Galilei Et Einstein

Galilei Et Einstein Santo Armenia ? partir de ph?nom?nes ?l?mentaires est ?tudi? la theorie de la relativit? general d'Einstein, ensemble au principe de Galilei sur la chute libre des corps qui est la condition pr?alable. La divergence de ce principe de Galil?e est not?e car la masse du corps test n'est pas d?duite de celle de la Terre et l'attraction mutuelle mutuelle des corps n'est pas ?valu?e. En outre, il convient de noter que la chute libre se produit selon des lignes radiales verticales qui ne sont pas parall?les. Enfin, nous notons les cons?quences de la forme des corps solides pour le principe de Galil?e et pour la th?orie d'Einstein, pour le principe d'Archim?de et pour la pond?ration (masse) des corps. ? partir de ph?nom?nes ?l?mentaires est ?tudi? la theorie de la relativit? general d'Einstein, ensemble au principe de Galilei sur la chute libre des corps qui est la condition pr?alable. Le principe de Galil?e pr?dit que tous les corps, quelle que soit leur masse, tombent avec la m?me acc?l?ration de la gravit?. Au lieu de cela, nous notons la non-validit? de ce principe de Galil?e, qui ne soit pas d?duit de la masse du corps d’essai de celle de la Terre (consid?r?e ? tort comme constante), mais aussi pour ?viter l’attraction r?ciproque des corps (effets qui se chevauchent). De plus, il convient de noter que la chute libre se produit selon des lignes radiales verticales non parall?les. Nous ?tudions la forme des corps solides, de sorte que les corps ayant la m?me masse mais une forme diff?rente (? l’exception de la sph?re, du cylindre ?quilat?ral et du cube), la variation de la position sur le plan de r?f?rence ayant un poids diff?rent: un corps une masse, un poids corporel infini. Nous notons donc les cons?quences de la forme des corps solides pour le principe de Galilei (qui ne s'applique pas) et pour la r?futation de la th?orie d'Einstein, pour le principe d'Archim?de et pour la pond?ration des corps. Santo Armenia Galilei et Einstein R?flexions sur la th?orie de la relativit? g?n?rale. La Chute Libre des Corps La forme des corps solides Pr?face de Attilio Sigona Traduction de Juan Josafat Pichardo Palma (https://www.traduzionelibri.it/profilo_pubblico.asp?GUID=0d7580eb172a151437f3e9e03e30e086) Copyright © 2019 - Santo Armenia ? ma famille: ? ma ?pouse Marinella, ? ma fille Gabriella, ? mon fils Pietro, et en particulier ? ma petite Marta, que a d? endurer l'exub?rance de mes pens?es en sentant les bizarreries de mes conclusions. Et penser que pendant cette m?me p?riode, il ?tudiait la th?orie d'Einstein. A Carmelo Vindigni. Index Pr?face 4 (#ulink_716b70de-7e7c-552b-a2a4-462bcec9de65) Introduction 6 (#ulink_37c2154e-c724-5fb3-b0c3-a306da41f4bd) Chapitre I ?volution 7 (#ulink_0d9f654e-d4a5-55cb-bfae-08791b413328) Chapitre II Pr?misses 9 (#ulink_402e87e8-1081-5873-9021-a774cb25eb4c) Chapitre III Obs?rvations ?l?mentaires 12 Chapitre IV Principes de la Physique classique 14 Chapitre V (#ulink_f6b34f1c-6301-5dfa-a220-c27fe3b3d082) P (#ulink_f6b34f1c-6301-5dfa-a220-c27fe3b3d082)remi?re r?flexion (#ulink_f6b34f1c-6301-5dfa-a220-c27fe3b3d082)sur la th?orie de la relativit? g?n?rale 5.1. En m?rite ? l’exp?rience de l’ascenseur 17 5.2. En m?rite ? l’exp?rience du vaisseau spatial 20 Chapitre VI Physique ordinaire 23 6.1. Premi?re modalit?: les deux masses s?par?es 27 (#litres_trial_promo) 6.2. Seconda modalit?: les deux masses en m?me temps 28 Chapitre VII Deuxi?me (#litres_trial_promo) r?flexion (#ulink_f6b34f1c-6301-5dfa-a220-c27fe3b3d082)sur la th?orie de la relativit? g?n?rale 34 Chapitre VIII La forme des corps solides 37 8.1. Pour la r?flexion (#ulink_f6b34f1c-6301-5dfa-a220-c27fe3b3d082)sur la th?orie de la relativit? g?n?rale d’ Albert Einstein 37 8.2. Pour le principe de Galil?e Galilei 42 8.3. Pour la mesurage de la masse des corps 45 (#litres_trial_promo) Conclusions 49 (#litres_trial_promo) ?pilogue 52 (#litres_trial_promo) Annexe A 53 (#litres_trial_promo) Annexe B 54 (#litres_trial_promo) Annexe C 56 (#litres_trial_promo) Remerciements 62 (#litres_trial_promo) Pr?face de ATTILIO SIGONA L’histoire enseigne que toute nouveaut? et innovation dans les r?gles et dans la vie des hommes sont toujours accueillies avec scepticisme, parfois m?me avec aversion. La transition de la conception ptol?ma?que g?ocentrique ? quelle copernicienne h?liocentrique ?t? un vrai shock pour la science et l’humanit?, ainsi que pour les savants bibliques et l’?glise. ?a n’a ?t? pas facile faire accepter aussi l’?vidence. L’homme, toutefois, ne semble pas savoir profiter de l’exp?rience du pass? et continue toujours avec obstination ? s’opposer aux changements et aux perspectives scientifiques, au conservatisme ne pas toujours justifiable. J’ai suivi le lancement de ce volume de l'ing?nieur. Armenia avec l’humilit? de qui n’est pas un expert dans le physique, mais avec la conviction qu'il y avait des ?l?ments th?oriques innovants. Premier le retour de la physique et de la math?matique a la sph?re philosophique; un retour que je crois, est n?cessaire pour le futur de l’humanit?. En deuxi?me lieu, l’approfondissement des principes physiques de Galilei sur la chute des corps et l’?tude de la forme des corps solides, avec les cons?quences pour la th?orie de la relativit? g?n?rale d’Einstein, ainsi que pour d’autres aspects pratiques (particuli?rement la mesure de la masse des corps), ne peut ?tre accueilli avec faveur. Relevant est avoir r?fl?chie, observ?, d?duite, commenc? la comparaison. L’auteur ne se limite pas ? th?oriser; il traduit in formules math?matiques et physiques ses propres consid?rations. Avec la modestie qui lui appartient, il ne veut pas appeler des th?ories, mais seulement des r?flexions et des observations. L’augure est que le monde scientifique se rendre compte que la confrontation seulement peut apporter que des avantages ? tous Galil?e devait d’abjurer et finir en prison aussi. Aujourd’hui ils n'ont pas la chance de courir ces risques. La publication de ce volume constitue une invitation au dialogue scientifique et l’approfondissement que la mati?re n?cessit?e pour tous les implications sur la connaissance du cosmos et de ses lois physiques. L’ing. Armenia ne se sent pas ni un d?couvreur, ni un scientifique: ? surtout refl?t? et apr?s d?duite. Nous croyons correctement. Introduction C‘est la deuxi?me ?dition d’une premier jamais publi?, dont le titre devrait ?tre: Galil?e Galilei et Albert Einstein. La chute libre des corps. Peut – ?tre quelque chose ?t? pass? inaper?u? R?flexions sur la th?orie de la Relativit? G?n?rale. pour comment peut ?tre v?rifi? aussi avec le vid?o de l’initiative de 30 mai 2017, report? sur le site youtube.com/watch?v=6Ri_xAms45M, intitul? Armenia Santo Galilei. Maintenant le titre de l'ouvrage est la couverture. En attendant la publication du premier projet, j'ai d?velopp? la nouvelle partie. Chapitre I Evolution Les id?es inn?es de Platon. La force de l’opinion publique. Le synchronisme de Jung. … Conna?tre et Souvenir. ... Mauro, mon neveu, m’invite ? lire le livre de Fabio Toscano (Sironi Editore): Le physicien qui a v?cu deux fois. Motive l’invitation parce - que est une biographie sur le physicien russe Lev Landau, qui est le titulaire des livres de texte de physique sur quelles a ?tudi? dans l’Universit? d’ing?nierie de Catane. Je m'enrichis aussi de cette exp?rience: la vie du scientifique d'un c?t? et la capacit? de l'?crivain de l'autre. Mon neveu me demande d’autre livre de Fabio Toscano: Le g?nie et le Monsieur, «Einstein et Ricci Curbastro, le math?maticien italien que sauv? la th?orie de la relativit? g?n?rale». Je savais qu’Einstein pour la part math?matique de son travail fait usage de la collaboration de sp?cialistes; ne m’?tait pas connu que le plus importante e d?cisive avait ?t? notre italien Gregorio Ricci Curbastro. Mon neveu me donne encore un autre livre, toujours de Fabio Toscano: La formule secr?te: "Tartaglia, Cardano et le duel math?matique qui a enflamm? la Renaissance italienne" « Mauro, ce de Tartaglia je ne peux pas le lire ». Je March?. . . Je lis. . . J'?coute de la musique. . . Je lis. . . J'?coute de la musique . . . je march?. « Mauro, ce de Tartaglia je ne peux pas le lire » . Je March?. . . Je lis. . . J'?coute de la musique. . . Je lis. . . J'?coute de la musique . . . en train de marcher je chante… en train de marcher le pens?e erre … Je March?. . . Je lis. . . J'?coute de la musique... « Mauro ceci de Tartaglia dans cette p?riode je ne le fais pas descendre ». Fantastique. . . Je March?. . . Je lis. . . J'?coute de la musique... « Mauro pour l'instant, Tartaglia peut rester o? il est. Ramenez-moi, au lieu de cela, le g?nie et le monsieur ». Je ne lis plus pas. . . Fantastique ... fantastique ... je r?fl?chis! ... J'aper?ois ... je vois ... Chapitre II Conditions Pr?alables R?flexions : a) Le postulat a-t-il sa raison d'?tre en g?om?trie, ou m?me en physique? Albert Einstein, lorsque les postulats sont utilis?s par d'autres, les d?finit comme des dogmes. Vedasi, pour comment rapport? ? la page. 162 dans ce livre L’?volution de la physique (publi? par Universale Bollati Boringhieri), en r?f?rence au « dogme m?caniste ». Einstein, utilisant la transformation de Lorentz, il a construit sa th?orie de la Relativit? restreint (sp?cial) pr?cis?ment bas? sur deux postulats: l’espace est vide; la lumi?re dans l’espace vide se r?pand toujours avec la m?me v?locit?, ind?pendamment de l’?tat de mouvement du corps que l’?met. La th?orie de la relativit? restreint de Lorentz (avec ?ther) avant, o d’Einstein (sans ?ther) apr?s, s’adaptent dans le chemin – ?volution de la physique classique, de laquelle je suis une continuation. b) quelque chose d'assez diff?rent pour la th?orie de la relativit? g?n?rale d'Einstein. Il (la th?orie de la relativit? g?n?rale) repose seulement sur des exp?riences mentaux d’Einstein, en train de placer ? des autres le charge de la v?rification exp?rimental pour d?terminer le rejet. Albert, construit tel th?orie sur le budget du Principe de Galil?e Galilei sur la chute libre des corps (voir ce que a ?t? appris: toutes les corps sont soumis ? la m?me acc?l?ration de gravit?), en fixant la d?ch?ance de sa th?orie ? l'?ventualit? de la disparition de ce principe: sa bont?! Je r?fl?chis. R?flexions: Platon ? utilis? le mythe de la grotte pour aller de l’obscurit? a la lumi?re; Einstein, de mani?re consciente ou inconsciente, plut?t, l’a utilis? pour aller au contraire, de la lumi?re a l’obscurit?: l’observateur externe (que conna?t l’ext?rieur) peut regarder l’int?rieur de l’ascenseur ou vaisseau spatial, tandis que l’observateur interne peut regarder seulement ? l’int?rieur. Les hommes de la grotte avaient une vision limit?e, juste parce – que ne savaient pas de l’existence d’un autre monde externe. L’observateur interne (Albert), plut?t, tandis sachant de l’existence d’un monde externe, refuse de le regarder. Je report le Principe de Galil?e Galilei sur la chute libre des corps: «toutes les corps sont soumis ? la m?me acc?l?ration de gravit?». Je souligne: «toutes les corps sont soumis ? la m?me acc?l?ration de gravit?». Galileo, comment tous, chose ?trange, sauf Einstein, savait toutefois que l’acc?l?ration de gravit? n’est pas constante mais vari? dans chaque lieu sur la terre (avec la latitude, avec la longitude et la hauteur) et avec le passer du temps. Pour des raisons de commodit?, en fonction du domaine d’?tude, la valeur approximative de 9,8 est attribu?e ? un compte. Que pour faciliter l'apprentissage de la chute libre au mouvement naturellement acc?l?r? se rapproche (g = 9,8 m / sec2, s = 1 / 2gt2 ...) le long de la verticale, alors qu'il est bien connu qu'un tel mouvement , m?me si on veut la consid?rer, de fa?on approximative, toujours rectiligne, elle est vari?e car l’acc?l?ration de la gravit? est fonction de l’inverse du carr? de la hauteur variable de chute lors du mouvement, c’est un compte compl?tement diff?rent. Mes r?flexions sur la th?orie de la relativit? g?n?rale seront faites deux fois: a) le premier ind?pendamment de la validit? du Principe de Galil?e Galilei sur la chute libre des corps (voir cinqui?me partie), donc pour autre motivation; le deuxi?me juste parce – que le Principe de Galil?e Galilei sur la chute libre des corps je pense que peut ?tre affect? pour une erreur, r?sultant de la loi de la gravitation universel d’Isaac Newton, que, sp?cialement, pour Albert il aurait fallu trouver l'application correcte de sa th?orie de la relativit? g?n?rale (voir septi?me partie). Malheureusement, au lieu de proc?der de mani?re rigoureuse, Albert transforme les mod?les approch?s en postulats de la nature, construisant sa th?orie de la relativit? g?n?rale et surmontant ensuite la physique classique. Chapitre III Observations ?l?mentaires Mes Reflexions: L’eau de la rivi?re n’est jamais la m?me. L’air que nous respirons n’est jamais le m?me. Tout devient . . . Panta rei. L’essence de la nature–univers est imp?n?trable. L'imp?n?trable n'est pas mesurable. La connaissance de la nature-univers (sa description) est toujours une continue approximation. Pour ce qu'il est donn? de savoir, tous le components de l’univers (satellites, plan?tes, m?t?ores, soleil; ?toiles; amas de galaxies) ils sont en mouvement, vraiment, car ils sont en orbite, ils sont donc dans diff?rents mouvements. Tel composants, ensemble ? chaque type de construction que l’homme r?alise, sont sujets ? actions (force). Il en r?sulte que le silence et le mouvement rectiligne uniforme, ainsi que le mouvement rectiligne uniform?ment acc?l?r?, compris comme des concepts absolus, n'existent pas dans la nature. Aussi le flux du temps n’est pas uniforme. L’espace (en trois dimensions) est le temps (une dimension), m?me si con?u dans un sens absolu, selon le bon sens, ils ne doivent pas ?tre per?us comme deux entit?s distinctes, mais comme une seule entit? espace – temps ? quatre dimensions (3 + 1). L’espace – temps, en base a la connaissance qu’aujourd’hui avons, n’est pas Euclidien. L’espace euclidien est une description approximative consciente de l'espace-temps. Fait ces observations ?l?mentaires, je r?fl?chis sur la physique classique, avec particulaire r?f?rence a les trois principes de la dynamique, ? la loi d’attraction gravitationnelle universelle et ? la chute libre des corps avec le cons?quent principe de Galil?e Galilei. Chapitre IV Principes de la Physique classique Les trois principes de la dynamique : a) un corps maintient (pers?v?re) le propre statut de calme ou mouvement rectiligne uniforme, jusqu'? ce qu'une force agisse dessus, en train de modifier cet ?tat d'immobilit? ou de mouvement rectiligne uniforme; b) si a un corps de masse m (masse inertiel) appliquons une force F le corps acquiert une acc?l?ration qui est: c) d) ? chaque force correspond une r?action ?gale et contraire. La loi d’attraction gravitationnelle universelle: G = constante de gravitation universelle; m ; m = masse gravitationnelle des corps; d = distance entre les corps; = (force d’attraction gravitationnelle). Le Principe de Galil?e Galilei sur la chute libre des corps: «Tous les corps, sur la Terre, ind?pendamment de la friction de l'air, sont sujets ? la m?me acc?l?ration de gravit?». Masse inertiel et masse gravitationnelle sont proportionnelle unes aux autres; en base ? l’unit? de mesure choisie, prennent la m?me valeur : m = m . J'invite le lecteur ? proc?der personnellement aux calculs pertinents; et apr?s, a les confronter avec quelles de quelque texte de physique ou avec quelles des pages d’Internet. Nous connaissons les hypoth?ses de calcul pour la Terre: sph?ricit?; densit? constante; influence de la gravit? due aux autres corps c?lestes hors de la terre (lune, m?t?ores, soleil, ?toiles et galaxies). Nous devons ignorer uniquement la pr?sence d'air. Pour faciliter la lecture, j’indique les calculs g?n?ralement effectu?s, fond?s sur lesquels le principe de Galil?e serait v?rifi?, sans distinction entre masse inertielle et masse gravitationnelle, car elles sont ?gales (mi = mg). L’?galit? entre la masse inertielle et la masse gravitationnelle (mi = mg) en d?finitive, d?coule de l’exp?rience du physicien Lor?nd E?tv?s, ? partir de laquelle a ?t? obtenue et am?lior?e une pr?cision de 5x10-9 par la suite de 3x10-14. G = constante de gravitation universelle; M = masse de la terre; r = rayon de la terre; h = hauteur d'essai ? partir de la surface de la terre; m = test de masse ?ni?me (gravitationnel et inertiel); = (force d’attraction gravitationnelle); = constante (acc?l?ration gravitationnelle).l'acc?l?ration gravitationnelle (chi) est identique pour toutes les masses d'essai, mais varie avec la variation de “h”. Le principe Galileo est v?rifi?. Mais ces calculs ne sont pas les miens. Moi, mes calculs, je les ex?cuterai dans la sixi?me partie, dans le corps d’un possible "physique ordinaire". Chapitre V Premier r?flexions sur la th?orie de la relativit? g?n?ral Tel premier r?flexion je vais la faire sans penser dans le principe de Galil?e sur la chute libre des corps. La deuxi?me r?flexion, plut?t, en r?f?rence, juste au principe de Galil?e sur la chute libre des corps, je vais la faire dans la septi?me partie. Comment tout nous savons, dans la Physique classique le mouvement uniforme absolu n’existe pas. Albert lui-m?me r?p?te, voir p. 221 de son livre susmentionn?: Je ne comprends pas pourquoi il l'oublie lorsqu'il fait ses exp?riences mentales. Je l'accompagne ?galement dans ses exp?riences mentales. Cette fois, je ne ferai pas qu'?couter ses conclusions. Avant de partir, tout d’abord, j’ai fait suivre des ?tudes sp?cifiques pour connaitre plus en d?tail l’attraction gravitationnelle de la terre, ? travers d’un r?seau de surveillance positionn? sur la surface terrestre, ? diff?rentes hauteurs, ainsi qu'? diff?rents moments. Ceci est ? souligner le fait que nous sommes en pr?sence d'un espace-temps en quatre dimensions (latitude, longitude, hauteur et temps). Les ?tudes, comment d?j? qualitativement bien est savait, ont confirm? que l’acc?l?ration de gravit? (juste ? cause de l’imparfaite sph?ricit? de la surface terrestre; d'inhomog?n?it? de la densit? de la masse terrestre; des mouvements de la terre; de l’influence sur le camp gravitationnel terrestre des corps c?lestes components du syst?me solaire, en particulaire soleil e lune, d?j? au niveau macroscopique en relation aux mar?es, a la chute des m?t?orites), n’est pas constante mais varie avec les coordonn?es spatiales et le temps. Les ?tudes ont ?galement donn? des r?sultats sur le principe de Galil?e sur la chute libre des corps, ma di c’est, comment d?j? dit, parlerai successivement dans la septi?me partie. De plus, je demande que tout le mat?riel scientifique n?cessaire soit mis en place, afin de v?rifier exp?rimentalement chaque ph?nom?ne ? l'?tude. Commen?ons! ?a ne d?pend pas de moi illustrer la th?orie de la relativit? g?n?rale avec les hypoth?ses sur lesquelles il est bas?. Avant de proc?der, le lecteur pourra proc?der ? toute analyse approfondie qu’il jugera utile. Конец ознакомительного фрагмента. Текст предоставлен ООО «ЛитРес». Прочитайте эту книгу целиком, купив полную легальную версию (https://www.litres.ru/pages/biblio_book/?art=48773172&lfrom=688855901) на ЛитРес. Безопасно оплатить книгу можно банковской картой Visa, MasterCard, Maestro, со счета мобильного телефона, с платежного терминала, в салоне МТС или Связной, через PayPal, WebMoney, Яндекс.Деньги, QIWI Кошелек, бонусными картами или другим удобным Вам способом.