un arc. Les ?l?ves de l’?cole Miezensk firent donc leurs adieux au philosophe Aristote. Et ainsi finit leur adolescence. Guerre Philippe convoqua tous ses princes souverains des r?gions conquises et pr?para avec succ?s ses troupes r?guli?res avec l’aide de Parmenion et Antipater. Nous avons r?ussi ? rassembler trente mille fantassins, dont douze mille phalangites pr?par?s et trois mille cavaliers, dont environ huit cents cataphractes. Alexandrov Gastrafeti n’?tait pas pr?t, bien que le prince veuille les enregistrer et le premier d?tachement de trois cents soldats entra?n?s avec puissance et force.Mais le m?canisme ?tait tr?s co?teux, co?tant un cheval peu co?teux, et quand Philip a d?couvert combien il valait, il s’est ?touff? au d?ner. Les Th?bes rassembl?rent onze mille fantassins et un demi-cavalier, les Ath?niens recrut?rent quinze mille mercenaires en Arcadie et en Mess?nie, quinze mille milices d’infanterie et mille cavaliers. Les forces ?taient presque ?gales, mais les Mac?doniens disposaient d’une cavalerie l?g?re form?e de forces agriennes et thraces, et commen?aient ? d?truire B?otie. Parmenion et Philip ont constamment man?uvr? pour pi?ger les mercenaires dans l’un des passages. Ils ont r?ussi, les mercenaires d’Ath?nes se sont rendus et les prisonniers ont ?t? envoy?s au nord ? Thrace afin de garder la fronti?re des Mezians, car les mercenaires ont rapidement compris la situation et accept? de servir Argeadam, mais ne voulait pas se battre avec Ath?nes et Th?bes. Un affrontement ?tait in?vitable et Lysicles mena pr?cipitamment la milice ath?nienne au secours de Th?bes, et m?me D?mosth?ne prit ?galement le goplon entre ses mains. L’intelligence des Mac?doniens issue de la cavalerie l?g?re a perturb? les Ath?niens et les Th?bains, les tenant comme un chien de chasse ? l’ours et ne leur permettant pas de quitter le terrain de niveau avantageux pour les Mac?doniens. Philippe a dirig? ? la h?te l’arm?e sur trois colonnes, il a confi? la cavalerie et les hypaspites ? Alexandre, lui-m?me dirig? les Phalangites et les Peltastes et l’infanterie thrace. Les ennemis ?tablissent des camps oppos?s ? Heronei, o? la bataille devait se d?rouler. Philip convoqua les pions au conseil et organisa un festin pour encourager les commandants avant la bataille et pour discuter ? nouveau du plan de bataille. Vers midi, tous les commandants arriv?rent: Parmenion avec son fils, Antipater avec Cassander, Cleit, Ken, Attal, Meleager et Alexander avec l’ins?parable ami Hephaestion et son garde du corps Ptol?m?e. Au centre se trouvait une table avec du sable coul? et des figures de soldats repr?sentant des unit?s militaires, des Mac?doniens blancs, des adversaires noirs, des Ath?niens et des Thebans. “Venez, camarades”, sugg?ra Philip, tout le monde regarda la position des Mac?doniens – l’infanterie sur le premier flanc, les Thracians et les Pelttes au premier rang, au second rang au loin du vol de la phalange, trois cents Thraciens de la r?serve align?s, sur le flanc droit cavalerie et hypaspistes et coureurs, ainsi que huit cents cataphractes sous le commandement d’Alexandre. – Risqu?, dit Parmenion, – Peltasts en avant? oui ils s’enfuiront devant les Ath?niens, “C’est juste le bon vieux ami,” rayonna Philip, clignant des yeux d’un ?il unique, “Lysikel, Hares, et surtout Demosthenes, des gens qui aiment et se pr?cipitent pour poursuivre notre avant-garde et tomber sur les lances des phalangites et Alexandre les frappera sur le flanc. les Ath?niens seront bris?s, ils d?voileront le flanc et nous entourerons les Th?bans. – les pages ont commenc? ? distribuer le vin aux invit?s, en distribuant les bols remplis aux g?n?raux. “Et toi, mon fils, retiens les Th?bains, et rappelle-toi que Feagen est intelligent, tu ne peux pas l’attirer dans une embuscade”, dit Philip en sirotant son vin, “brise leur cavalerie et attend notre aide sans rompre le syst?me. La d?esse Nick ?tendra ses ailes au-dessus de nous.. Tout le monde s’accorda pour dire, en hochant la t?te que le meilleur plan possible, les serviteurs apportaient des tables avec de la nourriture, toujours la m?me chose – du fromage de brebis, du pain plat et des olives. Aucun des invit?s n’a perdu son app?tit devant le Sich, tout le monde ?tait un combattant et un commandant exp?riment?s. Ils ont bu trois bols, le dernier pour tous les dieux, et se sont couch?s. Le ciel ?toil? au-dessus de Heronei devint de plus en plus brillant ? l’est et le r?veil commen?a ? se faire dans les camps. Les guerriers mang?rent un l?ger go?ter et se r?jouirent que la chaleur de l’?t? ne soit pas encore commenc?e. Ils mirent une armure et sortirent pour construire conform?ment au programme des commandants. les attaques de l’ennemi par pr?servation, Alexandre et Philippe, le fils et le p?re, se sont ?tendus ? diff?rents flancs de l’arm?e, et avec eux les guerriers et les combattants ordinaires se sont lev?s dans les rangs. Loin dans brume, il ?tait clair comment les Ath?niens ?taient construits avec les Thebans, et l? aussi, le d?tachement ?tait reli? au d?tachement, constituant une ligne indestructible d’hoplites. Les troupes dans les rangs se sont approch?es ? une distance de trois vol?es de fl?ches, et Philip a envoy? une infanterie l?g?re et des peltastes sur le mur des Ath?niens pour attaquer. Lysicles envoyaient leurs Peltastes, mais la plupart des Peltastes ?taient des mercenaires. Ils servaient maintenant les Mac?doniens du nord et les Peltastes ath?niens, qui ?taient en minorit?, se sauvaient, et Lysicles fut forc? de lancer son infanterie dans l’attaque, jetant les Mac?doniens, mais son inspiration le provoqua. la v?h?mence excessive de D?mosth?ne, qui a emmen? les Ath?niens ? la pers?cution, a jou? un r?le, et les Thraces et les Peltastes en fuite sont entr?s dans les passages de la phalange, et l?-bas Antipater n’a pas somnol?, et les Mac?doniens, regardant en avant, sarissas, ne laiss?rent pas les Ath?niens se former sous le feu. un son terrible pyrrhics, attaqu?. Cette musique a compl?tement priv? les guerriers de la peur et ne les a pas laiss?s se sentir fatigu?s. Premi?rement, la phalange a frapp? avec des fl?chettes, parce que les rangs du quatri?me au quinzi?me, ils ?taient des lanceurs l?g?rement arm?s, alors la milice de Lysicles a commenc? ? ?tre fouett?e par une temp?te de lances, des dizaines et des dizaines de guerriers ont ?t? bless?s et tu?s, et une demi-sc?ne avec des phalangites rapides qui ?crasent pas les boucliers. comme d’habitude dans la bataille des hoplites entre eux, ils ont battu avec des lances plus longues que d’habitude trois fois. Chaque rang?e de Mac?doniens a battu soit en m?me temps, trois lances en une seule personne, soit s?par?ment, au commandement du premier dans une rang?e, ou deux lances ont frapp? le bouclier pour le d?vier et ont frapp? l’adversaire avec la troisi?me, et surtout, ne pas laisser l’extr?mit? se coincer dans le bouclier. ou le corps de l’ennemi. Ainsi, les phalangites ramassaient comme des rameurs ? bord du navire, d?truisant leurs adversaires de mani?re rythm?e et coh?rente, la queue du navire coupait l’?cume des vagues, de sorte que les Mac?doniens formaient un blocage des Ath?niens bless?s et tu?s, allong?s par couches de deux ? cinq personnes les unes sur les autres, ils se trempent de sang dans les plaies et finissent par trembler, incapables de r?sister ? la machine ? mort de Philip. Au d?but, ils ont donn? un peu, puis ont couru rapidement du champ de bataille, les hoplites ath?niens se sont enfuis, poursuivis par les Thraces. Alexander avait tout beaucoup plus difficile, au d?but, la cavalerie mac?donienne renversa la cavalerie th?baine du champ, et les Thessaliens commenc?rent ? les poursuivre, et le prince envoya les troupes de Peltast aux Th?bans pour le moment, ne les laissant pas frapper, et le commandant Feagen avait peur de mettre ? nu le flanc uniquement lorsque les Ath?niens ont commenc? ? poursuivre les Mac?doniens, les Th?bains se sont pr?cipit?s ? l’attaque, mais Alexandre a r?prim? leur impulsion en frappant les Agrians sur le flanc des fantassins th?bains et a man?uvr? la cavalerie sans attaquer, et seulement lorsque les Ath?niens se retiraient et Feagen tentait de se retirer au camp. rganizovanno, le prince a lanc? la premi?re dimahov d’attaque, ils ont commenc? ? jeter infanterie fl?chettes Th?bes, et quand ils ont essay? d’attaquer, les couper avec leurs ?p?es, du flanc droit, ils ont frapp? Hypaspistes et combattre Theagenes a ?t? tu? et les Th?bains, aussi, a fui, mais la bande sacr?e ?tait fermement. Alexandre a vu ces h?ros et, accompagn? des Eters, est mont? ? eux. “Abandonne, je jure, je vous laisserai tous rentrer ? la maison”, cria-t-il ? ce d?tachement de braves, – Nous sommes d?j? chez nous ici, Alexandre, lui cri?rent les Th?bains: – Tu es l’invit?! – Eh bien, leur cria le prince: – Je vais vous honorer! “Elah align?e, coureurs et hypaspistes se tiennent derri?re la t?te pour les sports ?questres, les ?cuyers aident les bless?s!” – Il commanda rapidement et les guerriers coururent ses ordres, courant, cataphract?s sur de gros chevaux, align?s dans une armure puissante, reliant d’?normes sarissas, parmi lesquels se trouvaient Alexandre et tous ses amis. “Marsh, marchez-y, lancez-vous avec une lance, avancez-vous”, a ordonn? un chef blond, et sur Bukefal, le premier, tenant une sarissa ? deux mains, l’a dirig?e vers l’un des Th?bans, a ?galement pris des lances ? la main et s’est couvert de boucliers.Mais ce bouclier peut-il prot?ger contre la longue lance du cataphracte? Il y a eu un choc assourdissant et le bouclier a ?clat? comme un ?crou. Un fragment de lance qui a ?clat? au moment de l’impact a perc? le torse d’un fantassin brave. Alexander avait d?j? renvoy? le cheval dans les rangs des coureurs et des hypaspistes pour changer de lance et d’autres cavaliers. attaqu? les meilleurs guerriers de Th?bes. Nearh vit Filota, Erigy, Ptol?m?e r?p?ter la m?me man?uvre. Ptol?m?e touchait toujours une lance ? la main. Au bout de quelques secondes, ce fut le tour de Notarch. Lui aussi sauta sur un cheval et sarissa ? deux mains. La t?te de la Th?ban, la pointe de la lance perc?e du casque de cuivre, comme une coquille d’oeuf, et l’ennemi tomba comme un podkoshenny, mais le guerrier de la troisi?me rang?e, d?sesp?r?, la lan?a, il frappa le c?t? de la selle, quand il se retourna, il la porta hors de la selle, eaglet superflu du nid. Nearh sentit imm?diatement qu’il se roulait d?j? sur le sol et que la plaie ? son c?t? saignait un peu, gr?ce ? la solide armure de son p?re. Teres se pr?cipitait d?j? vers lui, balan?ant sa masse, il d?monta aussit?t, et de l’autre c?t?, Eleftherion courut jusqu’? eux. brisant les rangs et esp?rant m?me le tuer, les meilleurs gardes de Th?bes s’enfuirent. Kuret se leva, jeta un petit bouclier dans son dos, sortit son ?p?e de son fourreau avec une fissure s?che et la bagarre se termina, pour une raison quelconque, Neararu se souvint que tout cela ?tait ? la mani?re de l’Iliade de Homer, la bataille pour le corps de Patroclus (heureusement pour lui). il n’est pas encore devenu Patroclus, car il ?tait encore en vie). Les coureurs mac?doniens se sont pr?cipit?s ? leur secours et les Thebans ont cass? la ligne et la bataille s’est transform?e en un massacre sanglant. Le Cr?tois ne vit plus la bataille, il ne pouvait ?tre abattu que par un fid?le mahaira. Il combattit avec Teres et Eleftherion couvrit l’arri?re, r?ussit ? atteindre l’un des Thebans ouverts avec un coup de poing du haut, et un autre Teres se frappa ? l’?paule avec son mangeur, et la main de l’ennemi se transforma en une plaie solide, de sorte que ses camarades le men?rent ? l’arri?re. La bagarre se poursuivait et Bient?t Ptol?m?e se dirigea vers lui avec ses ?cuyers. Apr?s s’?tre pench?, il le plaqua contre l’?paule d’une mani?re amicale. De l?, Nearhs se tordit, tout son corps lui fit mal apr?s la chute et un filet de sang coula d?sagr?ablement de son c?t?, sur sa jambe, et coula en sandales. – Bien jou?, sorcier! Nous avons cass? leur ligne, maintenant nous allons appuyer, nous retirer vers l’arri?re, o? mes serviteurs de vos chevaux ont ?t? attrap?s, arm?s et nous ont suivis”, a d?clar? le garde du corps du prince, et son cheval s’est d?plac? au beau milieu de la bataille, cach? par les coureurs et les hypaspistes. Nearh a tr?buch? ? l’arri?re, boitant sur deux jambes ? la fois, et a vu les serviteurs de Ptol?m?e tenir leurs chevaux, Teres a imm?diatement couru vers eux avec des sauts joyeux, mais le shestoper n’a pas abandonn?, ? partir duquel ces gens qui ne connaissaient pas le Thrace se sont rapidement retir?s, et ce Hercules nouvellement apparu a commenc? ? se r?jouir chevaux et nourrir les biscuits. Eleftherion, voyant le sang sur le c?t? et la jambe du propri?taire, commen?a ? retirer son armure. Ce qui ?tait amusant pour tout le monde ? retenir plus tard, c’est la fa?on dont Hephaestion se moquait de lui, du fait qu’il ?tait rest? dans le casque, mais qu’il ?tait nu et nu. Et que le casque, sans aucun doute, il est tr?s beau et regarde tout autour de lui et rien d’autre. Le serviteur a lav? sa plaie, fort heureusement peu profonde, avec du vin et l’a plant? dans le sac, et a mis un bandage serr? sur une toile propre. Entre temps, la bataille qui s’?tait transform?e en massacre ?tait termin?e, quarante-six bless?s et des bless?s ont ?t? captur?s. Alexandre a souffert avec eux maintenant, essayant de s’assurer qu’ils ne mourraient pas, il adorait tout ce qui ?tait rare, et deux cent cinquante-quatre combattants tu?s ?taient couch?s sur le terrain, et le prince a ordonn? aux bo?otiens captifs de creuser leur tombe. Alexandre fit appeler Nearhom et v?tu d’un chiton de rechange, un homme cr?tois avec des serviteurs tr?bucha sous un hangar o? Alexandre ?tait ministre. La renomm?e de l’art du prince se r?pandit dans l’arm?e et les soldats crurent que si Alexandre les touchait, ils ne mourraient pas de leurs blessures. Apr?s avoir ligot? les Th?bains, le prince se tourna vers eux: “Nous ?tions des ennemis, tout est fini, je ne veux pas te tuer, et le moins de choses qui te feront sortir de la ville de toute fa?on, c’est le meilleur r?sultat pour toi.” Pouvez-vous et vos familles sugg?rer Alexandropol ? l’exil. Vos serviteurs y am?neront vos familles plus tard. Les Th?bains r?fl?chirent longtemps et accept?rent. Le prince ordonna ? Nearh d’envoyer Teres avec les bless?s ? Alexandropol. Deux jours plus tard, les serviteurs des citadins arriv?rent avec des charrettes dans lesquelles les bless?s ?taient une famille et ils s’install?rent ? Thrace. Et le plus int?ressant est que tous ceux que le jeune Argead traitait ne sont pas morts. Plus tard, Alexander est venu chez les Mac?doniens bless?s, Nearh l’a aid?. Le jeune homme travaillait comme un simple m?decin, pas du sang churayas, soulageant la souffrance des gens. Nearh vit qu’Alexandre ?tait terriblement fatigu? et sans lui Ce visage tr?s lumineux, jamais br?l? par le soleil, est devenu gris de la douleur et de la peur des autres. Nearh a alors entendu pour la premi?re fois, alors que le prince commen?ait ? parler, murmurer comme si c’?tait avec lui-m?me: “Tra?ner, mais pas trop tirer… Serrer la peau sur la marqueterie et la coller avec un pansement et serrer…” Kuret a vu un homme gravement bless?, v?tu d’une tunique tremp?e de sang, les yeux ferm?s, et a appel? Alexandre. “Je ne suis pas Elicia, elle fume, je ne ressuscite pas les morts et ne me bats pas avec Tanat”, a-t-il d?clar?, pas de sa propre voix creuse. “Humiliez-vous, Nearh, il est d?j? mort”, dit-il avec son ton habituel, puis tapota l’?paule du Cr?tois. – Laisse-moi te voir, tu ne sais jamais, tu es aussi bless?, j’ai examin? tout le monde, tu as ?t? laiss? seul. N?arch ne discuta pas et enleva son chiton, et l’?tudiant d’Aristote d?roula rapidement le bandage, examina la toile recouvrant la plaie, la nettoya rapidement, attrapa soudainement les bords de la plaie, la tira l?g?rement, superposant les bords de la peau coup?e et la fixant avec de la colle et ?troitement coll?e. “Ensuite, vous allez vous remercier et votre femme va aimer,” dit-il avec un sourire. “Et vous vous ?tes battus avec courage, devenant un vrai cavalier.” Allez, tu dois te laver et manger. De simples guerriers accueillirent avec impatience les Eters qui sortirent de la tente. – Merci, Alexandre, maintenant que nos amis survivront, ils ne mourront pas! Alexandre est notre roi, Philip est notre commandant – les guerriers ont cri?, et Nearh a ?t? l?g?rement effray? ici, et Alexander a souri avec bonheur, acceptant les remerciements des guerriers exp?riment?s couverts de cicatrices, munis de simples armes, qui avaient gagn? la Mac?doine et cette victoire. Et dans une pile s?par?e d?pos? les armes de la Sacr?e Brigade, lui interdisant de toucher le nom du prince. Dix cataphractes, vingt coureurs et trente-cinq hypaspistes ont ?t? tu?s au combat et huit cent cinquante l?g?rement arm?s sur le flanc de Philippe. La bataille ?tait finie. Monde apr?s guerre, h?g?monie L?g?rement arm?s ont commenc? ? marcher autour du champ, collectant des armes et des objets de valeur, mais Philip a interdit de retirer les v?tements de leurs ennemis morts, bien que g?n?ralement les morts soient vol?s ? nu. Le roi allait prendre une ran?on pour les morts Thebans, les Ath?niens ont imm?diatement inform? qu’il ne pr?terait pas une ran?on pour le retour des corps et pour les prisonniers, la signature d’une union obligatoire en ?tant le prix. Les Thebans ?taient soumis ? des exigences plus strictes – il devrait y avoir une garnison mac?donienne dans la Cadmea, maintenue aux d?pens de la ville, et Plateia et Orchomen devraient ?tre restaur?s. Philip a d?cid? de contourner le champ de bataille avec les commandants, alors que les morts ?taient encore rassembl?s dans cet endroit lugubre. Le roi examina attentivement les endroits o? davantage de guerriers moururent et ne trouva aucune joie sur son visage. Les guerriers avaient d?j? fini d’enterrer les Mac?doniens et leurs alli?s, et les prisonniers th?bains ?taient enterr?s sous la garde des Mac?doniens, la Escouade sacr?e ?tait inhum?e s?par?ment des autres. Imm?diatement, ? c?t? du terrain, il ordonna l’am?nagement d’un hangar, des fauteuils pour les commandants des troupes, des pages munies de tables avec de la nourriture et du vin, et ils furent envoy?s pour chercher Alexandre. Les invit?s ont commenc? ? s’installer chez Philip, il a personnellement rencontr? tout le monde, remerci? et assis, et les pages ont imm?diatement vers? du vin ? l’invit?. – Pour Philip, le gagnant! – Cri? guerriers exp?riment?s, associ?s du roi, – Pour la victoire sur Ath?nes et Th?bes, les commandants de l’arm?e ont imm?diatement proclam?, “Je ne cherche pas les autorit?s, mais l’unit? des Hellas”, leur chef a r?pondu aux camarades d’armes, et n’a pas voulu verser de sang. “Eh bien, maintenant j’ai honte de la victoire”, a d?clar? Attal. “Je ferai un sacrifice selon l’ancienne coutume, je rach?terai le sang vers?”, dit le roi. Il a re?u l’ordre de se munir d’un manteau de berger, d’un b?ton et d’appeler les fl?tistes. Quand ils ont apport? le n?cessaire, il s’est d?shabill?, a mis un manteau de fourrure, a pris le b?ton et est all? pieds nus sur le terrain o? il n’y avait pas de morts. “Jouez ? Pirriha, les guerriers”, ordonna Philip. Sous un rythme furieux d’instruments, il commen?a ? bouger au rythme de la musique, sacrifiant les dieux par une danse, enlevant le poids du sang vers? aux soldats et prenant de son poids, cette danse fut ex?cut?e tr?s mal. A c?t? de la tente mac?donienne, ? une distance d’?tapes, les guerriers nourrissaient les Ath?niens captur?s, et l’un d’eux remarqua la danse sacr?e de Philippe, “Les Mac?doniens sont devenus fous de sang”, a d?clar? l’un d’eux avec m?pris. “? quoi s’attendre des barbares”, dit l’autre en mangeant pensivement le rago?t mac?donien avec le dernier g?teau. En entendant cela, le garde leur lan?a une lance, mais le lohag arr?ta le guerrier. “Toute gratitude est ?trang?re aux Ath?niens”, dit ironiquement le Lohag, en passant devant les captifs. Deux mille Ath?niens ont ?t? captur?s et les ambassadeurs de la ville ?taient d?j? arriv?s avec une offre de ran?on. Ils se sont rencontr?s peu de temps apr?s le festin mac?donien. Les messagers ont inform? le roi de l’ambassade, il a rencontr? les h?rauts du monde sur un magnifique fauteuil. “Bonjour, Philippe, tu laisses les prisonniers rentrer chez eux, mais tes Thraces leur ont pris leurs manteaux et il sera froid pour eux de rentrer chez eux, beaucoup de gens risquent de geler la nuit”, a d?clar? l’Ath?nien au roi. “Sans aucun doute, ce sera juste”, r?pondit Philip, souriant largement, il trouva cela amusant. Les Ath?niens sont partis ? pied, avec leurs imperm?ables et leurs couvertures, et les Ath?niens d?c?d?s ont ?t? plac?s dans des charrettes. Une caravane enti?re a ?t? rassembl?e. Les porteurs ?taient les serviteurs des Ath?niens captur?s au combat. Le roi pensa un instant ? qui envoyer comme messager de chagrin et d?cida que le prince serait le meilleur. Une seule fois, tout le monde ne s’est pas s?par? apr?s le festin et il s’est adress? ? son fils: “Alexandre, emm?ne les corps ? Ath?nes, la mission n’est pas agr?able, mais ils te seront reconnaissants et tu visiteras cette grande ville”, soupira son p?re. “Et toi roi, demanda le prince, tu pourrais venir avec moi. “Si j’entre dans la ville, ils penseront que je les ai conquis et je veux qu’ils m’invitent”, a d?clar? Philip avec le ton et l’expression d’un admirateur malchanceux rejet? par une belle fille, “la plus belle ville de Hellas!” Et certains alli?s m’ont demand? de le d?truire.. Philippe ne cherchait ni la loyaut? ni la peur des Ath?niens, mais leur amour. Chaque personne veut plus que tout ce qu’il ne peut pas recevoir, et le roi de Mac?doine n’a pas fait exception ? la r?gle. Alexandre prit avec lui des provisions, des amis de la suite, du limon de cavaliers pour prot?ger la cargaison. Avant la caravane, Philip envoya un h?raut ? Demad, l’archonte d’Ath?nes, pr?s de son mandataire afin de pr?venir de l’ambassade. Il ?tait n?cessaire d’avancer imm?diatement pour que les accusations fussent de courte dur?e et Philip donna une autre lettre ? Demades, son connaissance, le roi d’Ath?nes, pour qu’il prenne Alexandre comme il le devrait et l’argent n?cessaire. Alexandre emporta avec lui Hephaestion, Ptol?m?e, Nearh, Cassandra, Filota, Leonnat, Eum?ne et Garpal. L’ambassade s’est d?plac?e le plus rapidement possible sur la route reliant Th?bes ? Plat?e, d?truite, mais selon des rumeurs, que les citadins expuls?s autrefois ont commenc? ? restaurer. En passant devant la ville, les Mac?doniens ont compris que c’?tait vrai et, m?me s’il n’y avait que deux temples dans la ville jusqu’? pr?sent, les habitants ont obstin?ment reconstruit leurs habitations, puis se sont dirig?s malgr? la chaleur estivale vers Eleuthera, une ville ath?nienne, ville frontali?re entre Attica et Beotia. Mais les voyageurs arriv?rent et v?n?r?rent Gera de Plateja, visitant ce beau temple orn? de Callimachus et de Praxitele eux-m?mes, ainsi que des temples d’Ath?na Ar?a et de Demeter, et laissant la caravane pendant un moment, Alexandre et son cort?ge se prostern?rent devant le monument aux Hell?nes perdus lors de la bataille de Plateo contre Mardonius. La vall?e de Kiferon ?tait pleine de curiosit?s et le prince ne regrettait plus d’avoir ?t? envoy? pour ce travail douloureux, renvoyant les Ath?niens morts chez eux. Bient?t, ils s’approch?rent des Eleutheras, o? Alexandre remit les charrettes aux Ath?niens morts, mais indiqu?rent qu’apr?s neuf jours, les charrettes seraient rendues ? Eleutheria, o? les Mac?doniens les emm?neraient. Puis la suite entra dans la joie, il n’y avait aucun sentiment de deuil oppressant, et les jeunes anticipaient la joie de rencontrer la belle ville. Les guides ath?niens, pr?s des portes de la ville d’Ath?nes, ont demand? que le convoi reste dans le champ, et Alexandre a ordonn? ? ilyarkha de camper et de les attendre ici. Le cort?ge est ?galement rest? avec les cavaliers pour attendre Demad, le proksen de Philip. Cela prit environ une demi-journ?e et l’archoth apparut avec deux serviteurs. C'?tait un homme d’une quarantaine d’ann?es, avec une petite barbe noire et des cheveux courts, v?tu d’une longue tunique et d’un manteau, relativement modeste, et il ne portait pas de bijoux sauf anneau sur la main droite. – Bonjour Alexandre, heureux de vous accueillir dans la ville et merci d’avoir ramen? les morts ? la maison. – La personne qui a parl? n’?tait pas tr?s mobile et il a regard? intens?ment le prince. – J’aimerais vous fournir ma maison et celle de votre suite. Partagez mon modeste repas avec moi. “Ce n’est pas selon notre coutume de venir chez le ma?tre de la paix sans cadeau, dit Argead d’une voix r?sonnante. Recevez de votre c?ur un cheval-cadeau de notre troupeau. Le chevalier d’Alexandre rapporta ? Demad le pedigree de l’?talon de Thessalien. – Merci, prince, cadeau riche, allons en ville, soyez invit?s ? mon foyer. Mais il vaut mieux laisser ces chevaux aux guerriers, j’ai une petite maison… “Nous comprenons”, a d?clar? Alexander avec un sourire souriant ? l’archonte, “nos jambes nous portent aussi”, et en r?ponse, les amis se sont moqu?s de la blague. Les Mac?doniens sont donc all?s ? pied dans la ville. ? l’int?rieur, la ville n’?tait pas si diff?rente des autres villes hell?niques – une rue ?troite entre des rang?es de cl?tures de manoirs en pierre in?gale alternant des guichets par tour et une maison aux murs vierges donnant sur la rue et donnant sur les cl?tures avec des arbres fruitiers des jardins potagers. Mais au-dessus de la ville se trouvait l’Acropole avec la statue majestueuse d’Ath?na. Enfin, ils entr?rent dans la maison de Demade, de taille consid?rable, ?galement construite en pierre et recouverte de pl?tre. Les serviteurs des Eters et d’Alexandre furent emmen?s chez l’homme, et l’h?te conduisit tous les invit?s dans le jardin pour le d?ner, o? une friandise ?tait d?j? pr?par?e et o? les lits ?taient dispos?s. Le majordome conduisit les invit?s chez eux, les domestiques apport?rent des tables avec des plats raffin?s et du vin raffin?. Seul Nearh avait assist? ? de tels repas chez son p?re. – Je suis heureux pour les invit?s, bien que je ne sois pas heureux de votre visite dans notre ville, mais je vous consid?re toujours comme ?tant mon et nos amis, et la guerre est un malheur commun. Buvons au monde! – Demad a prononc? un discours sinc?re en regardant les Mac?doniens. Ils ont soulev? les bols remplis et la mar?e de vin sur le sol en l’honneur des dieux, ils ont bu du vin en signe d’accord et de b?n?diction des paroles. Tout le monde consid?rait la guerre comme un malheur. Les invit?s ont rendu hommage aux sp?cialit?s de l’archonte: poisson extraordinaire de Euksinsky ponta, d?soss? et au go?t excellent, thon, friandise raffin?e, fromage assaisonn? et poisson marin?, ? l’odeur terrible et inhabituel pour les connaisseurs. Ils avaient d?j? bu quatre bols chacun et le vin me frappa l?g?rement la t?te. L’archonte sonna de la cloche, invitant les filles ? la fl?te et les danseuses. La musique ?tait magnifique, mais les yeux des Eters ?taient riv?s sur une fille nue, aux cheveux noirs et boucl?s, elle ?tait maigre, sans trop de lourdeur, ce qui attirait Praxitela. Les lignes de son corps ?taient proportionn?es, les mouvements ?taient polis et charmants, la rondeur mate de ses ?paules et de ses hanches ?tait soulign?e par ses longs cheveux noirs et la beaut? de son visage correspondait ? la forme parfaite d’un petit sein. Quand la danse fut finie, Alexander invita le getter ? s’asseoir sur son lit. Demad se mit ? sourire, estimant qu’il ?tait satisfait du prince. “Quel est ton nom, ch?rie?” Demanda le jeune homme avec int?r?t. “Tais, hetera”, la beaut? a r?pondu sans un soup?on de retenue et tente de se cacher ou de s’?loigner. “Ton art est beau, tu es parfait”, il la regardait avec un plaisir ?vident, il lui avait parl?, mais il n’avait pas essay? de la toucher, ce qui avait surpris les Ath?niens, il ?tait visiblement d?concert? et avait l’air incompr?hensible. Alexander sentit l’odeur chaleureuse et florale du corps ? c?t? de lui, ce qui lui plaisait, et sentit la bourse ? sa ceinture, puis sortit une poign?e de Darik et la pla?a dans la paume de la jeune fille, la couvrant de la main avec la sienne. – Ceci est pour vous, une beaut? semblable aux Harits. Je voudrais venir ? vous, dit le jeune connaisseur de la beaut?. “Viens, tu trouveras la maison des Tha?s”, r?pondit-elle avec ferveur. – Pas seulement moi, mais des amis vont venir. – Ensuite, il y aura une bonne soci?t?, j’inviterai des artistes, des po?tes, des philosophes. Mais je voudrais te voir seul”, dit Thai, l?g?rement courb?e, elle sourit sournoisement et devint encore plus belle,” pour parler de m?decine”. Tout le monde ne pouvait pas supporter ?a et riait, et Alexander, qui regardait ses amis avec incompr?hension, se mit ? rire lui-m?me, et Tais, se baissant, le serra dans ses bras et l’embrassa sur les l?vres, le prince ne s’?loigna pas et la danseuse se leva et sortit du jardin.“Nearh”, dit Ptol?my dans un murmure, “demain, il me faudra un bordel.” Oui, et d’autres aussi. Le soleil ?tait d?j? couch? et les ?toiles allum?es, il est devenu plus frais et beaucoup plus agr?able, le jardin d?gageait des odeurs de fleurs en soir?e, et Alexander a applaudi, dans une ville ?trange o? il ne se sentait pas tr?s bien, mais ? pr?sent, Ath?nes ne l’?crase pas avec sa grandeur et sa beaut?. Ils ont bu un peu plus de vin et se sont remis au repos, le majordome a s?par? les chambres des invit?s. J’ai dormi dans le nouvel endroit, et les ?ters se sont lev?s t?t, ont apport? de l’eau de lessive et ont mang? rapidement. Il y avait d?j? le repas habituel de g?teaux, de fromage et de vin dilu?. – Vous nous escortez, Demad? – a demand? au prince, – Inspectez l’Acropole, et Alexander a soigneusement regard? ses amis, et ils ont parl? de quelque chose avec les serviteurs de Demad. “Alexander”, comme le dit le haut Garpal, “vous savez, il s’av?re que les tombes des anc?tres sont ici, et nous aimerions les voir.” Narchus, viendras-tu avec nous? – il a regard? le Cr?tois, clignant de l’?il imperceptiblement, – D’o? je viens? – il a ?t? surpris de fumer – moi, de Cr?te, j’ai longtemps r?v? du Parth?non, et c’est un honneur pour moi d’explorer l’Acropole avec Alexandre et Hephaestion. Cependant, Hephaestion, est ?galement all? voir les merveilles d’Ath?nes, tandis que les autres Eters ont disparu sans ?tre remarqu?s. Avec le prince, deux serviteurs accompagn?s de boissons et les visiteurs d’antiquit?s travers?rent plusieurs ?tapes et commenc?rent ? gravir les Propyl?es, regardant vers le haut le rocher de l’Acropole, les toits de cuivre apparents des temples. ? la droite de Propiley se trouvait le temple de Niki Apteros, mais Alexandre jugeait inappropri? de visiter cet endroit. Les marches de marbre blanc en marbre et le toit sont ?galement en marbre pentilikon et d?cor?s de statues de cavaliers. Apr?s avoir travers? les r?pes, ils ont vu ? l’entr?e du lieu sacr?, comme les gardiens de la statue d’Herm?s et de la statue de Harit. Ici, les visiteurs ont ?t? accueillis par un pr?tre et une pr?tresse du clan Kekrop, Butatida. – Bonjour Alexandre, bonjour ? toi, Hephaestion, – le pr?tre s’est tourn? vers lui – Et tu es Nearh, – apr?s avoir regard? ses v?tements et vu une bague au doigt, – bonjour ? vous, il fume. Aucun d’entre vous n’est ici depuis Epiminidus. – Bonjour Alexandre, Hephaestion et Nearh, – la pr?tresse leur a adress? la parole, – Je m’appelle Callia et le pr?tre est Callia. Je suis sa fille et nous vous emmenons le long de l’Acropole. A droite de l’entr?e se trouve le temple d’Art?mis Bravronia, un petit mais magnifique temple avec la statue d’Art?mis de Praxitel et surtout Noarh l’?tudia avec attention, le visage de la d?esse fut ex?cut? de fa?on tr?s int?ressante par l’artiste, puis Kallia les conduisit ? Pinakothek. Hephaestion marchait r?guli?rement avec Alexander, et il ?tait ?galement tr?s int?ress?. – C’est un d?p?t de photos rares d’Ath?nes, allons-y, tu verras de belles images de Polygnot, elle les a convaincues. Ils sont entr?s et ont vu “Le gar?on portant le pichet d’eau” et “Le lutteur”, la photo de Thimenet, ainsi que d’autres peintures repr?sentant Achille, Ulysse et d’autres h?ros de l’Antiquit?, d?peintes avec un talent incroyable pour la peinture ? la cire sur du bois appr?t?. Ils ont ensuite examin? la statue gigantesque d’Ath?na Promakhos (guerriers), l’?uvre de Phidias, dont les marins voient les fers de lance, et le bouclier et le casque en or brillants au soleil, le visage de la d?esse est magnifique et imperturbable. Callia et Callius les conduisirent au majestueux Parth?non, dont la frise orne l’image de la naissance d’Ath?nes, comme un produit de Zeus et huit colonnes accueillent les visiteurs avec une puissance et une beaut? in?branlables. Les serviteurs rest?rent dehors et quatre d’entre eux entr?rent dans le temple. Callia montra aux visiteurs une statue du h?ros Iphicrat, dont l’image ?tait install?e dans le temple, ?clair?e par des lampes de bronze, la statue de la d?esse elle-m?me, en or et en ivoire, est magnifique et ?tonnante, la d?esse est sculpt?e dans un casque. long chiton aux orteils, une lance ? la main. Ici Alexandre a apport? la d?esse sacrifice sans effusion de sang, et au verso, ils examin?rent la statue de cuivre d’Apollon et la frise du temple, illustrant le conflit opposant Ath?nes ? Pos?idon. Alexandre commen?a ? se comporter ?trangement pr?s de l’autel d’Ath?nes et de la pierre de Dionysos, il caressa longtemps la pierre, murmura quelque chose et Notarh entendit seulement: “La deuxi?me fois que j’?tais ici, comment tout a chang? …", le Cr?tois n’a pas compris ce que le prince disait, il n’avait jamais visit? l’Acropole auparavant. Callius conduisit les Mac?doniens ? l’Erechtheion, au temple-palais, ? l’?nigme du temple. Nearh anticipa la vue sur la raret? d’Ath?nes. “Regardez,” la pr?tresse attira l’attention, “Ceci est l’autel de Zeus le Tr?s-Haut”, elle a soulign? avec sa main, et le prince a d?pos? des fleurs sur l’autel, “L’?rechth?ion ressemble ? un palais de Pella”, dit Neuarch dans un murmure, L’entr?e du temple ?tait d?cor?e d’images sculpt?es de vierges – Kor, soutenant de la t?te le fronton de ce bel ?difice. “Donc, il y a aussi des choses cach?es ici dans le sous-sol”, dit le prince dans un murmure, – Et ceci, fit-elle solennellement, des images des exploits des pr?tres, des rois des Butadids, descendants de Kekrop. Tous les principaux pr?tres et pr?tresses d’Ath?nes de notre esp?ce. Viennent ensuite le lieu secret d’Ath?na et le lieu secret de Pos?idon. Seuls les pr?tres peuvent les voir, mais vous ?tes tous les deux d?vou?s, vous fumez Nearh et vous ?tes Alexandre de la famille royale, comme nous. Et elle les conduisit ? l’int?rieur du sanctuaire de l’Erechth?ion, o? la myst?rieuse brume recouvrait la salle secr?te d’Ath?na, o? la procession commen?ait pendant le scyrophorion, fabriquant la taxe d’Ath?na Pallas, ils travers?rent le cr?puscule, ?clair? seulement par des lampes ? huile, et atteignirent finalement le clo?tre d’Ath?nes-Pallas, illumin? par celui-ci. Alexandre et Nearh regardaient ce miracle sans cesse avec la lampe du plus grand Kallimaque, en or, jusqu’? ce que Callia les conduise ? l’ext?rieur, d?signant le puits d’eau sal?e ferm? du temple, qui menait au monast?re de Pers?phone et ? ses lieux Il ?clot une cave secr?te, o? il se cachait de toute la crypte, o? selon la l?gende a v?cu Erichthonius d’Ath?nes – Serpent, p?re des Ath?niens et le genre de pr?tres Butadidov. A proximit? se trouvait le palais de Pos?idon. Nearh a regard? et rappel?, montr? par Elicia, et tout est venu ensemble – la source sacr?e menant au monast?re d’Elicia, le repaire du serpent – Kronos, et quelque chose d’autre… – ?coutez, madame, y a-t-il un arbre sacr? sur l’Acropole? La pr?tresse a demand?. – Par chance, vous n’avez pas enseign? aux grands Epiminides, est-ce qu’il fume? Demanda Kallia dans un demi-murmure, ses yeux s’?carquill?rent et une ombre de frayeur apparut sur son visage. L’olive sacr?e d’Ath?na grandit pr?s de l’autel ath?nien. Et souvenez-vous des serments que vous avez donn?s, mais la Dame ne pardonnera pas. Ils ont ?galement examin? le sanctuaire de Zeus Polyei et les pr?tres les ont conduits de l’Acropole. Ils ont retourn? la Propyl?e et ont tourn? ? gauche pour visiter Eleusinian, le sanctuaire associ? au culte de Pers?phone. Eleusis apportait une fois par an le myst?rieux chargement ? Eleusinian. Kallia les conduisit au temple et leur montra une statue d’Artemis Levkofrina (sourcils blancs). Nearh ne pouvait la quitter des yeux. L’image de cette silhouette lui rappelait quelque chose de d?j? vu. “Allez, Nearh, sinon la d?esse te volera comme un pha?ton” rigola Alexander. “Elle t’aurait aim?,” et Callia lui lan?a un regard. “Si tu es marqu?e, tu es la sienne”, dit-elle dans un murmure, de sorte qu’elle ne l’entende que et qu’il se souvienne de la marque sur son ?paule, et elle s’en foutra. “Merci, madame”, Nearh s’inclina devant elle. Ses jambes devinrent mouill?es et pens?rent qu’il serait peut-?tre chanceux. “Merci, Kallia et vous, Kall”, dit Alexander avec fiert? et confiance. “Acceptez un cadeau de ma part pour un bon souvenir”, et il prit les bols en argent fin des serviteurs et les tendit aux Butadids. “Que les b?n?dictions des dieux soient avec vous”, ont dit p?re et p?re ? des amis et leur ont dit au revoir, les Mac?doniens sont all?s ? la maison de Demad et les Butadids ont escalad? l’Acropole. Les trois Mac?doniens, se rendant ? la maison de Demad, ont discut? de ce qu’ils ont vu et tous ont convenu que l’Acropole ath?nienne est quelque chose d’extraordinaire et d’inoubliable. C'?tait d?j? le cr?puscule, et l’archonte les a invit?s ? d?ner, c’?tait aussi un repas habituel, mais copieux, pain, poisson, vin. Les amis ont mang? et se sont pr?par?s ? aller au lit. Et c’est juste que les Eters sont venus avec Ptol?m?e ? la t?te. – Comment as-tu trouv? l’Acropole ath?nienne, Nearh? Est int?ressant – demanda son garde du corps au prince.“Beaucoup d’?tonnant, en particulier l’incendie de Callimaque, qui est inextinguible”, a r?pondu le fumeur, – comment ?a va Toute l’ann?e br?le et ne s’?teint pas? Est int?ressant. Eh bien, nous ne pouvons penser ? rien apr?s les danses de Tais, nous sommes all?s chercher nos petites amies. “D’accord, je dors, Ptol?m?e,” dit Nearh en b?illant, et il alla dans sa chambre, mais il ne put s’endormir tout de suite, se souvint des paroles de Callia, mais heureusement, elle se prit de fatigue. Le soleil se leva de nouveau au-dessus de la belle Ath?nes et les rayons du soleil tomb?rent sur les maisons et les rues. La statue d’Afia Promachos resplendit de nouveau ? la lumi?re d’H?lios. Tous se sont lev?s et ont mang?, et se sont r?unis dans le gymnase, alors que le serviteur est venu avec une lettre de Tha?landais pour Alexander. Le prince a cass? la cire sur le rouleau de papyrus et a lu l’?criture. – Qu’y a-t-il, Alexander? Demanda Hephaestion avec impatience. – La belle Tha?landaise m’invite ? lui rendre visite, – r?pondit le jeune homme avec un sourire constant, – J’irai, bien s?r, tu ne peux pas refuser une belle fille, “Prends la garde avec toi”, demanda Ptol?m?e. “C’est indigne de ne pas faire confiance ? une femme aussi charmante, non, ma Ptol?m?e bienveillante”, a-t-il d?clar? avec ferveur. – Je vais y aller seul. Et, rev?tant un vaste manteau sur le chiton et un chapeau de feutre mac?donien, attachant le poignard ? la ceinture, alla rendre visite, accompagn?e du serviteur Thais. Les hommes attendaient le prince avec impatience jour et nuit, et Alexandre ne vint que le matin. “Oh, finalement, Alexander”, cria Hephaestion. – Tu es de retour! “Oui, les Tha?landais sont uniques, beaux, comme une rose”, dit le prince r?veusement, “Elle vous invite tous ? la soir?e, il y aura des philosophes, des po?tes et des artistes.” Je lui ai donn? de l’argent pour tout ?a, ne t’inqui?te pas. Des amis ont lav? et nettoy? toute la matin?e et Demad a toujours souri en les regardant. – Les jeunes, les jeunes.. Bien s?r, ce n’est pas Phryne ou Aspasia, mais la soci?t? va ?tre int?ressante, – l’arche gloussa, – Allez, ce sera inoubliable. Tous sont sortis lav?s, peign?s, v?tus du mieux, accompagn?s d’?cuyer. Alexandre lui-m?me dirigeait la suite, et son page portait un paquet et un sac de cadeaux pour h?t?ro, la route ne prenait pas beaucoup de temps, le vieil esclave qui les attendait leur ouvrit la porte, comme ailleurs, comme si les serviteurs ?taient emmen?s ? l’humain, le symposium ?tait dans le jardin o? ils se rencontraient belle ma?tresse. Neuf invit?s se sont rendus dans le jardin o? l’attendaient douze belles fl?tistes, petites amies et amis de l’h?tesse, afin que personne ne soit oubli?. Ils se sont assis et ont attendu les mac?doniens Onesekrit et le c?l?bre Lysippe et le po?te Linkei, c?l?bre pour avoir suivi les id?aux d’Arhestrat, c?l?bre pour sa “Vie douce””. Les servantes ont commenc? ? apporter de la nourriture sur les tables et la charmante h?tesse a pr?sent? les invit?s. “C’est le sculpteur Lysippe”, a pr?sent? Thais, “C’est le disciple de Diog?ne On?sikrit”, auquel l’autre inclina la t?te, “Et c’est le disciple passionn? d’Archestrata, le po?te Linkay de Samosa, le grand Hom?re du poisson, le vin Arktin et l’H?siode d’autres collations. “Mais contrairement ? Arhestrata, je d?die mon ?l?gie au thon, pas au requin, et bien s?r, l’esturgeon s’est moqu? du samoc. – Et voici Alexandre, le fils de Philippe, et avec lui ses amis – Hephaestion, Ptol?m?e, Filota, Cassandre, Garpal, Eum?ne, Nearh et Leonnat. Elle conduisit les invit?s vers les cartons, posa la chaise haute ? c?t? d’Alexander, belle, v?tue de sa plus belle robe de soie, ouvrant le cou et les mains, orn?e d’un collier en or et de belles boucles d’oreilles, frappant soudainement ses mains. “Pour rendre cet endroit agr?able, il a besoin d’une musique charmante”, dit-elle avec expression. Dans un jardin rempli d’invit?s, douze belles nymphes entr?rent dans le jardin, v?tues de robes jusqu’aux genoux et de fl?tes, et les entour?rent en choisissant asseyez-vous et chacun a choisi l’interlocuteur ? votre go?t. Hephaestiona a choisi un charme aux cheveux noirs miniature, Nano, Ptolemy a commenc? ? servir du vin de Bittid, Agriopa s’est assis ? Harpalo, Leonty a mis des friandises ? Philote, a servi de Les charmes de Laida, et Clay est devenu une source d’inspiration et un mod?le pour Lysippos, Philia est devenue un mod?le de vertu de traite de Onesikrita, et la ma?tresse de la maison est devenue Alexander. “Buvons ? la belle h?tesse de la maison”, a proclam? le prince, soutenu par les invit?s qui jetaient un peu de vin pour les dieux, et les Tha?landais ont ?galement bu du vin dans sa tasse, sans se d?tourner des beaux yeux d’Alexandre, qui en ?tait parfaitement heureux. les gens qui l’aiment. Il a mis une gerbe de fleurs et, en caressant l?g?rement ses cheveux, il a l?g?rement touch? sa joue avec ses l?vres. “De belles vacances, de belles personnes, Thais”, et l’embrassa ? nouveau, et elle sourit joyeusement. – Alexander, je voudrais cr?er votre statue, ou au moins un buste, – dit Lysippos “Seulement cela peut, pas maintenant, Lysippe,” dit Linkey avec un rire, deux autres bols, et Alexander peut faire une beaut? comme Socrate (c’?tait moche), Tout le monde riait, le prince riait de la m?me mani?re et Thais caressait ses boucles blondes. Eoya a gazouill? quelque chose ? propos de la m?t?o ? Noarh et, pour ne pas ignorer l’ignorance, a ?galement mis un morceau de pain de requin dans son assiette et a vers? du vin dans un pichet, une tendresse de plus en plus p?n?trante pour cette belle fille. Le visage de cet h?t?ro ?tait ?galement beau, avec un nez retrouss?, de grandes l?vres et un visage couvert de taches de rousseur. Elle ?tait ?galement tr?s bien form?e, son chiton ?tait peut-?tre trop transparent et ne cachait rien, mais les huiles parfum?es ?taient agr?ables et la soci?t? lui ravissait. En regardant autour de lui, ses amis s’entendaient bien avec leurs amies. – Le r?gal est g?nial! – Lynkey a parl? fort, merci d’avoir fait appel ? un tel repas exquis. La gastronomie est excellente. Apr?s nous avoir offert de p?cher de la M?otida, vous nous avez r?v?l? le secret d’Achille. Il lui devait donc sa force, Iphigenia pour sa gentillesse et Gell pour sa beaut?. “Et pourquoi, Linkay”, s’est exclam? tout le monde. “Je vais chanter une ode ? l’esturgeon”, se levant du lit et soutenu par Laida, qui, en raison de son z?le ? garder sa compagne, le chiton tomba de son ?paule droite, r?v?lant une jolie silhouette f?minine, mais apr?s plusieurs coupes d’excellent vin, le po?te essayait toujours de lire: “Ode ? l’esturgeon Seulement dans les profondeurs septentrionales, flottant, ?norme Semblable ? un cheval de mer et presque aussi gros qu’un dauphin Dionysos Mais le go?t de la viande est tellement agr?able Et si Dieu l’avait go?t?, il aurait oubli? sa ch?re Nisa.” Lorsque le po?te a termin? son travail cyclique, la r?ponse a ?t? sous les applaudissements orageux des invit?s et Laida l’a embrass? doucement, et Thais lui a pr?sent? une couronne, en tant que narrateur victorieux. La soir?e a ?t? excellente, mais Lysippe n’a pas pu r?sister et a suppli? un tha?landais de papyrus. Avec un crayon ? mine, il a dessin? des croquis pour le buste d’Alexandre. Le prince lui a demand? de faire un buste et de Tha?landais, mais elle a rougi de plaisir. Nearhs ne faisait plus attention aux autres, il ?tait compl?tement distrait par Eoya, il ne faisait que constater ? quel point le g?ant Hephaestion Nano ?tait ravi. Le soleil commen?ait d?j? ? se coucher, il faisait beaucoup plus frais et des amis ont d?cid? qu’il valait mieux quitter Alexandre et les Tha?landais et ils ont commenc? ? partir avec leurs amis qui se sont mis ? l’abri de leurs manteaux, se cachant du froid du soir. Kuret a vu le charmeur tra?ner ses admirateurs ? travers les rues ?troites d’Ath?nes sous les toits de leurs maisons. Il a ?galement ?t? amen? ? voir la beaut? de la ville par une petite amie, qui lui avait ?t? offerte par la volont? du destin, ou plut?t par les affaires de Tais et Alexander. Nearh se r?veilla dans un joli petit jardin d’une petite maison, renifla ? c?t? de lui, pla?ant sa main sous la t?te d’Eoya, belle dans sa nudit?, et tenta de se couvrir d’une couverture tombante en r?ve, et ouvrit aussi les yeux et l’attira imm?diatement vers elle, le ramenant temporairement ? la maison. Mais bient?t, Nearhs commen?a ? aspirer et, apr?s avoir embrass? la fille au revoir, il laissa le portefeuille avec les darians. Il sortit de la maison, accompagn? d’une nouvelle connaissance, et ? la porte, Teres, qui l’attendait ? minuit, ?tait triste et froid.“Bonjour, ma?tre,” souffla l’?cuyer ? moiti? endormi, “Pas le propri?taire, mais Nearh, combien de choses ? vous dire”, le corrigea en fumant: “Allons ? Demad. ? la maison de l’archonte, les Eters avec leurs serviteurs commenc?rent lentement ? se rassembler, et ils commenc?rent ? se rassembler, il ?tait temps de quitter Ath?nes hospitali?re. ? midi, la suite s’assembla compl?tement et le cheval commen?a ? ?tre avanc? jusqu’aux portes de la ville, dirig? par Demad. ? la porte, ils ont chaleureusement dit au revoir et ont rapidement galop? vers le camp du limon ?questre pour rentrer ensemble, puis la nouvelle est venue que Philippe Argeada a reconnu la Gr?ce comme un h?g?mon ? Corinthe. et Myc?nes, ainsi que l’ancienne haine d’Argos contre Th?bes depuis la campagne des “Sept contre Th?bes”. Et ? ce sujet, l’union des Grecs va entrer en guerre avec la Perse, ce qui lib?rerait les Hell?nes d’Asie Mineure. De la m?me mani?re, Alexander et sa suite se sont install?s ? Pella et sont rest?s dans la capitale pour attendre Philip. La gloire d’Alexandre, en tant que futur roi, ?tait indiscutable parmi les guerriers et, quittant la patrie ancestrale, le prince entendit les b?n?dictions des guerriers et de leurs femmes, qu’il gu?rit de ses blessures. Un jour, Alexandre est sorti de sa chambre et a rencontr? sa m?re. – Bonjour, mon fils. Je veux te parler, dit-elle, allons dans ta chambre, Et ils entr?rent dans sa chambre et Alexandre se tendit, anticipant ? nouveau une conversation difficile. “?coute”, dit la m?re assise en face de lui, “tu devrais te marier”, elle le regarda avec un sourire et un amour, comme un petit, “Pour maintenir le pouvoir, et les Mac?doniens virent que tu es le v?ritable h?ritier du royaume, ?pouse une fille de bonne famille, donne naissance ? mon petit-fils. Et ensuite, combattez-vous autant que vous le souhaitez, sinon votre p?re a d?cid? de se remarier, la fille d’Attal, Cl?op?tre. Et s’ils ont un fils, vous serez en danger. Ou br?lez-vous pour l’amour d’une fille d’Ath?nes? – Elle sourit avec ironie. – Et qu’est-ce qu’elle a ? voir avec ?a? – le jeune homme a imm?diatement commenc? ? se d?fendre, – Avec quoi vous a-t-il g?n?, et a-t-il tout de suite pens? que sa m?re ne pourrait pas ?tre tu?e si simplement, – Elle est juste h?t?ra. “Bien”, la m?re se calma imm?diatement, “mais vous devez vous marier, la mari?e, la Mac?donienne, je vais vous chercher, vous voulez m?me de Linkestids.” Elle regarda et attendit, et il sut qu’il pourrait sortir de cette conversation en ne lui montrant que comment elle l’aimait, et il se souvint de ce qu’il fallait faire. “Maman, je t’ai apport? un cadeau”, dit-il en partant, et se souvenant de la soie achet?e ? Ath?nes, il monta dans la poitrine, sortit un paquet et le montra ? sa m?re. “C’est pour toi” murmura-t-il en retirant le cadeau. Ma m?re ?tait tr?s contente et embrassa son fils chaleureusement. Ce fils, pr?tendant qu’il ?tait tr?s occup?, partit ? la h?te. En Mac?doine, les pr?paratifs d’une guerre ? grande ?chelle ?taient en cours: des armes ont ?t? r?colt?es, notamment des fl?ches pour les tireurs cr?tois, des stocks d’?p?es et de lances pour les soldats ordinaires, des armures forg?es, des torpeurs cousus, des casques forg?s. Il ?tait n?cessaire d’avoir beaucoup de choses n?cessaires pour la guerre et ils ont am?nag? des entrep?ts et de la nourriture ? Amphipolis, y compris du grain stock? pendant trois ans. Et puis, Philip ne trompa pas les attentes des Jeux olympiques: il allait conclure une alliance matrimoniale avec Cl?op?tre, fille d’Attale. La fille ?tait belle, elle a donc facilement conquis le c?ur d’un amoureux d?vou? de la beaut? f?minine. Avant le mariage, Alexander et ses amis essayaient de ne pas aller au palais, cherchant une vari?t? de choses pour lui-m?me, juste pour ne pas ?couter les lamentations de sa m?re bien-aim?e. Le jour du mariage arriva bient?t et, bien s?r, le prince dut assister au mariage. Il n’a pas voulu pousser au temple, alors lui et ses amis invit?s ont attendu dans la salle o? ils ont ?t? servis des rafra?chissements, les loges ont ?t? s?par?es, le plafond et les murs ont ?t? d?cor?s de guirlandes de fleurs. Alors les nouveaux mari?s sont venus, et apr?s eux Attal et son parents, ainsi que tous les g?n?raux de Philip. Alexander a malheureusement rappel? le symposium de Thais, o? il se sentait heureux et o? l’attendait seulement la souffrance. Il a ensuite attendu les lamentations mortes de la m?re, qu’il ne pouvait pas adoucir. “Tu vois, dit Hephaestion, tout n’est pas si mauvais. Les honn?tes gens se sont rassembl?s, ils ont servi une excellente nourriture, et il a pos? le prince avec la viande d’un chevreau au lait. Alexander a essay?, et son humeur a commenc? ? s’am?liorer progressivement. Ensuite, ils ont go?t? un li?vre empaill?, un agneau aux ?pices, alors le cuisinier ?tait tout simplement g?nial et il aurait fait honneur aux Corinthiens. Le prince a d?j? regard? la c?l?bration avec des yeux diff?rents et, bien s?r, il a compris son p?re, mais il aimait sa m?re. Ils ont bu de bons vins de Rhodes et de Cr?te. Puis les serviteurs apport?rent des friandises persanes, et les jeunes hommes devinrent plut?t joyeux et arr?t?rent de penser au mauvais. Son ami Hephaestion ?tait ? proximit?, ce qui lui facilitait grandement la t?che. Alors le festin continua, le prince entendit des exclamations pour la sant?, il le dit lui-m?me, imm?diatement oubli? et, buvant dans l’oubli, sirota le vin dans la coupe en parlant ? Ath?nes de la part d’Hephaestion. Soudain, comme dans un r?ve, il entendit le pain grill? d’Attal: “J’esp?re que ce mariage apportera ? la Mac?doine un v?ritable h?ritier”, a d?clar? Attal d’une voix tremblante. – Tais-toi, – il fut imm?diatement interrompu par Philip qui sauta du lit. Alexander, entendant les mots de l’oncle de la mari?e, a litt?ralement martel? son cerveau. – Et je suis quoi, ill?gal, quoi? avec ces mots, il sursauta et jeta une coupe d’argent ? Attale. Philip, qui s’est pr?cipit? vers son fils, soit pour s?parer la querelle, soit pour faire sortir son fils du hall, a tr?buch? avec une jambe bless?e et est tomb?, Alexander s’est pr?cipit? hors du hall et Hephaestion a couru apr?s lui. “H?phaestion, pr?parez des chevaux et une charrette pour la m?re, et appelez ?galement tous mes amis avec les ?cuyers”, a imm?diatement demand? le prince ? son ami, et il s’est imm?diatement pr?cipit? pour faire le n?cessaire. Alexander se pr?cipita dans la chambre de sa m?re et s’aper?ut qu’elle, avec ses serviteurs, collectionnait d?j? des objets de valeur. “Maman, nous partons”, dit-il ? sa m?re. – oui J’ai entendu le fils, allons en ?pire. (pour une raison quelconque, le jeune homme n’?tait pas du tout surpris) Tout ira mieux, je t’aime aussi, – dit-elle avec un sourire, enveloppant son ch?le, pr?sent? par son fils. Ils descendirent et la charrette ?tait d?j? attel?e. Le serviteur ?tait assis sur le tr?teau. Les hommes arm?s attendaient Hephaestion avec un ?cuyer et montaient de tous les c?t?s de la ville vers tous ses amis. Garpal, Nearh, Erygius et Ptol?m?e avec leur ?cuyer, d?tachement de trente personnes, et ils se dirig?rent pr?cipitamment vers les portes de la voiture de l’Olympiade, o? les gardes, voyant Alexadra, rel?ch?rent facilement les fugitifs, et ils se dirig?rent vers l’ouest, en passant par les all?es de l’?pire. D?j? au cr?puscule, ils ont d?m?nag? toute la nuit, craignant la poursuite. Un mois plus tard, ils sont arriv?s ? ?pire, si?ge des Jeux olympiques. Le roi d’?pire lui-m?me, Alexandre ?galement, a rencontr? le cort?ge aux portes du palais. “Bonjour, ma soeur”, dit-il en ouvrant un c?lin fraternel, en l’embrassant et en recevant un baiser de sa soeur. – Je suis content pour toi, mais pas heureux des circonstances qui t’ont amen? ? moi, mais vis ici comme tu veux. Olympiade, vous aviez d?j? re?u une pension alimentaire de trois villages avant le mariage et vous allez la recevoir maintenant. Bien que le visage de la m?re d’Alexandre soit devenu rose, il ?tait ?vident que l’alimentation ?tait tr?s impressionnante. “Mais s’ils nous attaquent, j’aimerais qu’Alexandre dirige l’arm?e d’?pire”, a d?clar? le roi d’?pire. – Je suis d’accord avec gratitude – le jeune homme a r?pondu avec joie. “Eh bien, vous vivrez dans mon palais”, a conclu Alexander Epirsky. La suite et les ?cuyers s’install?rent ? c?t? du palais royal, dans plusieurs maisons que le prince avait achet?es. C'?tait int?ressant dans la nouvelle ville et ils ont commenc? ? explorer des lieux inconnus. Dans la maison municipale d’Archon Demarat, o? la discorde de la dynastie Argead est arriv?e, les passions se sont d?cha?n?es, car les membres du conseil de Corinthe se sont r?unis ici, et ils sont venus ici pour que les oreilles des autres n’entendent pas trop. Dans le jardin de la maison, une modeste g?terie se tenait ? c?t? des chaises des archons, et le chef des archontes ?coutait les plaintes d’autres membres du Conseil. “?coutez, Demarat”, a d?clar? Archaea, “Phillip nous a promis une paix sans guerre en Hellas, des routes sans voleurs, des mers sans pirates, un commerce florissant, mais il a sem? la discorde dans la famille et maintenant une querelle a ?clat? et l’Union Hell?nique s’est effondr?e.“Zeus est un t?moin, nous avons beaucoup fait pour lui, nous sommes d’accord avec le repas, nous lui avons trouv? de l’argent pour qu’il fasse sortir toute la populace du Peloponess dans la campagne perse et, sans lui, le plan de la campagne s’effondrerait comme un mur de Troie. DeMarat fit une mine triste et feignit d’?couter attentivement. Il pensait d?j? ? la situation, mais il a d? envoyer une lettre ? Philip de la part des archontes prudents lui demandant de se joindre au groupe afin de tuer tout un troupeau de li?vres – flatter le roi de Mac?doine, car de fait, il ?tait reconnu comme le souverain du P?loponn?se, Alexandre est consid?r? comme son h?ritier. Hellas ?galement, et le fait qu’ils partagent le m?me besoin de guerre avec la Perse, et qu’ils doivent obtenir de l’argent pour influencer Perdiccas, Parmenion et Antipater. “Demarat, nous sommes pr?ts ? faire un don d’argent pour cr?er cette entreprise”, a d?clar? Nikostrat, l’un des plus riches archontes de Corinthe. Avec ces mots, un masque d’indiff?rence tomba du visage de Prokpen Philip. “Pardonnez-moi, mes amis”, finit-il par parler, comme d?sesp?r?, tenant sa t?te de la main gauche. “Mais il faudra au moins dix talents d’or.” Il est n?cessaire de convaincre les commandants dignes de l’importance de notre entreprise. Nos pens?es sont alors nettes et dignes. – Nous sommes d’accord, c’est moins cher que la cha?ne de guerres infernales qui plongera Corinthe dans les profondeurs du Tartare. – r?pondit l’infortun? Nikostrat, un vrai patriote de Corinthe. “Et nous allons ?crire une lettre au nom du Conseil de Corinthe, car nous nous inqui?tons tous de la famille Argead”, insista Archaea avec un sourire. “Et au fait, la dynastie Argead d’Argos, ils sont danois et ils s’en souviennent. Rappelez-vous, Aminta a re?u de pauvres Mykeneans, expuls?s par les Argoses”, a ajout? DeMarat, – et de nombreuses personnes de familles nobles de Mac?doine sont des descendants de r?fugi?s myc?niens. Mais Philippe n’?tait pas cruel et n’exigeait pas la restauration de Miken, ? l’instar de Plateia et d’Orchomen, il ne prit pas la terre des Argostas. – Nous avons d?cid? que la proph?tie des Pythias ?tait accomplie, que mille ans passaient et que le d?cret d’Apollon se produisait et qu’Argos pourrait rendre les terres des Myk?nes. – d’accord avec lui, Arch?en, “Et nous nous souvenons que les Mac?doniens ne nous sont pas ?trangers, et maintenant, Philip fait beaucoup pour la paix en Hellas”, a d?clar? Nicotrat, “Et les Ath?niens s’immiscent dans les affaires des autres par droit de parent?.” Tout le monde sait que les ?patrides d’Ath?nes sont les descendants des Mess?niens, tous les Codrides sont des Mess?niens, y compris le c?l?bre Platon. Par cons?quent, les Ath?niens soutiennent toujours les Mess?niens dans toutes les guerres. Demarat alla chercher le parchemin et saisit les accessoires d’?criture. A ouvert le bureau, a s?curis? le drap et a regard? Archean avec espoir. “Parlons du texte, je suppose,” il leva la main avec un roseau pour ?crire, – Peut-?tre commen?ons-nous par l’appel du “roi Philippe”, Les marchands et les trap?zes de Corinthe, sages de vie, qui sont les plus dignes de l’archonte, ont finalement ?crit une lettre au roi de Mac?doine et l’ont scell?e de leurs propres sceaux. “Au roi de Mac?doine, le brave et juste Philippe, Des dignes membres du conseil municipal de Corinthe, bonjour. Nous sommes pr?occup?s par la discorde dans votre famille et nous nous souvenons de que maintenant vous ?tes H?g?mon de Hellas, et le chef des troupes en la guerre contre la Perse, nous offrons notre m?diation entre vous et votre fils, h?ritier du royaume de Mac?doine Alexander dans la r?conciliation, et bien que, bien s?r, tort plus jeune et impatient Argead, mais nous vous demandons instamment de r?concili? avec lui, sinon enterrera toutes nos intentions communes. Sign? par Nicostrathus Archon, Archaean Archon et Demrat archon avec des phoques attach?s.” “Pr?parez-vous, mon ami”, ont d?clar? Nikostrat et Archeus en choeur, ? partir duquel DeMarat a presque saut?. – Peut-?tre trouverons-nous quelqu’un d’autre? – Demarat, avec espoir, “C’est mieux de ne pas vous retrouver”, dit Archaeus avec une grimace diabolique. “Dans une heure, vous aurez de l’argent, pr?parez-vous et nous enverrons la s?curit?, comme le chariot. Les archontes sortirent rapidement et Demarat murmura: “Mon tour et d?truis-moi.” Demarat se rassembla rapidement, appela ses deux serviteurs et lui ordonna de se r?unir pour un long voyage en Mac?doine. Exactement une heure plus tard, les envoy?s du Conseil sont arriv?s avec le montant convenu pr?c?demment et Demarat est parti. Un mois plus tard, DeMarat est arriv? ? Pella et est venu au palais et a demand? ? rencontrer le roi. Bient?t, il a ?t? invit? comme proxeno d’un roi dans une petite salle. Demarata a ?t? emmen?e par les gardes du corps du roi dans la salle o? Philip a soigneusement ?tudi? une carte de la Gr?ce. “Bonjour, Philippe,” je suis venu te rendre visite”, commen?a le Corinthien de loin, Le roi regarda pensivement un ami, vit qu’il tenait quelque chose dans ses mains, mais ne le montra pas et commen?a ? sourire, anticipant une conversation int?ressante. “Je suis heureux de vous voir Demarat”, dit Philip, et appela le serviteur, “Culpabilit? ? l’invit?”, ordonna-t-il, et d’un geste, il fit signe ? Demarath de s’asseoir sur la chaise ? c?t? de lui. “J’ai entendu dire que des ennuis vous avaient submerg? et, afin de ne pas jouer les uns avec les autres, je vous ai donn? une lettre du concile de Corinthe”, a poursuivi Demarat en tendant un tube avec une lettre. Le visage de Philip changea d’irrit? en ravi pendant quelques secondes lorsqu’il lut la lettre de haut en bas, puis la dissimula, la pliant soigneusement dans un tube. “G?nial, mon ami, aussi loin que Philip puisse ?tre affectueux, a parl?, le roi a presque chant? ? Demarath, je pourrais vous confier la fourniture de troupes, votre aide est inestimable. Montrez que les Corinthiens nous reconnaissent, moi et le fils des dirigeants de l’Union hell?nique, ne voulons pas de guerres en Hellas? Tu ne pouvais pas me faire le meilleur cadeau. J’essaie tellement de faire la paix avec mon fils par le biais de Filota et de Cassandra, mais maintenant, peut-?tre que vous pouvez m’aider? Vous irez en tant qu’ambassadeur et vous exprimerez, mais en mots, l’int?r?t de la P?loponn?se pour la guerre contre la Perse et l’importance de la r?conciliation. Et bien s?r, j’?crirai une lettre ? Alexander, je lui demanderai des excuses, je suis pr?t pour cela. Il va s?rement vous montrer une lettre ? sa m?re, ne le g?ne pas. Demarat acquies?a, anticipant ?galement la route vers ?pire, mais la nomination du principal fournisseur de l’arm?e all?ga un peu sa farine. Philip sortit du bureau ses instruments d’?criture, ?crivit rapidement une ?p?tre, la scella, la remit au procureur et il ?tait sur le point de partir imm?diatement. Cependant, le roi ne retint pas l’envoy? de la paix. La route vers ?pire n’?tait pas du tout confortable, a pris beaucoup de temps, DeMarat s’est effondr?, et n’?tait pas du tout content qu’il ait commenc? ce match, mais il ?tait ?galement impossible de battre en retraite. Et ainsi, le petit d?tachement est arriv? ? l’abri du jeune homme et de sa m?re, et l’envoy? de la paix, tremblant sur des jambes instables, s’est rendu au palais des descendants de Neoptolem, se rendant compte que la garde lui manquait rapidement, et le guerrier l’a men? dans les petites pi?ces du messager. Demarat essaya de se donner un air intelligent et solide et franchit le seuil de la pi?ce o? Olimpiada et Alexandre ?taient assis dans des fauteuils en face de lui. Il y avait un troisi?me si?ge vide o? le jeune homme le connaissait bien. – Sois en bonne sant?, Alexandre et Olympiade, je m’appelle Demarat, je suis l’archonte de Corinthe et, ? la demande de Philippe, je suis son messager et j’ai apport? une lettre de sa part;. Elle a lu pendant longtemps et de mani?re r?fl?chie, cherchant le sens cach? et, l? o? il ?tait, il ne l’?tait pas. “Que pensez-vous, Corinthien, n’ayez pas peur, pas un mot ne sortira d’ici”, dit le jeune homme avec duret?, et sa m?re acquies?a de la t?te. “? Corinthe, nous avons peur de la guerre entre vous”, r?pondit l’archonte honn?tement et durement, et les gens en avaient marre de la guerre ? Hellas. J’ai donc d?cid? d’aider, a-t-il r?pondu honn?tement. Alexander r?fl?chit et acquies?a de la t?te et de la m?re, qui ?tait ?galement ravie. – Nous acceptons de revenir, et gr?ce ? l’Archonte, j’ai dit la v?rit?, je ne l’oublierai pas. Maintenant, nous allons ?crire une lettre et l’envoyer au messager, et vous irez avec nous ? Pella – le prince a tout d?cid?. Les Jeux olympiques ont rapidement ?crit une lettre, Alexandre l’ayant lue, avec son propre sceau. et convoquant les soldats de la garde de Demarat, ils les envoy?rent avec un message ? Philippe, et eux-m?mes commenc?rent ? se rassembler chez eux, ? Pella.La pr?paration du voyage ne prit pas beaucoup de temps et Alexander Epirsky ?tait heureux de constater que tout se passait si bien qu’il avait m?me distingu? une escouade de cavaliers avant de conduire sa s?ur bien-aim?e et son fils. Finalement tout ?tait pr?t, les guerriers se sont align?s, la suite s’est r?unie, la m?re et le fils sont sortis des portes du palais, accompagn?s du roi d’Epire, qui ?tait heureux de voir l’Olympiade monter dans la voiture et Alexandre saute sur Bouk?phalus. Le voyage de retour ?tait un peu plus rapide, mais cela a pris du temps. ? une journ?e de route environ, les Jeux olympiques envoy?rent un messager au roi Philippe, qui venait avec son fils. Au matin, ils furent attendus par toute une procession conduite par le roi. Les gardes limon avec Phillip galop?rent vers eux sans atteindre quelques coud?es, la cavalcade s’arr?ta aussit?t, et le roi personnellement, sur le meilleur ?talon, monta jusqu’? la charrette o? l’Olympiade ?tait mont?e. – Bonjour, ma femme, – son visage sournois aux yeux brillants de joie – Je suis ?galement heureux de te voir, comme tu es avec moi. Avez-vous d?pens? un parent? J’esp?re qu’il va bien? – Il a vers? les mots, n’attendant pas de r?ponse ? ses questions. “Bonjour, Alexander”, dit-il fermement, regardant son fils dans les yeux, essayant de voir le sien, sinon le pardon, puis comprendre, “regarda les montagnes de l’Epire?” Admettez que ce trou est toujours. Comprenez, nous ne sommes pas ?trangers ? Hellas, car les Ath?niens envieux veulent nous exposer; Je voudrais vous parler aujourd’hui et ne soyez pas en col?re contre moi pour ma m?re. Les chefs barbares qui nous entourent ont de telles coutumes – chacune a de nombreuses femmes, ou plut?t, des concubines, c’est que H?rodote avait tort, le roi de Perse n’a qu’une seule femme, et cela… Eh bien, les filles, en g?n?ral. Il en va de m?me pour moi, la femme de l’Olympiade, et ce ne sont que des filles, prises pour la paix, parce que le genre Attala est compl?tement rebelle, alors quoi, devrais-je tous les tuer? Vous avez remarqu? ? quel point les peuples du monde veulent vraiment, mais dans notre famille, il y a des querelles, mais les Corinthiens ont fait la paix pour nous. Je ne me cacherai pas, j’?tais juste heureux – il a regard?, s’il y avait un num?ro de Demarat, et a continu?. – Ils ont reconnu notre famille comme tsar pour toute la p?loponie! Comme dans l’origine et dans les affaires, nous sommes TsAR pour eux, mais Ellinsky, souviens-toi, non pas le persan, c’est-?-dire non autocratique, fiston. Nous ne pouvons pas cr?er cette t?te haute. Mais, en g?n?ral, les graines ont ?t? sem?es et vous les collecterez, car les P?loponn?tes, VOUS, ont ?t? reconnus comme mon h?ritier, et se comportent en cons?quence, et n’ayez pas peur de vos fr?res. Alexander ?couta son p?re et acquies?a. Il commen?ait seulement ? comprendre la politique de l’?tat qui ?tait n? et comment d’autres personnes essayaient de maintenir ce nouvel ?tat. Cette nouvelle communaut? importait non pas pour les rois, mais pour les citoyens ordinaires, comme un pas en avant vers le calme et la paix. Et maintenant commenc? ? comprendre beaucoup d’actions de Philip. – Et j’aime bien votre comportement ? Ath?nes, vos amiti?s avec Linkey et Lysippos, si vous voulez, invitez-les ici, c’est bon pour notre prestige, je paierai volontiers leurs commandes, et Onesekrit, votre nouvelle connaissance, s’int?resserait aussi ? la cour Apr?s tout, Aristote est parti, et les gens doivent voir que vous consultez les sages, alors vous-m?me ?tes sages. Bien que, je le dirai en secret, leurs conseils ne doivent pas toujours ?tre suivis. Mais bien s?r, il faut juste ?couter, – il se retourna, le cheval en dessous passa sous ses sabots, – Et le bonhomme, que vous aimiez les amis et les repas, ne soyez pas avide de vos camarades, mais ne vous en faites pas non plus. Et l’histoire avec les Tha?landais n’est que pour votre b?n?fice, tous les aristocrates languissent d’envie – son visage a de nouveau souri d’un air complice, et son p?re ?tait visiblement heureux pour son fils. “Maman va essayer de te marier donc, mais je ne te conseille pas comme un prix aux Jeux Olympiques, tout le monde veut te voir comme un gendre, mais il vaut mieux attendre, nous allons vaincre Darius, et ton mariage sera d’ailleurs,” et il a caress? l’?paule de son fils. – Rentrons ? la maison, nous attendons un bon repas! Plus loin, jusqu’? la maison, ils pass?rent ? c?t?, p?re et fils, roi et prince, commandant et basileus, comme les appelaient les Mac?doniens. Du coin de l’?il, Alexander vit trois commandants sup?rieurs, Perdicke, Parmenion et Antipater, qui observaient avec plaisir l’idylle familiale du p?re et du fils, tandis que Hephaestion restait proche tandis que ses amis approchaient des Jeux olympiques. Pella n’a pas chang? du tout pendant les mois d’absence. Alexandre, comme sa m?re, occupait leur vieux essayant de ne pas remarquer Cl?op?tre, cependant, le prince ne se sentait pas d?test? pour elle. Philip avait d?j? renvers? l’avant-garde de l’arm?e. Parmenion et Attal devaient la diriger et commen?aient ? chercher des alli?s en Asie mineure et entamaient des n?gociations avec Pixodar. L’acteur Thessalus est devenu le messager, et une fois, en passant par les appartements de Philip, Erigy a entendu un fragment de la conversation: “La princesse de l’enfer sera une bonne ?pouse pour Arideas”, a d?clar? Philip, – Pixar en aura assez pour ?tre s?r qu’il ne perdra pas son royaume. Seulement ? pr?sent, il est le satrape Darius et vous fera pr?ter serment comme les Thraces. – r?pondit Thessal. “Maintenant, nous allons ?crire une lettre, je vais apposer un timbre, prendre l’argent et conduire les chevaux sans m?nagement jusqu’? Byzance et l?-bas ? Halicarnasse”, fit remarquer Philip au courrier. Erigy se pr?cipita ? la recherche d’Alexandre, il se reposa apr?s le gymnase et lut la liste des favoris de l’Iliade, corrig?e par Aristote, le livre se promenait et ?tait ?crit sur un fin tissu de lin. Le visage du prince ?tait calme ? ce moment-l?, il reposait ? la fois corps et ?me apr?s une rupture avec son p?re. Hephaestion et Ptol?m?e ?taient assis ? c?t? de lui et Nearh ?tudiait les caves du palais royal. Selon des rumeurs, il aurait trouv? du marbre pour les sacrements dionysiaques dans une ruelle, et se pr?parait maintenant ? pr?senter ses myst?res ? ses amis. Et puis fait irruption dans la salle Erigy. – Alexander, ?coute moi! Votre p?re veut ?pouser Ariidea ? Ada, la princesse carian! Vous voulez vous d?placer, s?rement cette intrigue Attal! – Erigy a vite prononc? son discours. – De m?me, Attal construit tout ici. Alexander, on dit qu’Ada est belle et que vous feriez mieux de venir la voir”, a affirm? Ptol?m?e. – Erigy, et qui porte la lettre? – demand? vient d’entrer Nearh, – Je viens d’entrer, et imm?diatement au point. En v?rit?, j’ai maintenant des ?cuyers derri?re lui, et l’ambassadeur est parti, ajouta Ptol?m?e. – Non, mon fid?le ami, nous pr?parerons une lettre ? mon sujet, ajouta Alexander, nous donnerons de l’argent, il ne me restera plus que mon talent en argent et l’acteur courageux sera mon ambassadeur, Hymen. “C’est risqu?, cela peut prendre de l’argent et trahir”, a ajout? Erigy. Alexander a d?pos? l’Iliade et a commenc? ? ?crire une lettre ? Pixodar de sa propre main, puis ? la sceller de son propre sceau. “Trottinette, Ptol?m?e”, affirma Alexander d’une voix ferme, donnant la bourse au garde du corps. Ptol?m?e sortit et l’entendit appeler des ?cuyers. Les amis ont commenc? ? attendre. Trois ?cuyers et Ptol?m?e lui-m?me se sont pr?cipit?s hors du palais et l’un d’eux, pour ne pas attirer l’attention, est all? ? l’?curie et en a sorti quatre. D’abord, avant que le palais ne disparaisse de leurs yeux, ils n’?taient pas rapides, puis ils ont continu? ? trotter afin de ne pas ennuyer leurs chevaux et ont demand? en chemin s’ils ont vu un ?tranger sur un mulet et avec lui des serviteurs sur un ?ne? Devant, il y avait une charrette bris?e de betteraves et de carottes que le paysan ?tait en train de ramasser, l’autre r?parait la charrette, la roue avait saut? de l’axe de la charrette. Ptol?m?e se mit ? table, et avec lui un des serviteurs, et ils s’approch?rent des roturiers. “Bon apr?s-midi, honorables hommes”, dit Ptol?m?e, “et n’avez-vous pas vu d’?trangers sur un mulet et un ?ne?” – Oui, ils l’ont ?t?, alors ils ont emprunt? cette route en se disant qu’ils allaient ? Byzance. “Merci, vous ?tes une personne gentille”, et Eter ordonna aux deux ?cuyer de rester et d’aider ? r?parer le chariot. Eux-m?mes ont commenc? ? conduire les chevaux, et bient?t rattrap? l’envoy?. “Je vous souhaite la bienvenue, Thessal”, dit poliment Ptol?my, “?tes-vous press? de jouer une nouvelle pi?ce?” Mais alors un nouveau sponsor a ?t? trouv?, et il veut changer de mots dans certains endroits, et veut vous donner un talent d’argent, si vous souhaitez partager sa vision du d?veloppement de cette pi?ce. – Ton ami semble ?tre un vrai connaisseur d’art th??tral? – Thessalus a plaisant?, grin?ant des dents, parce qu’il comprenait de quoi le jeune homme parlait, et il serait tr?s facile de rester sans t?te dans cette production. Mais l’ambition de l’acteur faisait des ravages. – Je comprends qu’au cours de la pi?ce le mari? change? “La t?l?vision est un ministre exp?riment? de Melpomena, vous avez tout compris”, a ajout? Ptol?m?e en riant. – Donne ma lettre au destinataire. – Je suis d’accord avec vos arguments et je ne peux pas argumenter – acquiesce Thessal. “Alors, voici ton argent et d?p?che-toi de faire ton travail, mon Eros sans ailes”, plaisanta Lagid en retournant son cheval pour qu’il revienne ? Pella.Thessal ?tait un prox?n?te exp?riment?, mais il devait faire face ? de telles questions ? plusieurs reprises. Il attendit que Ptol?m?e soit perdu de vue. Il changea d’apparence, enfilant ses haillons et collant sa barbe. Il se rendit ?galement ? Pella, mais d?j? ? Philip. En passant par un convoi de gardes, il a secr?tement inform? le roi et a appel? Philip ? la maison des domestiques. Êîíåö îçíàêîìèòåëüíîãî ôðàãìåíòà. Òåêñò ïðåäîñòàâëåí ÎÎÎ «ËèòÐåñ». Ïðî÷èòàéòå ýòó êíèãó öåëèêîì, êóïèâ ïîëíóþ ëåãàëüíóþ âåðñèþ (https://www.litres.ru/pages/biblio_book/?art=42597468&lfrom=688855901) íà ËèòÐåñ. Áåçîïàñíî îïëàòèòü êíèãó ìîæíî áàíêîâñêîé êàðòîé Visa, MasterCard, Maestro, ñî ñ÷åòà ìîáèëüíîãî òåëåôîíà, ñ ïëàòåæíîãî òåðìèíàëà, â ñàëîíå ÌÒÑ èëè Ñâÿçíîé, ÷åðåç PayPal, WebMoney, ßíäåêñ.Äåíüãè, QIWI Êîøåëåê, áîíóñíûìè êàðòàìè èëè äðóãèì óäîáíûì Âàì ñïîñîáîì.
Íàø ëèòåðàòóðíûé æóðíàë Ëó÷øåå ìåñòî äëÿ ðàçìåùåíèÿ ñâîèõ ïðîèçâåäåíèé ìîëîäûìè àâòîðàìè, ïîýòàìè; äëÿ ðåàëèçàöèè ñâîèõ òâîð÷åñêèõ èäåé è äëÿ òîãî, ÷òîáû âàøè ïðîèçâåäåíèÿ ñòàëè ïîïóëÿðíûìè è ÷èòàåìûìè. Åñëè âû, íåèçâåñòíûé ñîâðåìåííûé ïîýò èëè çàèíòåðåñîâàííûé ÷èòàòåëü - Âàñ æä¸ò íàø ëèòåðàòóðíûé æóðíàë.